Discussion : NATALIA (colombienne - brune)

[Alfie01]

Ké Tartine,C est du Maurice Béjart!!lool

[Jeremy8919]

Excellente session d'une heure et demie avec la cousine colombienne de la mère Noël.

Arrivée 15h50 au club hier, pour un RDV à 16h... on m'installe dans le salon, j'entends claquer les talons des filles qui passent dans le couloir et vois l'ombre de leur silhouette sur la vitre teintée de la porte ; me refusant à regarder le porno de l'écran dont la vulgarité me dégoûte, je feuillette le magazine Penthouse qui a eu l'idée originale de proposer un article sur les aventures en traîneau dans le grand Nord - alors, comme par un de ces hasards littéraires où la réalité se met à la hauteur de la lecture, la porte finit par s'ouvrir et une fille charmante m'illumine de son plus beau sourire dans les atours de mère Noël que j'avais demandés. Ca tombe bien, il est 16h15, et il y a un bonhomme de neige dans mon pantalon qui commençait à trouver le temps long.

Quels mouvements déjà voluptueux fait son corps en montant les escaliers par lesquels elle m'accompagne au paradis ! ce dernier a nom Fantasia Land et les longues chaussettes à rayures rouges et blanches qu'elle a enfilées s'accordent à merveille avec le mauve et le rose de cette chambre où tout semble fait de fourrure et de peluche, non sans un brin d'ironie subtile et érotique. Mes yeux dévorent déjà cette robe serrée sur les formes de Natalia, cette poitrine dont ils devinent les montagnes élégantes sous un manteau de velours rouge. Son bonnet lui donne un mignon petit air de lutine, tandis que ses chaussures rutilantes à talons très hauts suggèrent qu'elle est faite pour le grand méchant loup que l'envie m'aurait pris d'incarner si elle n'avait pas commencé à me faire fondre de tendresse.

A y repenser, je ne sais plus si j'ai payé la belle ou non : les tourments qui ont suivi furent si agréables que j'en viens à me demander si je n'ai pas tout simplement joué avec une amie que je ne connaissais pas et qui prenait à ces jeux interdits autant de plaisir mutin que moi. Quoi qu'il en fût, décembre oblige, je lui tends d'abord la surprise emballée spécialement pour elle ; elle déchire le papier vert en riant et embrasse le nounours qu'elle serre dans ses bras tout en le baptisant d'un nom que je garderai confidentiel : j'ai promis de ne rien révéler de sa famille.

Elle me jette sur le lit où nous venons d'installer des draps à salir ; je m'assois et son langoureux déshabillage commence. La Colombienne de Noël tourne et danse, debout sur les tapis roses, faisant jouer ses formes sur les reflets vibratiles de mes pupilles (j'allais dire de mes papilles !) qui se sentent chatouillées. Ses fesses décrivent des courbes à chaque fois plus belles à mesure qu'elle se balance ou se penche ; plusieurs fois elle approche sa poitrine généreuse du lit, comme pour la révéler, puis se ravise et continue de me la cacher malicieusement, comme pour me priver d'une gourmandise. J'ai pourtant été sage cette année !

Cette Beauté joue à la Vérité : ses airs taquins de Vénus sortie du bain adoptent la sérénité des révélations intégrales - à moins que l'extase étourdissante qui me faisait déjà vaciller sur le lit ne soit seule responsable de cette impression trouble de m'être mis à me dissoudre dans la pure contemplation d'une belle femme qui s'amuse.

J'ai, dans ma précipitation à vous faire partager ces fêtes d'avant les fêtes, oublié de mentionner un détail de mise en scène important : pour ajouter du piment euphorique à notre séance de bonheur furtif, j'ai enfilé un string qui habillait mon joystick (je l'appelle ainsi pour ce que Natalia en a fait par la suite) d'une tête de renne du traîneau du fameux personnage à barbe blanche. Vous comprenez donc que quand mon corps éprouvait une réjouissance un peu vive, le renne levait la tête comme l'aurait fait un cheval en rut, ce qui m'a valu de charmants rires de la part de ma complice en flagrants délits d'érotisme.

Le meilleur sucre d'orge de toute cette période de sapins, de guirlandes et de boules de neige, fut celui de son corps pas encore totalement dénudé que je me mettais à déguster comme il se doit : avec la langue où se laissent au mieux savourer les pâtisseries chocolatées ou café au lait, comme le pain d'épices de sa jolie peau claire de latino, incroyable de douceur sur toute la surface de son glaçage naturel.

Pour le reste, seules me reviennent des images, comme d'un songe profond et lointain : le temps s'est tant arrêté, le monde extérieur et ses repères se sont tant annihilés ce jour-là (quand était-ce, encore une fois ?) que je ne peux vous donner ces petits tableaux que comme les vignettes de joie délicieuse dont l'effet sur moi n'a même pas cessé après la fin de cette après-midi câline ; j'espère de tout cœur que ces lignes vous en font subodorer la saveur, ou du moins le parfum diffus de festivité légère. Cette impression de vignettes me donne, je crois, le droit de finir en énumération : les rêves n'ont pas d'autre grammaire que celle-là.

... Natalia se meut câlinement sur le gros ours blanc de la chambre puis m'appelle... elle m'ordonne de prendre sa place... je caresse ses bas de mes lèvres, puis ma langue glisse sur les talons de ses chaussures brillantes... ma tête se perd dans ses paysages montagneux dont les cimes aréolées se noient dans l'extase de mes soupirs brûlants... puis j'étouffe, le nez et les yeux perdus entre les parois douces d'une grotte savoureuse, ses fesses, si jolies et délicates dans leurs rondeurs sans excès...

... Oh ! Que faisons-nous ? Nous voilà sur le lit... vous vous doutez bien que j'avais apporté la crème Chantilly : elle en agrémente ses seins que ma langue nettoie avec appétit, puis d'autres parties de son corps de statue vivante... sauf que dans les musées, vous ne feriez pas ce que je lui ai fait. En effet, le goûter continue en des régions plus mystérieuses, elle en demande et redemande, et la dégustation se clôt sur un sucre d'orgasme. Mon pain d'épices préféré me dit dans un anglais amoureusement maladroit : "Nobody eat me like that ! You make me cum ! Bad boy !! " Pourquoi vous traduirai-je des paroles si délicates dans leur forme originale ?

Moi qui mourais de plaisir, les larmes me montaient presque aux yeux et je serrais en tremblant la poupée qui venait de me faire tant gémir.

Si seulement les déesses pouvaient être aussi tendres que Natalia ! Nous tombons sur les coussins du lit et nous serrons dans les bras l'un de l'autre, les yeux dans les yeux ; elle glisse sa jambe entre les miennes pour ajouter à cette étreinte un goût de perfection qui ne manquait pourtant pas. Je contemple son visage ; suivent des moments d'infinie douceur, de discussion sous ses sourires ininterrompus, et je dois dire que les miens ne se faisaient jamais faute de répondre aux siens. J'aimerais que toutes les filles de cette profession sachent faire suivre leurs tempêtes érotiques d'une tendresse aussi calme que la sienne.

Ce bonheur dure un temps que je ne pourrais décrire ni avec des chiffres, ni avec des lettres.

Elle me demande quels jouets je cache encore dans mon sac : c'est bon, je sors la cape de Noël qu'elle enfile pour alternativement cacher, me montrer et me laisser deviner ses seins si ronds et si beaux ; je lui donne aussi les gants de dentelle blanche qu'elle rit de pouvoir chausser pour caresser tout ce qui reste de vivant dans mon corps - en tout cas, ses doigts procèdent à de nombreuses résurrections par le simple toucher de leur pulpe soyeuse : mes sens se réveillent peu à peu de leur sommeil au bois dormant.

"You want to take a shower ?" Nous nous rendons dans la salle d'à côté, que le site du Pearls vous présente sous le nom de Cascade : c'est sous ces chutes d'eau que j'assiste à sa douche sensuelle, avant de procéder à la mienne. Ce n'est pas le pire moment de ces minutes qui m'ont semblé une éternité de joie et de sourires sur ses jolies dents blanches toujours amusées.

Je n'oublierai ni ses baisers éclatant sur mes lèvres (jusqu'à ceux du moment de se dire au revoir, dans l'escalier), ni le rouge à lèvres magnifique qu'elle a effacé d'un coup de main sous la douche, ni ses doigts gantés qu'elle me donnait à sucer ou à croquer, ni la crème Chantilly qu'elle plaçait sur sa langue pour mieux me la faire déguster de bouche à bouche, ni la caresse de son pied, chaussé ou pas, sur le petit renne qui batifolait entre mes cuisses, ni les 69 nuances de plaisir des angles de vue multiples que son corps volubile a offert à mes rêves affamés au début, rassasiés à la fin de ce rendez-vous plein de simili-amour du meilleur aloi.

Natalia est vive et douce, attentionnée, sensuelle, reine d'érotisme... s'il vous plaît, prenez soin d'elle, ou le père fouettard s'en souviendra.

Merci ma lutine préférée et à bientôt dans un autre rêve.

[Guest20190317]

http://www.club-pearls.de/fr/sedcard?gid=6823

Peau très bronzée , visage qui fait plus vieux que sur les photos ( le bronzage y étant pour beaucoup j'imagine) , je dirai que Natalia est une jeune trentenaire .

Tenue demandée non respectée ( un maillot de bain rose fluo à la place du leggings/pantalon de gym ddé).

Cul de haute voltige , bien rond , assez gros et bombé , un bel oreiller Des seins refaits aux tétons réactifs agréables à bouffer .

Fille détendue mais beaucoup de cinéma latin classique .

Elle voulait me mettre le gel du Pearls sur la queue , non merci ça ira ...

Fellation décente , léchage des couilles , l'avantage est que l'on peut y aller fort durant le sexe et la vue de son cul fait vraiment bander .

Globalement une expérience correcte que je renouvellerai pas