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Discussion : RITA (ghanéenne - n° 104 rue des Plantes, shift de nuit)

  1. #


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    février 2014
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    J'ai eu le grand plaisir de rencontrer Rita. L'adresse ne correspond plus à celle indiquée il y a quelques années. Elle se trouvait rue Linné, dans la deuxième vitrine après le carrefour avec la rue de la Prairie (je ne connais pas le numéro). Il est d'ailleurs très probable qu'elle va encore "déménager", d'autant plus qu'elle m'a affirmé travailler également en Italie.

    Elle est très belle et très gentille. Ce qui explique sans doute que j'ai dû patienter longtemps avant qu'elle se libère. Quand elle est réapparue, je n'ai pas perdu de temps. Je suis entré et j'ai pu constater que l'endroit était assez propre et agréable, comparé aux taudis que j'avais pu trouver lors de mes dernières visites il y a quelques années.

    Quand j'ai engagé la conversation avec Rita, je me suis fait confirmer les tarifs et je lui ai demandé si elle avait des bottes (un petit péché dont je n'arrive pas à me débarrasser...) Elle s'est alors présentée avec de superbes cuissardes noires. J'étais plus que convaincu et j'ai passé un - très - long moment avec elle. J'ai payé le prix en conséquence et, en échange, j'ai eu droit à une prestation de très haut niveau.

  2. #


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    juin 2013
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    Par défaut RITA (ghanéenne - n° 104 rue des Plantes, shift de nuit)

    ça faisait longtemps que je n'étais plus passé par le quartier, j'avais tourné cette page considérant que la rubrique Linné n'avait plus rien à m'offrir comme expérience de punter...

    Hier soir, en rentrant chez moi, j'ai fait un crochet pour voir ce que ça devenait...

    Le quartier change de face, l'heure n'est pas encore à la gentryfication mais ça rénove ci-et-là entre les grappes de roms venus s'installer dans les baraques désertées par les marocains de la première génération.

    Il pleut... ça rajoute une touche de mélancolie dans ces rues où naguère je me promenais volontiers. Aujourd'hui, les rats, les immondices et l'urine complètent le décor...

    Et pourtant ! Il y a encore de la vie ! Même si une bonne partie des carrées affichent "fermeture administrative", les quelques irréductibles qui font de la résistance s'animent sous le rouge de leur néon : ici une MILF aux gros seins laiteux, là-bas une jeune panthère longiligne, un peu plus loin une fofolle qui danse allègrement ...et partout des fesses, des culs rebondis, ronds comme des pommes dans lesquelles j'ai envie de croquer !

    Je ne m'y trompe pas, le ballet des voitures témoigne de l'intérêt qu'ont les punters pour le quartier, même sous la pluie, alors qu'aucun chien n'ose sortir, les mecs ...en chien piétinent le trottoir à la recherche de sexe à acheter, ne fut-ce que pour 10'

    C'est que l'amour ne se vend pas cher dans le coin, au rabais même : 20 balles, que les filles indiquent avec 2 doigts, comme le signe de la victoire, en mimant une scène de déshabillage complet.

    Dans la sombre rue des Plantes, à hauteur du 104, je repère une fille qui se tient fièrement à sa fenêtre et m'envoie des sourires charmeurs.

    Pas envie de sortir sous la pluie, pas envie de rentrer dans un de ces taudis ...et pourtant, mon mental de punter veut tirer un coup, un petit avant d'aller dormir.

    Je me gare, juste devant un graffiti sur le mur qui insulte le maïeur local

    Rita m'ouvre avec un joli sourire, elle a un chouette visage et un physique à l'avenant pour son 1M65. En droite ligne du Ghana, elle ne parle qu'Anglais et officie depuis 2 semaines dans la capitale de l'Europe.

    Je lui glisse son billet bleu et pars vers le lavabo, ce qui l'étonne (les clients qu'elle voit d'habitude, ne sont pas des chiens ...mais des chats : ils craignent l'eau ...enfin, des chiens quand même).

    Je la retrouve cul-nu sur le lit mais avec son soutien. Il me suffit de sortir une petite blague à ce sujet pour qu'elle se dégraffe et me laisser découvrir ses petites poires.

    Les prestations n'ont pas changées, elle m'invite à m'allonger sur le lit, déballe une capote sur bite molle et se lance dans une pipe, les yeux fermés. La pression de ses lèvres parviennent à me faire durcir autant que mon imagination (exploser dans sa bouche, ça doit être cool...)

    Une fois prêt, elle s'allonge sur le dos, écarte les jambes, se plaque du gel et se laisse pénétrer.

    J'y vais avec une petite gêne non dissimulée, moi qui suis habitué aux jeux de séduction avec les escortes ou en FKK. Ici, c'est S, F&R(1)

    Devant ma moue, Rita me caresse le torse pour m'encourager. Je lui écarte alors les cuisses avec la force des bras et je la laboure au son des oooh, hin, heuuuu, ...
    Et quand je lui demande si ça va, elle répond avec un large sourire : 'oh yes, no problem' ! ...drillée à se faire défoncer

    Je la retourne à 4 pattes et j'y vais : je claque du bassin contre ses fesses pendant un bon moment. Je sais qu'elle galère pendant que je profite des sensations que m'offre sa chatte serrée...

    J'éjacule dans le plastique. That's it in these streets.

    Nous discutons un peu, d'elle, du quartier, du business ...à part son sourire, rien de bien réjouissant.

    Je la quitte en précisant que je ne reviendrai plus dans la quartier.

    La page est tournée...

    P.H


    (1) : suck, fuck and run away

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