Discussion : COCO (camerounaise - black)

[noir]

Une peau extrêmement douce?

Ca ça ne m'a pas particulièrement frappé. La peau du corps est une peau de femme donc douce. Quant à la peau des mains, elle est plutôt rugueuse comme celle de toutes les femmes qui ont sans doute connu des moments difficiles.

Des formes généreuse sans être grosse?

C'est exactemement cela.

Elle utilise du lubrifiant en grande quantité? Ça enlève trop de sensations mais elle sais y faire.

C'est là qu'on reconnait le spécialiste. J'avais appelé ça une espèce d'huile. Je ne trouve pas que cela enlève des sensations, je dirais plutôt que cela en rajoute. Peut-être est ce l'effet du savoir-faire de Coco.

[Psykokwak]

J'avais fait une EV sur COCO il y a plus d'un an (vus la description c'est la même)

Une peau extrêmement douce?
Des formes généreuse sans être grosse?
Elle utilise du lubrifiant en grande quantité? Ça enlève trop de sensations mais elle sais y faire.

Si c'est bien elle je vais retourné la voir très rapidement!

[noir]

Alors que je n’en étais qu’à sortir du vestiaire, cette black plantureuse m’a fait de l’œil. Je n’y ai pas donné suite sur le moment.
Plus tard, elles arrivée à la charge après que j’ai repoussé quatre assauts roumains dans la salle non fumeur. Coco est grande, souriante avec des formes généreuses. Encore quelques livres et on dira d’elle qu’elle est bien en chair. Elle est déshabillée d’une espèce de guêpière à mailles extra larges qui la découvre des pieds jusqu’au cou. Tous les endroits « stratégiques » sont naturellement à l’air libre. Autant dire qu’elle est totalement nue.
Elle s’assoit à mes côtés, dois-je dire qu’elle se blottit, et nous parlons doucement en français. C’est suffisamment inhabituel dans cet établissement pour mériter d’être souligné. Née au Cameroun, elle est arrivée il y a onze ans en Allemagne où elle demeure à Stuttgart. C’est là qu’elle retourne à l’occasion des congés des différents clubs qu’elle fréquente. Elle est à Offenburg depuis quelques jours et y restera jusqu’à mercredi, date où elle rentrera chez elle pour revenir le 28 novembre au moins jusqu’à Noël (pas de retour au Cameroun prévu).
Je sens que je vais craquer. Elle se colle. Les bisous lascifs sont généreusement accordés. De temps à autre une main s’insère sous ma serviette. Je sais qu’elle a gagné et que je dirai oui quand elle posera la question. Ma serviette se soulève sous la pression du désir et je la suis quand elle la pose.
Une fois dans la chambre, elle tient ses promesses. Les massages qui précèdent la fellation sont divins. Elle utilise une espèce d’huile. Au moment de la fellation, elle me laisse le choix entre le service normal ou l’éjaculation en bouche. Le service normal me convient d’autant plus qu’il est moins dispendieux. La séance se poursuit, passe par la case cuni et s’étend sur une heure. Je n’ai pas envie de vous en révéler davantage sinon que je suis aux anges. Une fois parvenus au terme d’une chevauchée fantastique, je vais gratter dans mon portefeuille pour me rendre compte que j’ai les moyens de m’offrir une prolongation.
Nous voilà donc repartis pour un round final auquel il me semble qu’elle n’est sincèrement pas restée indifférente.
Et c’est donc rincé dans tous les sens du terme que j’ai fini par abandonner le Lancelot en me faisant la remarque que cela faisait quelques années que je ne m’étais pas retrouvé en nage après une copulation avancée.