Ce qui m'intéresserait de mieux comprendre, ce sont les modèles économiques des Partytreffs/FKK : cela permet de comprendre les comportements des oursonnes. Ex : au Samya , l'heure est à 75 euros (et non 100 euros = 2 X 50 euros par 1/2 heure). Du coup les oursonnes ont tendance à accélerer le rythme à l'approche de la fin de la première demi-heure, la seconde étant moins rentable.
J'ai appris récemment que certains clubs "prélèvent" sur le prix de la session que l'on verse à l'oursonne une dizaine d'euros pour la location de la chambre... J'ai assisté dans un club en périphérie de Cologne, à une scène d'enguelade entre la Thekefrau et les oursonnes qui restaient trop souvent à la machine à sous. Quand on sait que l'établissement touche un pourcentage sur les sessions, on comprend mieux... C'est un peu en contradiction avec l'esprit de la loi allemande qui stipule que les oursonnes sont indépendantes, et ne doivent subir aucune pression sur le nombre de sessions qu'elles réalisent.
Le cas des Partytreffs est un peu ambigu : on ne sait pas trop si elle sont payées à la journée, ou au ticket.Dans le premier cas, peu de motivations des oursonnes qui peuvent avoir un comportement fuyant. Dans le second cas, j'ai entendu des rémunérations qui font réfléchir (de l'orde de 5 euros la session) . Au Gleizstall (Parttreff : 100 euros all inclusive), le Thekefrau notait srupuleusement les temps de session, l'oursonne se fait elle rémunérer au temps passé ? C'est vrai que les oursonnes n'étaient pas "chrono", contrairement au Poppstall ou au bout de 20 mn, elles vous disent qu'il faut vite finir ...