Discussion : Mon histoire avec une " fille de joie"

[Lucia]

Perso, un de mes copains viendrait déballer notre vie privée ici, je l'aurais mauvaise.
On dirait une ev, en moins salace.

Des fois, c'est vous qui ne faites pas la coupure vie privée/boulot, pas nous.

[epaphos]

Je vais partir d'ici quelque temps pour une destination très lointaine. Cette décision je l'avais prise avant de la connaître en tant que femme. Je ne peux plus faire marche arrière.
Je veux témoigner ici. Attention mon récit est volontairement subjectif. Le parcours d'un client, d'un homme désabusé qui franchit délibérément la «*frontière*».
Depuis ma séparation conflictuelle d'avec la femme qui a partagé ma vie pendant 20 ans, mère de ma fille, je me suis mis à fréquenter les FKK.
Je déteste draguer, et je ne me voyais pas raconter des Bobards à une fille pour la mettre dans mon lit.
Les FKK après mon long passé de libertin en couple, me permettait d'assouvir mes envies sexuelles.
Cela me rendait disponible pour une autre histoire si l'occasion s’en présentait, sans que ces pulsions n’interfèrent.
Je suis donc devenu un client régulier de ces lieux de débauche. Au cours de ces deux dernières années, j'ai même connu deux petites histoires avec deux filles de FKK, sans que je demande quoique ce soit.... sans chercher non plus à les décourager, trouvant cela plutôt flatteur pour un homme de mon âge, sans charme particulier.
J'ai toujours essayé de traiter les oursonnes avec respect, et délicatesse. Je n'ai pas de mérite particulier n'ayant pas de fantasmes sado-maso.
Je ne donnerai ici pas de d’éléments permettant de l'identifier, ni de savoir ou ces faits se sont passés... même si inévitablement des recoupements seront faits. Rien ne peut rester complètement anonyme.
J'appellerai donc cette oursonne , Miss. Cela suffira, car elle est désormais chère à mon cœur. Il n'est pas besoin de lui donner d'autres noms ou pseudos.

Juin 2012, un ami connu sur ce forum me propose de découvrir un nouveau club. Mes week-ends de célibat me semblent trop long. Je suis néanmoins dubitatif à l'idée d'aller dans un lieu que je ne connais pas. Je me méfie de tout ce qui est nouveau et je dois souvent me faire violence pour essayer.
Pour emporter mon adhésion cet ami me dit, enthousiaste*: «*tu verras il y a une petite qui devrait te plaire, elle est très GFE*».
je précise que pour les aficionados de ce forum tout comme un modérateur désormais éminent, cet ami partage une passion particulière pour les femmes de couleur, lesquelles sont avouon le très sensuelles.
Pour ma part et après avoir expérimenté, roumaines, bulgares, russes, slovènes..., etc ma préférence se porte également sur ces filles typées, bon mon ex était aussi métissée ceci doit expliquer cela.
Je me dis pourquoi pas, après tout.
Par une belle après midi, nous arrivons dans ce club plus grand que celui que je fréquente habituellement. Je me languis auprès de la piscine. La miss devant sans doute travailler, nous ne l'avons pas encore aperçue.
Au bout d’une demi heure environ, je vois apparaître une liane d'ébène, d'une vingtaine d'années tout sourire, laquelle vient saluer mon ami. Il me la présente, ce qui me frappe dans ce visage c'est d'abord son sourire éclatant, qui paraît sincère, ses petites lunettes qui lui donne un air d'écolière sage.
Est ce donc cette miss dont il m'a parlé*? Cette jeune fille sage, souriante*? Je m’avance vers elle , je lui baise la main en prenant soin que mes lèvres ne touche pas sa peau, tout en lui disant*: enchanté*! Miss mon ami m'a tellement parlé de toi que j'avais à cœur de te connaître*»
Bref un parfait baise -main de gentleman, elle pouffe la miss. Sans doute n'a t'elle pas l'habitude de ce genre de présentation.
Je laisse mon ami s’éclipser avec la belle, je ne suis pas pressé de toute façon et en quelque sorte je lui concède le droit d’aînesse.
Que pensais-je à ce moment*? Rien à vrai dire, je la trouve mignonne cette fille, mais mince vraiment très (trop) mince*?
Souvent ma préférence va vers des femmes plus «*femmes*».
Je regarde les alentours charriant son flot continu de roumaines, au moins cette fille apporte de l'exotisme dans un lieu qui en manque singulièrement.
Lorsque la session de mon ami est finie, la miss enchaîne tout naturellement avec moi, avec un naturel désarmant, presque sans mots échangés.
Première chambre avec une nouvelle oursonne. Je ne sais pas vous mais moi j'appréhende toujours. Ces premiers frôlements, même tarifés. Je paye certes, mais ma partenaire va t'elle pouvoir s’accommoder de mon contact, allons-nous nous «*trouver*?».
La miss se déshabille, ses seins pointus aux mamelons proéminents me sautent au visage, avec toute l’arrogance de leur jeunesse.
Mais déjà la miss s'empare de ma bouche et de ma langue*. Ça c'est bien du DFK, sans contestation possible. Presque du viol lingual comme le dit mon ami... et pourtant cela n'est pas totalement sauvage, il reste dans ce geste de la douceur et de la tendresse.
Je sens la pleine bonne volonté de la miss, elle veut réellement bien faire son job et me mener vers le plaisir.
Changement de position sa bouche happe ma virilité turgescente, ma bouche découvre son intimité moite, son coquillage rose nacré. Ses fesses fermes, qui sont aux antipodes de l’image de la croupe callipyge des africaines.
Puis vient la pénétration, ses jambes se nouent autour de mon cou, pour favoriser l'intromission.
Son attitude pendant le coït est juste, pas surjouée, elle semble apprécier ce à quoi elle se livre sans pour autant se transformer en «*screameuse*» j’apprécie*!
En outre la miss ne s'est pas badigeonné l'intimité de gel, seule son humidité naturelle a favorisé l 'introduction de mon sexe en elle.
Bon en même temps je n'ai pas la prétention d'être un étalon.
Je la prends en missionnaire, puis elle me chevauche en amazone, ses seins sont dans ma bouche.
Pourtant je sens que je ne jouirai pas ce jour là. Pourquoi*? Je n'en sais rien, mais je le sens...
Je transpire , elle aussi*; il fait chaud dans cette chambre près de l'accueil, le ventilateur ne peut contenir cette moiteur. Je déteste dégouliner sur ma partenaire.
Je propose à la miss de terminer cette session en discutant un peu, ce qu'elle accepte volontiers.
Et là, ce que le sexe n'a pas réussi … à nous assembler, la conversation va le faire. Les échanges s’enchaînent limpides, sans fausse pudeur. Je lui confie ma vie, mes merdes, elle aussi se confie.
Classique jeunesse chaotique, puis un petit ami jaloux, ensuite défi, l’argent facile*!
Ce serait presque ne publicité vivante pour nos «*amis*» du Nid.
Pourtant la miss m’étonne, en posant malgré son jeune âge un discours construit, elle se projette déjà dans l’après.
Elle semble ne pas encore en être au point ou elle jette tous les hommes dans le même sac.
Dans un heureux concours de circonstance, je devine ses deux vrais prénoms. J'ai l'impression qu'elle me prend pour un magicien, alors que je n'ai fait qu'appliquer les règles de probabilités par rapport aux dix propositions de prénoms qu’elle m'a faite.
Elle reste interloquée, comment tu fais ça*?
Ah miss c'est un secret*!
En fait des que je t'ai vu j'ai eu l'impression de te connaître. C'est faux évidemment*; j'ai dit cela comme ça sans réfléchir.
Ainsi notre première entrevue ne se conclut pas par ma jouissance et une éjaculation, mais par une certaine intimité. C'est un peu toute proportion gardée comme si je connaissais l'identité réelle d'une super-heroine.
Elle me fait promettre de ne pas révéler ses vrais prénoms, y compris sur ce forum dont elle a déjà entendu parler.