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Discussion : Trazegnies : CLARA (roumaine, brune)

  1. #


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    janvier 2008
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    195

    Par défaut Trazegnies : CLARA (italienne, blonde - reçoit)

    Bonjour,

    Il y a environ 1 mois..je lui avais téléphoné pour infos et je n'avais pas pris RV..;elle m'avait envoyé son adresse en sms.
    Aujourd'hui..je passais par là...je me décide à sonner ..et elle apparaît....Pour aujourd'hui impossible..car horaire n'allait pas..
    Mais dès que j'ai du temps de libre je vais lui rendre visite..et..
    Au premier abord, elle est superbe, c'est la fille des photos, elle était en robe blanche...
    Très jolie..mince mais des formes là où il faut comme sur les photos.....beau sourire et très sympa...150 euros/heure...pas de fellation sans... tout est indiqué dans l'annonce...
    quand je lui aurai rendu visite...;d'ici 2 semaines quand mon emploi du temps me le permettra, je ferai un compte - rendu
    https://www.quartier-rouge.be/prive/femmes/clara-belle-italienne.html

  2. #


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    mars 2011
    Messages
    426

    Par défaut

    Citation Posté par fuegoloco Voir le message
    En même temps, tu voulais aussi allez voir sa copine. Mais french kiss et lechage de couilles, sa copine Bianca elle fait elle ?
    Pour les avoir connu et fréquentée rue d'Aerschot, je confirme : frensh kiss, léchage de couilles, pipe bio faut même pas y penser.

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  1. #


    Aurélio Guest

    Trazegnies : CLARA (roumaine, brune)

    Il fallait que le corps exulte, comme disait l’autre… Bref, en dépit de travaux absorbants, je m’en suis détaché le temps d’une exploration nocturne de ces quelques centaines de mètres de bitume, trottoir et vitrines où, sans doute, il sera dit au jour de ma mort que c’est là, dans ces bouges réputés pour leur inconfort notoire et leur manque flagrant d’intimité, que je connus non pas la félicité ou la plénitude physique, ce serait beaucoup dire, mais un nombre appréciable de frottements d’épiderme, rapprochements de muqueuses et autres épanchements de fluides, opérations un peu plus, tout de même, qu’une simple gymnastique hygiénique, l’âme aussi, ou ce qui tient lieu de siège des émotions et des sentiments, participant peu ou prou à la chose ; et je n’en veux pour seule preuve qu’il ne suffit pas qu’une fille quelconque s’offre, contre monnaie sonnante et trébuchante, à me soulager d’un excès de semence, pour qu’aussitôt je me précipite, braguette béante et mantule à l’air, dans l’antre du vice, mais qu’au contraire, je ne suis jamais plus heureux qu’après le choix longuement mûri d’une nymphe aux formes idéales, réplique, peut-être, des jeunes filles dont naguère je rêvais sans jamais, timidité excessive ou conscience des limites de ma séduction, oser m’approcher - et quand bien même l’eus-je fait, d’ailleurs, à quels râteaux, à quelles pelles, gamelles, amères déceptions, humiliantes fins de non-recevoir, ne me fus-je pas alors exposé ? Tandis qu’ici, maintenant…

    C’est au 132 qu’elle m’apparut, vitrine de gauche, ondulante sirène captive d’un aquarium rempli d’eau trouble et saumâtre, peut-être, mais d’un pouvoir d’attraction tel à mes yeux, cette belle prénommée Carla, que je compris instantanément, moi l’hésitant, le qui soupèse cent fois le pour et le contre, jauge, mégote (elle est toujours trop ci, pas assez ça), reporte jusqu’à ce que j’aie atteint ce degré d’excitation qui transforme le petit poisson égaré au milieu des requins en grimaçant Neptune, dieu de la mer, foudre à la main, prêt à décharger cet électrique prolongement de lui-même dans l’eau salée d’un giron mercenaire... ; je compris, disais-je, qu’il ne s’écoulerait plus beaucoup de temps dans le grand sablier de la mer avant que je ne me retrouve nu comme un ver, le sexe pris dans l’étau des lèvres de Carla, puis de son sexe à elle, tandis que mes mains et ma bouche, peut-être, recevraient la permission de participer à la découverte d’un corps plein de promesses.

    Disparue un moment pour les tractations avec la Carabosse de service, consistant en la remise du classique billet de 50 euros augmenté de la classique pièce de 2 euros, la fée Carla revint toute émoustillante dans les bras de l’émoustillé, qui lui présentait, en hommage à sa gracile beauté, une étrange bite d’amarrage qui lui saillait au bas ventre et réclamait des soins urgents. Comment elle s’y prit dans la première minute pour maintenir, ou pour augmenter encore les avantageuses proportions que prenait ce qui, d’ordinaire, ne dépasse guère le volume d’un gros scampi dépouillé de sa carapace, j’ai un peu de mal à m’en souvenir, mais me revient parfaitement en mémoire, par contre, la position dite « levrette », lors de laquelle Carla usa à merveille d’un postérieur doté d’une grande intelligence sensorielle et de beaucoup de souplesse, habile aux mouvements rotatifs, puis à suspendre les ondulations pour inviter ma sonde, enfoncée jusqu’à ses tréfonds, à goûter de plus subtiles sensations, tordant vers moi la partie supérieure de son corps de manière à présenter à mes lèvres la face latérale de son visage, bouche hormis, sage tabou en des lieux scandaleusement dépourvus de l’infrastructure nécessaire aux rinçages buccaux et autres ablutions corporelles.

    Au final, bercé par la houle qu’imprimait, à l’univers tout entier et non pas seulement à la modeste cabine, la croupe en mouvement de Carla, dont la température semblait augmenter à mesure que mon thermomètre se faisait un devoir de la prendre, ce dernier ne tarda pas à sentir le mercure s’élever jusqu’à l’explosion finale, remplissant le petit ballon de sécurité que les ingénieux ingénieurs ont conçu à cet usage.

    Un dernier regard nostalgique en direction de Carla, environ 1,60 mètres, 20-22 ans à tout casser, seins naturels, ni trop petits ni trop gros, portant un maillot deux pièces d’une couleur claire, « jaune-pêche » ou « brun-sable », si mes souvenirs nautiques sont exacts. Je pense également me souvenir qu’il est plus utile de lui parler anglais que français, qu’elle dit à peine comprendre. Le lecteur attentif aura compris de lui-même que Carla « fait » le shift de nuit.

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