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Discussion : Comment choisir une oursonne ?

  1. #


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    février 2010
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    156

    Par défaut

    Je n'ai pas (mais ça va venir) une énorme expérience en FKK.

    mais ça ne m'a pas trop mal souri ya 2 mois au Living Room

    quelques règles à appliquer dans le désordre (enfin peu importe)
    -le sourire (une fille qui tire la tronche avant social time...voir encore pire pendant le social time ->je les fuis comme la peste)
    -un social time réussi, qui permet de jauger, se mettre en confiance et aussi de poser des questions de manière plus subtile et plus dans un contexte
    -"garder la main", ne pas céder trop vite et aller en chambre précipitamment sous prétexte que c'est notre type de femme ou bien parce qu'on est trop sympa de nature . c'est le punter qui décide quand il veut y aller et si il veut aller ou non en chambre avec telle fille
    -prendre son temps et observer comment elles se comportent entre elles et avec les autres oursons

  2. #


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    mars 2012
    Messages
    1 261

    LE FRUIT DU HASARD

    D'abord tout dépend de l'envie du moment, des fois elle ne vient pas..
    Ensuite dans mon cas, je choisi généralement une oursonne qui me plait physiquement, peu importe qu'elle soit individualiste ou avec ses groupes de copines.
    Mais, il est également arrivé plus rarement que l'oursonne m'ait dragué et que j'ai accepté de monter en Chambre. bien que pour moi il faut évidemment le feeling déclencheur de l'effet.
    j'ai connu mes meilleurs sessions en allant moi-même vers le fille et non l'inverse.

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  1. #


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    mars 2013
    Messages
    280

    Par défaut Comment choisir une oursonne ?

    Chacun d'entre nous a évidemment une idée principale en tête : comment ne pas se tromper dans le choix de son oursonne.

    La vie est faite de choix bien entendu, mais là ce choix coûte 50 € (au minimum) et ... une cartouche. La somme est dérisoire pour certains, relativement conséquente pour d'autres, et quant à la cartouche ... c'est selon votre état de santé, votre âge, votre temps disponible, mais l'ensemble fait qu'en général c'est quand même une question importante, voire même parfois limite angoissante.

    Le point de vue m'apparaît différent selon qu'on est chasseur ou chassé.

    En principe je préfère la première position qui ouvre plus de choix. La première chose que je fais généralement quand j'arrive enclub, c'est de prendre une boisson, de m'asseoir à un endroit stratégique d'où je pourrai tranquillement observer les forces en présence et de prendre un air absorbé sur ma consommation, voire peu aimable si la politique locale c'est "la chasse est ouverte". Je prends alors garde à ne pas laisser mon regard s' attarder trop longtemps sur une oursonne en particulier ce qui pourrait constituer une invite mettant prématurément fin à ma période d'affût. A un moment, je finis par repérer quelques "proies" potentielles, évidemment sur des critères essentiellement physiques : la fille me plaît. Mais ce n'est évidemment pas suffisant sauf si on est ce jour là dans une logique d'optifick (cela m'arrive) et que l'on se fiche de la qualité réelle de la relation : ce n'est plus une bonne session qu'on recherche mais un simple trophée à accrocher à l'autel de ses fantasmes. Mais la plupart du temps je recherche du qualitatif et là c'est bien plus difficile à trouver car cela suppose un minimum d'affinités réciproques. Je n'ai jamais été un bon dragueur, sans doute parce que dans ma tête se bousculent trop d'idées sur les suites de la relations (question d'éducation) : est-ce que la fille me plaît ? Est-ce qu'elle me plaît suffisamment pour une relation sérieuse ? Est-ce que je ne suis pas en train de lui faire espérer une relation dont au final je n'ai pas réellement envie ? Et quand la fille me plaît vraiment c'est encore pire : les mêmes questions sont cette fois à l'envers et cela me paralyse littéralement le cerveau, je régresse carrément au début de mon adolescence, ce qui est un peu débile à 40 ans passés . Mais dans les clubs, toutes ces barrières tombent car l'enjeu est évidemment bien moindre et à priori on ne parle pas d'amour, mais seulement d'une bonne ou mauvaise session. Bref c'est quand même plus facile de de concentrer sur quelques indices révélateurs quand on ne pense à rien d'autre. Premier critère : est ce que l'oursonne me regarde. Un bon indicateur, mais au fil du temps je me suis aperçu qu'il n'était finalement pas fiable en ce qui concerne les meilleures sessions, celles qui vous laissent des étoiles dans les yeux, le nirvana du punter ... On pourrait penser que lorsqu'une fille décide de travailler dans un club, elle laisse son ego à la porte, puisqu'elle est là pour faire du fric et rien d'autre et la plupart du temps avec des types qui ne lui plaisent pas, voire mieux la dégoûtent. Pour certaines filles, c'est évident, ce ne sont plus que des robots, tout est mécanique, remarquablement contrôlé, et le sourire et les prestations seront les mêmes pour chacun avec une constance qualitative remarquable, ce sont généralement des filles qui font d'ailleurs l'unanimité sur Youppie, car tout le monde est content. Là on peut vraiment parler de services ou de prestations, ce sont des vraies pros. Rien à redire, j'aime bien aussi tomber sur ce genre de filles, la session ne sera peut être pas merveilleuse, mais j'en sortirai content. Mais c'est l'exceptionnel qui m'attire vraiment et là évidemment c'est rare, bien plus rare, et ce n'est possible qu'avec des oursonnes qui ne sont pas complètement déconnectées du corps qu'elles vendent. Après bien des déconvenues et un peu par hasard, en prenant mon parti de me résigner à faire de l'optifick avec une fille qui me plaisait vraiment, alors que je lui paraissais complètement indifférent, je me suis rendu compte que bien souvent ces oursonnes ne me regardaient pas (alors qu'elles avaient immanquablement remarqué mon intérêt) ou s' arrangeaient probablement pour le faire au moment où je tournais mon propre regard. Seule explication que j'ai pu trouvé, ces oursonnes souffrent suffisamment comme cela de leur condition de prostituée pour ne pas vouloir en plus se prendre "un vent (la situation est évidemment inversée cette fois) avec un client potentiel avec en uel pour une fois elles auraient bien envie de partir en chambre ... J'ai tellement de fois vérifié cette attitude apparemment contradictoire que j'ai fini par en faire progressivement l'un de mes critères de choix, et le plus périlleux qui soit ! Car parfois, c'est évidemment l'inverse, vous déplaisez à l'oursonne ou elle est mal lunée, et si elle part quand même en chambre avec vous, parfois après vous avoir pourtant souri de manière tout à fait convaincante après l'avoir abordée, c'est que vous représentez ... 50 €. Inutile de dire que la session sera au mieux décevante et au pire catastrophique !! Alors j'essaye d'affiner la méthode en étudiant plus attentivement son attitude : est-ce qu'elle sourit ? Est-ce qu'elle semble nerveuse, excitée ? Est-ce qu'elle a des gestes de séduction ? Mais tous ces indicateurs qui fonctionnent dans la vie réelle sont complètement faussés ici, car c'est la base du job des oursonnes : nous faire croire qu'on les séduit, alors que notre vraie arme de séduction massive est dans notre casier .... Le seul et unique indicateur véritable c'est le regard de l'oursonne, on dit bien qu'il est le reflet de l'âme. Mais c'est souvent tellement subtile ... Des fois j'en suis totalement convaincu avant de partir en chambre, je ne peux pas expliquer pourquoi, mais "je sais" et je me trompe pas. Parfois en revanche l'oursonne se sent trop humiliée par son job (même quand elle l'a librement choisi) et son regard reste un peu vide. Mais c'est en chambre, dans l'intimité, qu'il va reprendre vie. Et là ce sont des moments d'exception.

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