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Discussion : Les récits de vos visites et bavardages à Casablanca

  1. #


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    juin 2008
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    277

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    Bah ça dépend sur qui vous tombez en fait, effectivement la gentrification n’aide pas et si vous ne connaissez personne sur place c’est compliqué ( je ne crois pas à l’histoire du gus et ses deux étudiantes qu’il a gratos dans la rue en 2h ).

    J’ai mes plans là bas uniquement avec des femmes que je connais déjà en revanche la qualité en salon a ( je trouve ) beaucoup baissé et les prix se sont littéralement envolés. La où à Agadir ça commence pour moi a 300 et j’arrive même à négocier moins à Casa ça commence systématiquement à 500 elle tenteront toujours de vous pigeonner, merci les pignoufs.

  2. #


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    novembre 2018
    Messages
    24

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    Faut arreter de nous raconter des salades l'ami..

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  1. #


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    juillet 2008
    Messages
    25

    Par défaut Les récits de vos visites et bavardages à Casablanca

    Aïcha, Aïcha, ma vierge Aïcha ! De tes 22 ans, entre mes bras, tu es passée experte en plaisirs de tous les sens. Je t'ai demandé si tu voulais me retrouver après Ftour, tu m'as dit oui. En cette période de ramadan, je t'ai questionné, peux-tu venir couverte du Nikab où seuls apparaissent tes yeux magnétiques. Tu m'as tout de suite dit oui.
    Vers chez moi, tu marches trois mètres derrière comme le veut la tradition, nous montons les escaliers, j'entends tes hauts talons frapper le marbre gris. Nous entrons, fermons la porte à double tour et je regarde tes yeux. Ton corps vêtu de noir caché derrière les draperies sombres frémis à chacune de mes caresses. Que caches-tu là-dessous, je veux savoir, je veux voir. Décidée, d'un geste unique, tu lèves le voile intégral et me fais découvrir tes dessous de dentelle rouge. Le rouge et le noir, j'ai failli tressaillir.
    Tes gros seins fermes, tes jambes qui ne finissent d'être jambes, quel régal.
    Nous avons tout notre temps. Dans la salle de bains, sous la douche, tu me ouins du délicieux savon filant à l'huile d'argan la veille acheté au souk. Au gant marocain, par ton gommage expert, mon épiderme s'est mû en satin.
    Sous le jet, ta bouche ouverte, Aïcha, se referme sur moi, tu me fais perdre le sud.
    Rincé, tu me sèches tendrement de haut en bas, tu me tamponnes avec l'attention particulière le milieu de mon anatomie. Déjà sur le lit, je ne peux m'empêcher de caresser tes longs cheveux noirs et de cabrasser ta tête à bisous. Pas de doigt, tu es vierge, je respecte ! Sur le dos, fière, les jambes en grand-écart, spontanément tu m'as montré ta virginité, je la confirme, je fonds. Comment poursuivre ? On l'a deviné ! Bien installée sur moi, tes petits cris mêlent la douleur au plaisir. Rapidement, la tension disparaît pour le plaisir total. Vous l'avez deviné, la défloraison n'a pas été celle que l'on croyait être. Pour sa première fois, j'ai éteint son feu de l'autre côté de la colline. Elle a jouit trois fois. Rendez-vous est pris pour la prochaine séance, Aïcha m'a promis, je serai le premier partout. Bisous, bisous Aïcha, je t'aime.

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