Elle est à quatre pattes sur le lit, nue, son cul pointé vers moi offerte, son regard réfléchi par le miroir, elle a tourné la tête pour me regarder.
Ma bouche est pleine de salive, pleine de désir.
J'approche, lentement, sur mes genoux , bien droit. J'écarte doucement ses fesses , je laisse couler ma salive entre elles.
Nos regards se croisent dans le miroir.
Sourires.
Ma main gauche emprisonne un sein, ma main droite glisse lentement mon gland entre ses fesses et autour de son cul. Elle tend son postérieur vers moi, cherchant mon membre.
Je me retire, m'éloigne, agace, titille. Puisqu'on m'a donné le pouvoir, j’en profite.
Je me penche et pose ma bouche sur son orifice. A nouveau je laisse couler ma salive que j'étends avec ma langue. Je caresse ses fesses avec mes mains tout en jetant un coup d'œil du côté du miroir.
Elle est là, comme un fruit mûr, prêt à être dévoré.
Je me relève et glisse la tête du mon gland dans son anus, tout en la regardant dans le miroir.
Elle ferme les yeux, sourit, soupire. Entre mes mains, je sens son souffle tendre et détendre sa taille étroite.
La pression de mon gland me maintient aux abords d'un orgasme. J'insère le gland un peu plus loin.
Elle soupire langoureusement.
Je retiens ma jouissance.
J'insère mon membre un peu plus loin. Elle grogne de plaisir, je me retiens encore.
Mon sexe est presque entièrement en elle maintenant. Elle gémit de nouveau. Entre sa peau et ma peau, il n'y a plus que quelques centimètres.
Mon membre a totalement disparu, happé dans notre hystérie.
Sa bouche émet des sons insolite.
Je laisse mon torse s’aplatir sur son dos. Je l'enserre de mes bras et me retourne, l'entraînant avec moi. Je la prends sur moi. Mon bassin se cambre, mes coups de reins sont de plus en plus violents.
Je me retire brusquement, elle prend ma bite entre mes mains. En quelques secondes, mon foutre explose en longues giclées .
Feux d'artifice.