Discussion : Belleville : NANA (la trentaine, petite)

[Fspirit]

Ayant oublié de lui demander son numéro de téléphone, je retourne à Belleville deux jours plus tard en début d'après-midi pour rechercher Nana.

Je la trouve assez facilement, elle est en train de discuter avec une copine devant le Paris Store. Elle est vêtue de bottes noires, collants noirs, jupette noire et blouson en tricot noir. Je passe devant elle, elle me reconnait, petit signe de tête et nouvelle filature jusqu’à son studio.

Cette fois, ses sous vêtements noirs et roses sont sexy, elle me laisse la déshabiller. Elle passe ensuite aux toilettes pour un petit nettoyage, ce qui laisse augurer de ce qu’elle attend de moi et de ma langue.

Elle ne se fait pas prier pour un 69, je l’interromps avant le point de non retour. Puis elle revient me chevaucher comme la première fois, alternant baisers et caresses de ses seins.

Ayant un petit coup de mou, elle me décapote, m’enduit le sexe d’une lotion pour le corps, et me masturbe en léchant mon gland avec sa langue. La vigueur revenant, on recapote et je finis en missionnaire.

On se rhabille, elle me lasse mes chaussures, me peigne, comme toute bonne épouse chinoise dévouée à son mari… Cette fois, je n’oublie pas de lui demander son numéro de téléphone et son Wechat.

Vous l’aurez compris, Nana est très GFE. Prenez soin de son désir et elle vous le rendra au centuple. Mais surtout, n’oubliez pas: c’est moi son Lao Gong !

[Fspirit]

J’ouvre un nouveau fil pour Nana, la trentaine, 1m55, arrivée depuis trois mois de sa province de Jiling. Elle ne semble pas correspondre aux multiples Nana déjà décrites ici. Son 07 finit par 63, je laisse le soin aux modos de déplacer ce fil si nécessaire.

J’ai croisé Nana qui allait se poster Bd de la Villette, à l’angle de la rue du Buisson St Louis. J’ai été attiré par ses grands yeux de biche apeurée.

Elle était habillée d’une doudoune beige sur une robe en tricot écru, et des collants noirs. Le temps de faire un tour du quartier pour voir le reste de l’offre, je retourne la voir ; elle propose 50€, que je ne négocie pas. Je la suis à distance jusque son studio, au dernier étage d’un immeuble de la rue Jean Moinon.

Elle se déshabille et révèle des sous vêtements de couleur chair, avec culotte de grand-mère et soutien gorge à 5 rangées d’agrafes. Rien d’affriolant. Ses seins sont petits (90A à vue d’œil), elle a un peu de ventre et son sexe est peu épilé.

Elle m’embrasse profondément, puis nous passons au lit. Fellation avec, assez bien réalisée. Je lui propose de m’occuper d’elle. Après nettoyage de sa vulve avec une lingette, elle vient s’assoir sur ma bouche et s’offre à ma langue, pendant que je lui empoigne les seins. Re-lingette pour m’essuyer la bouche, afin de m’embrasser goulument, pendant qu’elle me chevauche en cow-girl. Elle prend bruyamment son pied une première fois, en m’appelant « Lao Gong, lao gong » (mari).

Comme elle semble épuisée par sa chevauchée, je la place sur le dos, ôte la capote, et me branle entre ses jambes, tout en la masturbant avec le dos de ma main. Elle reprend son pied une seconde fois lorsque je gicle sur son ventre.

Petit social time entrecoupé de baisers langoureux, puis je la quitte en lui donnant une petite rallonge.