Discussion : Bordeaux : CLARA DOUCE (française - rousse)

[Arnaud33]

Merci pour l'évaluation ceci dit tu dois avoir du courage pour te lancer sans connaitre la fille ni même de précédent EV.
Et tout sa pour la modique somme de 250 E

oui j'y suis allé sur un coup de téte au dernier moment... Mal m'en a pri, j'ai pas enquêté!!

[coquin33]

En lisant bien le forum, il y avait déjà un fil sur elle où tout était déjà expliqué
https://youppie.net/showthread.php?1...aise-rousse%29

[meursault33]

http://www.sexemodel.com/escort/Clara_douce-113454/

J'ai vécu hier la pire expérience de rencontre avec une escorte. Sûrement mon appréciation a-t-elle été amplifiée après être resté sur les impressions positives d'une belle rencontre avec Satsuki.

J'ai trouvé l'annonce de Clara sur le site sexemodel, où à mon sens la qualité des annonces décroît avec leur nombre, qui a beaucoup augmenté ces deniers temps sur Bordeaux. La fiche de Clara me paraissait sincère : photos amateurs (non empruntées), une description correcte et quelques commentaires qui allaient dans le bon sens. Mon besoin sexuel du moment , la confiance en moi d'avoir toujours fait des rencontres agréables m'ont poussé à contacter Clara par texto sans faire de recherches plus approfondies (lire «utiliser la fonction recherche de ce site»), hormis les photos de son profil. Ce n'est qu'après coup que j'ai découvert des avis très négatifs, alors qu'elle était sur Lyon.

Je lui envoie donc sur les coups de 20h un texto de présentation et de prise de contact. La réponse est immédiate, rendez-vous est pris pour le lendemain à 13h: 150€ la demi heure, 250€ pour une heure, pas de sodomie ni d'éjaculation buccale ou faciale. Je dois confirmer le jour même, ce que je fais en début de matinée le lendemain. J'en profite pour lui demander si une douche est possible chez elle, elle répond qu'il n'y a pas de problème. Tous les indicateurs sont au vert.

Il est 13h, j'arrive sur le lieu du rendez-vous en centre de Bordeaux. J'envoie un message, elle m'indique ou sonner pour la rejoindre devant la porte de son appartement. Je suis confiant, la communication est fluide depuis la veille, une certaine excitation grandit à l'approche du moment de la découverte. Je pénètre dans l'immeuble et sonne à sa porte. Bruits de talons sur le sol, tours de clé, la porte s'ouvre.

Première impression : il ne s'agit absolument pas de la même fille que sur les photos. De rousse à la peau laiteuse en petite tenue sur les clichés on passe à une brune, maghrébine en robe moulante perchée sur des talons. Ce n'est certainement pas la fille des photos mais elle a un très joli sourire qui compense largement cette surprise. Sans tarder, elle me guide vers la chambre, la décoration y est austère pour ne pas dire inexistante : le lit, une étagère, une valise posée par terre et une table de nuit où reposent lubrifiants et préservatifs. Je ressens un léger trouble, c'est la première fois que je me retrouve dans cette situation, une fille qui n'est pas conforme aux photos. Cela entame d'une certaine manière la confiance que vous pouvez placer dans la relation qui va se jouer.

Clara me dit que je peux me déshabiller et poser mes affaires sur l'étagère. Elle enlève sa robe, son soutien-gorge a du mal à contenir une poitrine qui semble lourde et ferme. Elle a un peu de ventre, des formes rondes, je la trouve jolie. Me voilà en caleçon avec une légère érection. À ce moment là, j'ai envie d'elle, malgré la petite tromperie. Elle m'invite à m'allonger pour un massage, je la sens timide dans les paroles, dans ses gestes. Je me dis qu'elle est très jeune et peut être vit-elle ses premières expériences d'escorte ?

Le massage est une catastrophe. Elle me pince plutôt qu'elle ne me masse, et elle sur le côté pour s'exécuter, pas vraiment de contact physique sauf ses mains maladroites. J'essaie tant bien que mal d'engager la conversation mais je la sens sur la défensive comme si les questions que je posais visaient à la démasquer. La sensation est désagréable et mon feeling général se dégrade. Le calvaire du massage se termine dans un silence relativement pesant, elle s'allonge à côté de moi, inerte. Je la caresse, lui dis qu'elle a une peau douce, elle ne réagit pas. Je dégrafe son soutien-gorge, elle se relève pour l'enlever.
«Avant que l'on commence je dois te dire que j'ai les tétons très fragiles, tu peux me caresser autour mais pas les toucher ni les lécher. Je suis obligé de mettre la main dessus quand je me douche."
Silence gêné.
«Ok, je vais faire attention dans ce cas...»
Elle s'allonge de nouveau à côté de moi. Aucune initiative. Je tente de l'embrasser sur la bouche, elle répond du bout des lèvres... Je décide d'enlever sa culotte pour que la vision de son corps nue fasse monter le désir qui est pour l'instant proche du zéro. Son sexe est épilé, je caresse les cuisses pour remonter doucement vers sa fente. Elle serre les cuisses. «Pas de doigt par contre s'il te plait». J'ai du mal à y croire, je suis pris de court. Pas le temps de réagir qu'elle se met assise sur le lit.
«Tu veux une fellation ?
- Euh oui allez»

Mon sexe n'est pas vraiment en action depuis le début, pour cause. J'enlève mon caleçon. Je lui demande de mettre un préservatif. Elle est hésitante, ne semble pas à l'aise. Je l'aide à le placer et à le dérouler. La fellation commence. Aucune technique, aucune envie, aucun érotisme. Je caresse ses fesses, je n'ose bien évidemment pas m'aventurer autour de son anus. Au bout de deux minutes, elle s'arrête pour s'allonger de nouveau et se mettre en position de missionnaire. Elle attrape le lubrifiant, à ce moment là je ne l'ai quasiment pas touché sinon quelques caresses ça et là. Elle me badigeonne le sexe avec, j'en conclus qu'elle ne doit pas du tout mouiller. Je la pénètre alors, elle ferme les yeux et réagit un peu, la source d'excitation provient de sa poitrine qui ballotte de façon désynchronisé. C'est toujours à la fois drôle et excitant de voir ce mouvement naturel et élastique. Je l'embrasse un peu, sans plus. Je lui relève les jambes pour varier la position.

Au bout de cinq minutes, je me retire, j'ai malgré tout une bonne érection.
«On fait quoi maintenant ?» Me dit-elle.
«En levrette, tu veux ?
- Euh d'accord oui»
Je ne la sens pas très motivée.

La voilà donc à quatre pattes, exposant ses fesses rondes à ma vue. Je la prends sans tarder. Au bout de quelques va et vient, elle se projette en avant brusquement.
«Mais tu l'enfonces trop!
- Euh mais c'est le principe de la pénétration non ?»
Silence glacial. Je débande. Elle se remet allongée sur le dos. Je comprends à ce moment, au bout de 10 minutes de «sexe», qu'il va falloir vite en finir. Je la pénètre de nouveau, j'accélère pour venir mollement et sans jouissance.

«Fais attention en enlevant le préservatif !»
Elle me tend une lingette. Je lui demande si je peux prendre une douche.
«Ah non car je dois partir dans cinq minutes, je dois aller à la laverie sinon je vais être en retard...» Je suis arrivé à 13h05, il est 13h25. Je me rhabille rapidement, je n'insiste pas. Elle est toujours nue et elle m'attend déjà sur le pas de la porte, prête à me mettre dehors. «Une bise hein». Je lui fais la bise, je me retrouve dans la rue.

Je ne suis pas spécialement énervé d'avoir eu une relation aussi nulle, j'essaie d'analyser les raisons qui poussent cette jeune fille à se prostituer. Je me suis toujours efforcé de rencontrer des «indépendantes» qui mettent un minimum de forme et d'envie à honorer leur prestation, où les règles du jeu sont claires et assumés des deux côtés. Dans ce cas présent, j'ai senti une gêne, sourde, constante, non exprimée. J'espère sincèrement que cette fille est réellement indépendante et qu'on ne la force pas à faire tout cela.