Une EV écrite 2 ou 3 semaines après mon passage.
Lors d'un début d'après midi au PSR où le line-up était vraiment déprimant, j'ai eu l'idée saugrenue de pousser vers le sud et d'essayer le Dolce Vita, dont quelques filles avaient retenu mon attention sur le site Web.
Ce n'était pas une très bonne idée.
D'abord, l'endroit est un pavillon dans un village de la campagne. En arrivant avec une immatriculation française, j'ai été dévisagé par les papys qui causaient dans la rue et qui n'avaient aucun doute sur la raison de ma présence dans ce trou.
Stationnement sans problème sur des espaces réservés devant le pavillon, ce qui est mieux que de laisser la voiture carrément dans la rue.
Après avoir sonné, une jeune roumaine qui fait office de theke m'ouvre et me fait rentrer. Elle n'est pas particulièrement aimable, ne parle qu'allemand, et rechigne à répéter quand je lui demande de le faire en parlant plus lentement. Les tarifs sont de 40 pour l'entrée, 40 pour 1/2h avec la fille, 30 de plus pour avoir une heure.
Les filles étaient jusqu'à là dans un grand living room, nues, au nombre de 6 ou 7. Après que j'ai payé pour 1/2h (mais il faut donc payer d'avance, et donc savoir d'avance quelle durée on veut avan d'avoir choisi la fille), elles défilent et se présentent à moi. Je retiens Monica, que j'avais repérée sur les photos. Elle est jeune, joli corps, et se dit hongroise.
On m'invite à monter avec elle... dans la mezzanine qui surplombe le living room! Il faut donc que j'escalade une échelle avec mon sac à dos, pour pouvoir me déshabiller dans la mezzanine, et passer à l'action sur un matelas sur le sol. Tout cela dans un lieu qui ne permet qu'une intimité relative puisque connecté à la pièce à vivre, bien qu'en hauteur...
Ma partenaire est... bizarre, le regard souvent fixe et dirigé vers le plafond. Ça et les conditions un peu étranges font qu'il m'est impossible d'avoir une érection, malgré french kiss et caresses. Au bout de peut-être 20 minutes, il y a un court échange entre une roumaine en bas dans le living room et ma partenaire, dans une langue que je ne comprends pas, mais qui semble être :
- (en bas) c'est bientôt fini ?
- (ma partenaire) non, il n'y arrive pas...
Quelques courtes minutes après, la roumaine en bas balance en allemand : "si ça continue il faudra payer pour une heure!".
C'en est assez, j'arrête tout, je me rhabille, je refais la séance d'escalade à l'envers avec mon sac dans le dos pour retourner sur le plancher des vaches, je dis au revoir à la dame (Monica qui me raccompagne jusqu'à la porte), et je reprends le volant.
Bilan : pour moi, un endroit éloigné, plutôt glauque, et à éviter, à moins peut-être d'être un habitué et d'avoir droit à un service plus personnalisé.