Je replace ici un EV fait durant l’été 2008 et qui a malencontreusement été effacé par la suite.
Il s’agit du Club Extasia
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Aaaah que certains jours peuvent être heureux.

Visite ce mardi 13 août au FKK de Leverkusen après une journée de boulot à Cologne et un bon petit resto. Le nom est changé de FKK-Wiago en Club Extasia. J’ai hésité avant d’entrer car je craignais, avec ce nom manquant d’originalité, à un club à champagne piège à cochon (que nous sommes tous ). Mais bon je me suis dis qu’étant en Allemagne cela avait moins de risque.

Bref je fais driiinng et la porte me répond bzzzzzzzz. J’entre et je me retrouve face à un escalier et rien d’autre : personne, le vide, nada, schnoll, l’espace intersidéral. Dois-je attendre ? Dois-je monter ? Ou descendre ? Euuh j’attends une ou deux minutes, quelque peu pantois .
Bon finalement, je descends. Raté, je vois une piscine mais personne, pas même un bruit.
Je remonte…
Et au deuxième étages (donc six volées d’escalier plus haut de là où je me suis fourvoyé !) les choses agréables commencent. Le couloir est en tapis plein au lieu des carrelages de l’escalier, les lumières sont rougeoyantes, chouette j’entr’aperçois des demoiselles légèrement vêtues... Et finalement je rencontre la tenancière qui m’adresse un grand sourire.
Elle ne parle pas anglais, elle passe donc rapidement la main à une des filles, qui m’explique le tout très gentiment. C’est très simple.
30 € l’entrée, thermes et boisson à volonté, sauf alcool.
30 € les 20 minutes avec la fille, 50 € la ½ heure et probablement ainsi de suite.
Après payement de l’octroi, je reçois une clef et deux essuies. Lors de mon déshabillage, j’entends des râles et des cris de jouissance autours de moi. Les chambres donnent toutes sur ce couloir et en sont séparés par des portes coulissantes. Une de ses portes s’ouvre, deux hommes et une fille quadragénaire avec des seins énormes, en sortent, l’air exténués du trio qui a eut lieu. On prend la douche ensemble, la contiguïté est de rigueur ici.

Je décide de refaire un petit tour explorateur des installations. Je commence à comprendre l’espace volumétrique très étrange du lieu. En fait le deuxième étage et le sous-sol appartient à ce FKK, le rez-de-chaussée et le premier appartiennent probablement au magasin ayant façade sur la rue adjacente. Ce qui signifie que les types qui travaillent au dit magasin voisin ont un FKK au dessus de leur tête et en dessous de leur pieds. Il y aurait quoi devenir fou. Ne me dites pas qu’à leur place, vous n’auriez pas déjà fait un petit trou de voyeur dans une des parois .

La piscine, au sous-sol donc, est grande, mais vide, elle n’a pas beaucoup d’intérêt, le sauna est chaud, mais vide. Il y a aussi des chambres au abord de la pièce d’eau, vide également. Bref la cave n’est pas le centre névralgique de la débauche attendue.

Je remonte (six rampes d’escalier, je vous rappelle), et je retraverse le couloir pour arriver au bar salon. Là plus d’ambiance : +/- huit filles, en lingerie, elle ne vous interpelle pas mais vous renvoie des sourires, cela fume beaucoup. Elles ont entre 25 et 40 ans, assez souvent bien en chair. Sinon, trois à quatre ours, courtois et placide (sauf ceux du trio, mais qui étaient en partance au soulagement manifeste de la tenancière). Une petite terrasse, avec quelques transats permet de voir les étoiles. La fille plus fine vient vers moi et demande ce que je veux boire dans un excellent anglais.
Je lui répond ‘sparkling water’ et entreprend la conversation, une main négligeament posé sur sa hanche .

Elle s’appelle Martha, est polonaise et mesure 1m80, elle arrive presque à ma hauteur avec ses chaussures compensées. Elle a un corps élancé (c’est la seule), des seins A, une peau lisse. Elle n’a pas la trentaine. Très sportive, elle adore danser, elle n’a pas arrêté avant que l’on ne discute. Ma main caresse ses fesses qui sont très fermes. Elle a un sourire avec des dents un peu écartées, un nez et des joues fait d’une myriade de petit grain de beauté. Cela donne à l’ensemble, un air enfantin tout à fait charmant . Je lui demande les 20 minutes, elle me dit que cela correspond à un programme. Euh quel programme ? Tu vas voir me dit-elle.

On rentre dans la chambre, grande et propre, je me couche sur le dos. Elle m’enjambe à califourchon. Me caresse et m’embrasse partout. Je lui rends la pareille. Elle me demande de lui enlever sa robe, ce que je fais (pour une fois c’était pas trop compliqué). Puis elle retire son string avec des poses lascives, le cordon rentrant totalement dans la fente. La voilà nue. Recaresses et embrassades, dont des fougueuses roulades de pelles avec jeux de langues. Wouaawouuu mais où suis-je ? Elle descend vers popaul, fellation attentive, sans caoutchouc et tout en me regardant. Elle continue sur les joyeuses et même elle s’applique à un jeu de langue sur la rondelle. Du sexe torride, pornographique mais également complice. Elle aime cela et moi j’adore ce qu’elle me fait. Elle me demande, sa main sur ma joue, de respirer plus calmement, elle a sans doute peur que je ne fasse un infarctus .
Mais cela repart de plus belle, ma hampe est tendue. Elle y met le caoutchouc avec la bouche, puis se couche à son tour sur le dos, les genoux à hauteur de ses joues. Je commence par lui faire minette, elle se caresse en même temps de manière furieuse, puis je la prends, je l’enfourche, je la pénètre, je la baise, ce dernier mot prend tout son sens ici . Elle suit les mouvement de va et vient avec son bassin, accentue la profondeur de la pénétration puis se retire pour montrer la grandeur de sa chatte en y en mettant sa main. Elle est belle mais elle est salope. Je rerentre au plus profond, remonte le bassin. Elle est presque en position du trépied, mais sportive elle parvient à s’accrocher avec ses jambes autours de mes fesses. Je redescends, elle demande avec sa bouche de nouvelles embrassades crapuleuses. Un dernier coup de reins et je jouis en elle, au creux de son vagin. Fourbu, exténué, je roule sur le dos, elle parvient à me suivre avec son bassin pour être au dessus de moi, mon sexe encore fiché en elle.
Son visage de salope est redevenu un visage de femme attentive, voire d’adolescente joyeuse. Je lui dis : tu es magnifique, elle me répond en rigolant : mais je suis tout ce qu’il y a de plus normale .
On se rhabille, on a du mal à retrouver son petit string dans le champ de bataille, finalement l’ayant retrouvé pour elle, elle me suggère que je le porte. Et de se trimballer dans le salon comme cela. On est euphorique . Je la paye (30 € donc, ce qui est incroyablement peu pour ce service), et je me dirige vers la douche. Après celle-ci je retourne seul vers la terrasse pour faire descendre l’adrénaline.
Il est 23h00, je me décide de rentrer. Dans la voiture ‘hells bells’ résonne dans le lecteur, des éclairs d’un orage sec strient le ciel rougeoyant. Que la vie est belle.

Comme disent les guides verts, il y a les visites qui valent le déplacement et ceux qui valent le détour. Ici, on est la deuxième catégorie. Ne venez pas de France ou de Belgique pour le Club Extasia, mais si vous êtes à Cologne et que vous avez deux ou trois heures de fin de soirée à consommer (et donc cela ne vaut plus trop la peine pour le Sudbad ou le Bern’s), c’est le meilleur endroit des environs.

Et puis il y a Martha, aaaaaah Martha .