J’ai rendu visite jeudi dernier à Carmen qui reçoit dans un faubourg de Freiburg dans un petit appartement propret qu’elle partage avec une collègue spécialisée dans le sado maso pur et dur mais j’y reviendrai.
Je suis arrivé là par la page publiée par Carmen sur le site www.kaufmich.com. La possibilité de squirting de la dame et son gabarit (1m75 100kg) ont été déterminants dans mon choix. La fille ne parle qu’allemand et en tout cas à pas français. Je prends rendez-vous pour dans une heure et elle me communique l’adresse pour nourrir Waze et une heure plus tard me voici garé à proximité de son bureau. J’envoie un SMS et les détails pour parvenir au nid d’amour arrivent dans les deux minutes.
Je sonne, la porte s’ouvre doucement et derrière la jeune femme de 37 ans m’accueille avec une bise. Elle m’amène directement dans sa chambre, je lui donne les trois billets oranges convenus et nous nous déshabillons. Direction la salle de bain où nous attend une douche commune, bonne idée pour faire connaissance. Carmen a un imposant tatouage d’extrême orient (je dirais plutôt Japon que Chine) qui lui occupe les trois quarts du dos et qu’elle complète par étapes. Elle doit d’ailleurs continuer. Je commence à me sentir en condition : sentir ses mains me savonner est excellent. Des bruits dans l’appartement révèlent une autre présence que je feins d’ignorer. La douche se poursuit et touche à sa fin. Nous sortons, nous séchons puis regagnons la chambre de Carmen.
Et là nous commençons à nous caresser. Je découvre qu’elle a un piercing au niveau du clitoris. C’est la première fois et tout au long du reste de la session, j’aurai peur de lui faire mal. Je m’aventure tout au long de sa vulve et je pousse vers l’anus. Rapidement nous nous retrouvons en 69 après qu’elle m’ait enfilé un petit chapeau. Je n’avais pas vérifié si la pipe était nature mais finalement pourquoi pas. Nous revenons dans des positions plus convergentes. Quand il m’arrive d’aventurer un petit doigt insistant vers la porte dérobée, elle me fait clairement savoir que ça ne lui apporte rien et que c’est même contre productif. Le vagin semble lubrifié même si à un moment elle me fait ajouter une noisette de gel mais à aucun moment je ne sens que j’arrive à déclencher l’inondation attendue. Elle est écartée mais sans plus. Elle est un peu passive et je manque de directivité surtout lors d’un premier contact.
Finalement je conclus presque malgré moi avec ma partenaire qui reste placide. A mon sens ce n’est pas une réussite. Elle sort à pas de loup et revient en me disant que la salle de bains n’est pas disponible et que cela risque de durer. En effet, les bruits que j’avais entendus au moment de la douche étaient le fait de sa collègue et taulière qui reçoit en tant que domina et monopolisait maintenant la douche pour une séance de caviar. Donc pipi et la douche c’est pour plus tard à la maison. Je me rhabille plus lentement que je me suis déshabillé. J’ai le temps d’apprendre que Carmen parle bien anglais qu'elle utilise dans son travail quotidien et que cela aurait pu faciliter la prise de contact, qu’elle n’aime pas la France (moi qui ne suis pas chauvin, je me suis senti un peu bafoué), que bien que deuxième génération née en allemagne elle a des origines égypto-turques passées par la France.
Au retour dans la voiture, je me demande si j’ai vraiment bien fait de contourner le Lancelot et les macs roumains.