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Discussion : Parodies

  1. #


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    avril 2014
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    Par défaut La kermesse érotique / Harcèlement textuel / Lucioles et opales (anagrammatique) /TITRE AU CHOIX

    Voici une dictée érotique rédigée en 1999 et parue le 1er avril 2000. Mais uniquement destinée à un public averti, le texte étant particulièrement (s)explicite. Si la première partie est érotique soft, cela devient graduellement de plus en plus trash pour carrément tourner au pornographique vers la fin. Un homme ou une femme averti(e) en vaut deux... ??
    Gageons que bien peu sont à même de la transcrire sans faute quelle que soit sa connaissance et du français et du sexe.

    Ils s'étaient rencontrés dans un club de vacances, sur un îlot méditerranéen, plus précisément situé en mer Tyrrhénienne. Elle, sculpturale Islandaise venue de Reykjavík, était l'incarnation même de son pays : un volcan enfoui sous un glacier. Lui, Caennais aux yeux de braise et au corps hâlé et bodybuildé, y travaillait en qualité de maître nageur.
    Dès leur première rencontre, elle l'avait subjugué par sa plastique irréprochable. Telle une gracieuse sylphide, elle voletait autour de la piscine ; telle une hamadryade, elle s'effeuillait sans fausse pudeur, dévoilant sans vergogne ses rotoplots canon ; telle une naïade venue du froid, elle celait habilement l'abyssal guyot sommeillant en elle. Callipyge à souhait, elle exhibait volontiers son appétissant popotin que nul pannicule ne déparait.
    Béats d'admiration, les mâles vacanciers la contemplaient tels des kouroi ithyphalliques, exprimant haut et clair le trouble dans lequel elle les avait plongés. Mais elle, indolemment, n'avait d'yeux que pour l'adonis bas-normand. Et le soir même, à la discothèque, ils s'étaient obligeamment souri, abordés, parlé, appréciés, plu et même embrassés. C'était de bon augure !
    S'étaient ensuite succédé une lambada effrénée, un tango langoureux, des bossas-novas cool, des sambas speeds, des calypsos balancés, deux one-steps syncopés et enfin plusieurs slows au cours desquels il s'était jeté à l'eau : après quelques baisers de plus en plus appuyés, il avait discrètement commencé à peloter ses lolos maous, recevant en retour non pas la classique giroflée à cinq feuilles, mais plus avantageusement une délicieuse invitation susurrée dans le creux de l'oreille : « Rejoins-moi dans une demi-heure, chambre soixante-neuf... »
    Nous étions tout au début des années quatre-vingt et le spectre du sida n'avait pas encore étouffé l'amour charnel dans un emballage caoutchouteux (ô temps béni des dieux !). C'est donc sans le moindre scrupule qu'il se présenta quelque trente minutes plus tard devant la porte arborant les deux chiffres prometteurs de torrides tête-à-queue.
    Il ne fut pas déçu... Elle avait enfilé une nuisette de soie bleu Nattier - à moins que ce ne fût bleu de haüyne - et défait son chignon : ses longs cheveux auburn dévalaient sur la cambrure de ses reins, ses seins piriformes pointaient fièrement au travers de l'étoffe sensuelle, elle était toute à lui offerte... Ils se déshabillèrent fougueusement et s'allongèrent sur le jeté de lit, lui en deçà d'elle. Après qu'elle eut embrassé et pourléché son torse glabre d'éphèbe, s'attardant sur ses aréoles et autour de la région ombilicale, elle poursuivit sa quête vers le bas et se retrouva nez à... nœud avec sa virilité exacerbée dont elle ne fit qu'une bouchée, rongeant occasionnellement son frein...
    Pendant qu'elle enceignait de sa lippe pulpeuse son vit tumescent - divine fellation ! -, elle malaxait ses testicules boursouflés entre ses appas ballottants et affriolants. Alors que sa langue experte titillait avec volupté son gland rubescent, elle l'interrogea dans son français quelque peu fruste mais si excitant : « Ton méat coule pas ? » Lui, qui se retenait à grand-pine, pardon ! - lapsus linguae et calami - à grand-peine, lâcha enfin la coulée. Et c'est goulûment qu'elle dégusta sa semence - du vingt ans d'âge assurément - qui giclait en longs jets brûlants.
    Ne voulant pas demeurer en reste, il lui rendit aussitôt la politesse et lui écarta délicatement les fesses. Ancien maître queux, il avait gardé un bon coup de langue et c'est par-devers qu'il entama l'exploration de son mont de Vénus, effleurant d'abord, puis suçotant son clitoris turgescent. Tout émoustillée par son cunnilingus expert, elle geignit de plaisir et, conséquemment, ses grandes lèvres s'humectèrent de cyprine dégoulinante. Il explora également sa rosette en profondeur jusqu'à la limite de ses muscles rectaux ; Verseau, elle adora cette sodomie linguale ex abrupto.
    Après ces amuse-bouches - la mise en branle si j'ose m'exprimer ainsi -, ils passèrent aux choses sérieuses. Comme il s'était quelque peu imprudemment vanté en termes machos de ses performances orgastiques, elle le soumit à un véritable schibboleth libidinal, enchaînant jusqu'à l'aurore les positions les plus époustouflantes du Kama-sutra. Quelle fabuleuse oaristys ! Quoique en nage, frôlant quelquefois l'épectase - male heure de rêve - , il fut cependant à la hauteur et tint surtout la longueur.
    Au petit matin, essoufflés, assouvis, exquisément exténués, ils s'endormirent enfin, pénil contre pénis, récupérant leurs forces après ce marathon libertin. Elle, tout heureuse plutôt que toute honteuse, pouvait s'enorgueillir d'avoir honoré ses totem et qualificatif scouts : souslik - que l'on appelle également spermophile ! - assoiffé. Quant à lui, il se présenta bien évidemment in extremis à son poste et fut néanmoins muté sur-le-champ... à la plonge.

  2. #


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    Parodies

    Ce matin j’ai entendu la reprise d’une chanson réaliste des années 1942 , chanson qui narre les amours malheureuses d’une midinette pour un séducteur cynique : Mon amant de Saint-Jean

    Allez savoir pourquoi, au lieu d’avoir la larme à l’œil ,de plaindre la pauvre innocente et de renifler dans mon mouchoir ,c’est tout l’inverse que je propose avec cette version parodique que m’a inspiré cette complainte

    Cette parodie ,que vous voudrez bien lire, tout en écoutant l’une des versions suivantes, : 1) version 1942 Lucienne Delyle ou 2) version 2002 Patrick Bruel je l’ai nommée :...... La Grosse Bite à Gontran ,et oui faut ce qui faut ,c’est ma version très ,très réaliste ..

    Bon amusement (peut être...)


    La Grosse Bite à Gontran

    Oui je sais bien pourquoi elle l’aimait
    À en perdre la tête,
    Mais quand le Gontran l’a déballée,
    Elle était envoûtée, hypnotisée.
    Comment ne pas perdre la tête,
    Quand on voit une si belle queue,
    Car bien qu’au repos,
    C’est un poteau
    A ne pas en croire ses yeux.
    Ah elle l’aimait tant,
    La grosse queue, la belle bite à Gontran ,
    Elle était hypnotisée,
    Sans volonté,
    Quand il la bourrait.

    Aussi sans réfléchir, elle lui donnait
    Son p’tit trou, son œillet,
    Chaque fois, c’est certain elle dégustait,
    Elle le sentait, mais la fermait.
    Comment ne pas perdre la tête
    Quand on voit une telle queue
    Car bien qu’au repos
    C’est un poteau
    A ne pas en croire ses yeux.
    Ah elle l’aimait tant,
    La grosse queue, la belle bite à Gontran
    Elle était hypnotisée,
    Sans volonté,
    Quand il la bourrait.

    Mais hélas, il s’en fut voir ailleurs
    Car ce n’était qu’un sans cœur,
    Un vulgaire, un profiteur,
    Qui ne voulait que sa fleur.
    Comment ne pas perdre la tête
    Quand on voit une telle queue
    Car bien qu’au repos
    C’est un poteau
    A ne pas en croire ses yeux.
    Ah elle l’aimait tant,
    La grosse queue, la belle bite à Gontran
    Elle était hypnotisée,
    Sans volonté,
    Quand il la bourrait.

    Ah elle l’aimait tant,
    La grosse queue, la belle bite à Gontran
    Il ne l’encule plus,
    C'est du passé,
    N'en parlons plus.

    Il ne l’encule plus,
    C'est du passé
    N'en parlons plus .


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