Mara (Rou, 20)
Ce 24 novembre, en début de soirée, que j'accoste Mara au canapé. Ici, le ton est moins agité et c'est tout en douceur que la discussion prend forme, le tout agrémenté de papouilles et de massages à même le canapé. Cette égérie du sein généreux au corps si bien sculpté (que Dame Nature à su gâter) démontre ce Prodige : comment une poitrine aussi plantureuse peut-elle tenir sur un corps aussi fin ?
En sus, la jeune jouvencelle a d'autres atouts pour surprendre : elle parle néerlandais (pour avoir bossé à Anvers) et elle demeure très relax (en mode cool). En revanche, elle se dit très sélective et ça lui arrive de refuser du monde si elle ne le sent pas ! De mon côté, cela a l'air de plutôt bien se passer d'autant que cela fait plus d'une heure et demie que nous batifolons en salle. A son aise, elle sirote son coca, alterné de plusieurs cigarettes, nous chantons les chansons qui passent en espagnol avant d'être rejoints par la jeune Maria (qui émet le souhait de se blottir contre moi car je lui rappelle son « ami Christopher ») [sic], mais je lui indique être engagé avec Mara (la première semble être déçue, mais ce n'est que partie remise). Nous continuerons la discussion à trois, avant de finalement, passer en chambre avec Mara. Hélas, cette semaine, elle semble indisposée à cause d'une petite infection à son œil (me demandant de ne pas se positionner en Amazone ; pas grave, le kamasutra offre d'autres alternatives).
En chambre, quelques câlins supplémentaires avant de chauffer l'ambiance : alors que je suis encore accroupi, elle se met de côté et me suce abondamment, à cet instant je ne fais que lui caresser ses seins, avant de me pencher afin de lui lécher son intimité qu'elle m'offre les jambes écartées : c'est là que je constate que le terrain est humide, elle me laisse glisser un doigt avant de le pénétrer (j'entends encore ses petits cris et soubresauts) et cette vision m'excite davantage.
Replacés face à face, les baisers langoureux pleuvent : elle est désormais ma petite amie, et le jeu si dangereux de frotti-frotta est alterné avec ces embrassades affolantes. L'un de nous deux doit intervenir et elle choisit ce moment pour m'implorer « Durex !!! ». Le message est clair, c'était trop critique ; aussitôt encapuchonné, un (très) long missionnaire alterné de petite cuiller remplira la session devenue un affolant brasier.
En résumé, ce fut une somptueuse rencontre, plutôt inattendue et transcendée par la grâce et l’envoûtement.