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Discussion : ADELINA (roumaine - brune)

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    Citation Posté par Tamiflu Voir le message
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    Cette fille est superbe : moitié roumaine moitié indienne.

    J'ai toutefois mis les choses au point dès lé début, car elle me parlait de facturer le temps passé avec moi à la piscine, au bar...

    La session s'est finalement bien passée et je me réjouis de la revoir.

  2. #


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    mars 2015
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    ADELINA (roumaine - brune)

    Il est urgentissime que je vous parle d’Adelina tellement je trouve dommage et bizarre qu’aucun fil n’ait été ouvert à son sujet.

    Comme tant d’autres au Bab Adelina est roumaine. Mais si l’on oublie qu’elle parle roumain et qu’elle s’appelle Adelina … elle a tout d’une indienne. Entendez une fille originaire d’Inde, pas une squaw, une Indienne avec des plumes ...

    Cela se voit tout de suite : elle a hérité des gênes de son papa, indien. Elle revendique d’ailleurs totalement cette filiation.

    Je l’avais déjà remarquée lors de ma visite précédente au Bab. Toute forme d’exotisme ne me laisse pas indifférent. Sa démarche, son teint légèrement hâlé, ses grands yeux noirs profonds, ses longs cheveux noirs soyeux, son visage éclatant, sa peau très douce … il ne lui manque que le tilak sur le front. Elle a tout d’une beauté bollywoodienne (qui serait mince). Je m’étais dit que je monterais bien en chambre avec elle. Et puis cela s’était passé autrement.

    Alors cette fois, quand je la vois, je n’hésite pas une seconde à aller vers Adelina, avec beaucoup de conviction : il faut que je la découvre … un peu plus … et de très près.

    Les habitués des FKK savent que, lorsque vous vous asseyez dans l’un des canapés du grand salon à côté d’une fille, elle commence généralement par venir tâter votre matériel en introduisant subrepticement une main sous la serviette qui entoure votre taille et est censée cacher vos attributs. Et là elle s’exclame : « Anaconda ! » en élargissant son magnifique sourire de quelques centimètres. Très vite elle se retrouve tout contre moi, puis sur mes genoux, ensuite à califourchon pour me proposer ses seins en direct ‘live’ à portée de main, à portée de bouche, tandis que je sens sur ma jambe son sexe déjà moite comme s’il suppliait « Prends-moi ».

    Bref, me voilà tout émoustillé. Et elle aussi je crois à en juger par la mouillure de sa chatte.

    Je voudrais faire durer ce moment mais l’envie est très forte et il faut, vous le savez bien, profiter de l’instant propice, de la pleine forme, de l’embrasement soudain … ; une érection peut parfois être capricieuse.

    Vite, une chambre !

    Ceux d’entre vous qui ont lu sur ce forum les récits de mes aventures depuis un an savent que j’ai le plus souvent fait des expériences positives, fortes et même délicieuses. Celle que je vais vous relater, avec cette diablesse d’Adelina, reste cependant à ce jour ma ‘Sex Story’ la plus enivrante et la plus merveilleuse de l’année et, partant, d’une vie entière qui est pourtant déjà longue et qui fut bien remplie. Adelina m’a comblé, totalement, ce jeudi après-midi … deux fois de suite. C’est un conte du Yoga … voire du Kamasutra.

    Un conte qui commence par des caresses, beaucoup de tendresse (… quelle peau douce elle a, ma princesse indienne …), qui continue par des baisers, nombreux, profonds, langoureux, doux et tellement sexy. J’ai rarement eu autant l’impression d’être avec une petite amie.

    Je demande à Adelina si elle apprécie qu’on s’occupe de son intimité (d’autant plus que je suis, aujourd’hui, sa première rencontre). Je sais, c’est une question idiote, mais en fonction du regard que la belle affiche à ce moment-là, on devine déjà si c’est une simple ‘formalité’ ou bien si, véritablement, elle aime le « pussy licking ». La réponse est sans équivoque : elle m’avoue adorer cela, particulièrement lors de jeux lesbiens auxquels elle se livre volontiers avec son amie en ces lieux (et pan ! elle ouvre une porte vers un futur trio que j’imagine déjà extrêmement ‘caliente’ ).

    Dès lors, fort de ma «licker’s license*» (innée mais optimisée lors de nombreux stages et formations directement sur le terrain), je m’applique durant un très long moment (je dirais 15 à 20 minutes) à amener Adelina, lentement, calmement, inexorablement … vers l’orgasme. Je la sens au bord de la jouissance, plusieurs fois (les mains qui pétrissent mes cheveux, qui me poussent vers elle, les petits tremblements fugaces, le corps qui se tend) mais ce sera pour une autre fois. Pour l’instant elle se retient, dirait-on.

    Puis c’est à son tour de me faire plaisir. Elle veut profiter de cet ‘anaconda’ qui lui a tout de suite plu … et le mettre dans tous ses états. Et la voilà partie dans une fellation artistique avec toutes les variations qui existent dans les catalogues, dans les livres, dans les films porno …. Il ne manque rien. Rien du tout.

    Plus tard dans l’après-midi, quand nous serons au Kino, Adelina me dira qu’elle adore regarder les films porno, les positions, la technique des acteurs et des actrices. Mais pour l’instant c’est elle la star du film que nous sommes en train de jouer. Elle regarde alternativement vers moi, tandis qu’elle m’avale en « deepthroat» ou qu’elle enroule sa langue autour de la couronne de mon gland ou qu’elle lèche ostensiblement mon frein d’une langue baveuse, avant de le suçoter puis de m’engloutir à nouveau, jusqu’en bas … ou bien elle se regarde faire, dans le miroir de la chambre. Les testicules, le périnée … elle ne laisse vierge aucune partie de ma masculinité. Elle touche à tout, avec tout : le doigt, la main, la langue, les lèvres, les seins … Elle envoie un souffle chaud sur mes parties sensibles, elle joue, elle improvise, elle invente, elle varie …. Putain quelle pipe !! Je n’en peux plus. Le plaisir que j’éprouve est inouï, indescriptible. Et elle, elle est dans son ‘trip’. Je lui ai léché la chatte pendant 20 minutes … et bien elle va me rendre la pareille. Habilement, sans précipitation, pour ne pas que je vienne … pas encore, pas encore. Elle alterne, change de rythme, change de position.

    Tout à coup elle me dit qu’elle a encore envie de ma langue et elle se positionne en 69. Un délire exaltant ; le feu sacré. On dirait que nous avons été créés l’un pour l’autre : l’harmonie est parfaite. Nos deux corps, à l’unisson, vibrent, tressaillent. Nous sommes sur une corde raide : vertigineux. Magnifique.

    J’oubliais de vous dire : sa chatte est parfaite, comme on en trouve en dessin dans les encyclopédies, avec un clitoris qui refuse de jouer à cache-cache, qui dit « tu me vois, tu me sens, je suis là, fais-toi plaisir ». Réceptif en un mot.

    Maintenant que nous sommes tous les deux bouillonnants il est temps de coiffer le serpent et de s’en servir comme il se doit. Adelina me surprend à nouveau en sortant de son petit sac des préservatifs de bonne qualité (Durex) … à ma taille (XL) . Le modèle que, d’habitude, j’apporte avec moi. Elle me regarde avec un sourire extrêmement coquin et me dit : « Tu vois, je t’attendais ».

    Ici aussi je dois user de superlatifs pour décrire le moment qui vient. Je ne sais plus combien de positions nous avons alterné mais il y en avait beaucoup. Je me souviens que, pour terminer, Adelina s’est couchée sur le flanc de telle manière que la seule position qui me semblait possible était celle des cuillères. Et j’ai découvert, grâce à elle, qu’on pouvait à loisir, dans cette position, varier l’angle de pénétration et obtenir des sensations vraiment très fortes. J’espère que nos cris n’ont dérangé personne.

    Et c’est comme cela, et encore un peu plus … et des DDFK pour terminer en beauté, que se conclut notre première session, mémorable.

    Retour dans la salle ou nous allons l’un et l’autre choisir de quoi nous restaurer. Je me contente du buffet (coquillettes et boulettes : pas mal !) tandis qu’elle passe une commande en cuisine : filet de poulet et frites, que nous partagerons, deux fourchettes pour elle, deux fourchettes pour moi (c’est elle qui tient la fourchette). Mignon !

    Au centre du grand salon un type n’arrête pas de la regarder et je lui dis qu’elle peut, sans problème, aller le rejoindre. Je ne vais pas la retenir alors que, pour l’instant, je n’ai rien d’autre à lui offrir que de la compagnie …

    Et moi, pendant ce temps, je discute avec mon pote ppm, qui m’a fait le plaisir de venir me rejoindre (merci ).

    Je vois Adelina qui utilise avec ce mec les mêmes formules qu’avec moi deux heures plus tôt. Elle se colle de plus en plus à lui, vient s’asseoir, les jambes écartées, sur celles de sa probable prochaine victime … mais la mayonnaise n’a pas l’air de prendre. Le Monsieur ne semble pas très pressé.

    Alors Adelina va s’asseoir, seule et un peu boudeuse, de l’autre côté du salon, exactement à l’opposé d’où nous sommes assis, mon poteau et moi. Et je risque un pari : «Tu vas voir, elle sera là dans 5 minutes ». ppm : «Tu rêves».

    J’ai perdu mon pari ! Elle a mis 8 minutes 30’ avant de traverser la salle à grandes enjambées et de venir s’asseoir à nouveau sur mes genoux, non sans préciser à mon copain : « I love to be with your friend, much better : he has a big dick and he licks my pussy well ». Voilà un résumé, net, précis et sans équivoque de notre première chambre.

    Après quelques contorsions sur moi et quelques bisous aguicheurs, elle se retourne, me montre son dos et me demande si je peux lui faire un massage … au Kino. «Ça me ferait très plaisir», précise-t-elle. Moi, vous savez, si je peux faire plaisir … Je me lève et m’en vais avec elle. Ppm : «Elle va t’avoir encore une fois ». Tant mieux, pensé-je, c’est précisément ce que je souhaite.

    Kino.

    Le temps de trouver un très gros flacon de crème de massage, elle couchée sur le ventre cheveux rassemblés en chignon, moi agenouillé sur elle, je me livre donc sur ce beau dos à une palpothérapie qui n’est vraiment pas ma spécialité. Finalement je me débrouille pas trop mal car elle fait des petits « Ah » et des grands « Oh » qui semblent témoigner d’une certaine satisfaction. Puis l’on échange : son massage à elle (sur mon dos) n’est pas mal du tout. On sent que ce n’est pas une masseuse pro mais c’est quand même bien plaisant mon bon Monsieur.

    Le Monsieur (justement) qu’elle a dragué juste avant pousse sa tête à l’entrée du Kino et, manifestement très fâché, il crie très fort : « Niemals mehr !!» (plus jamais !!) . Il faut savoir ce qu’on veut, il faut savoir décider au bon moment, maintenant c’est trop tard pour lui ; nous sommes morts de rire tous les deux. Et on s’enlace, et on se fait des bisous, et on se caresse à qui mieux mieux. On regarde un peu le film porno proposé par le Kino Babylon et on se marre parce que nous venons de voir deux positions que nous avons nous-mêmes réalisées un peu plus tôt dans l’après-midi. Ppm aussi apparaît à la porte et fait «Hé là ! » ; bon, ça va, tu l’as gagné ton deuxième pari ; elle m’a eu, une deuxième fois.

    Même chambre, au sous-sol, avec le grand miroir mural. DDDDDFK !!!! Waouw !!!! Nous sommes survoltés tous les deux, déchaînés, explosifs.

    « Viens-là ma chérie, come and sit on my face ». Quoi de plus excitant qu’un cunnilingus dans cette position, moi couché elle dessus qui peut décider toutes les variations, qui peut changer de position comme elle l’entend. En l’occurrence, malgré sa position dominante, elle s’abandonne complètement, se penchant en arrière, soutenue par une main posée sur le lit, l’autre s’étant emparée de mon Big Little Boy (c’est elle qui le dit) qu’elle branle en douceur mais fermement tandis que ma langue visite toutes les allées de son riant bocage en insistant sur son bijou d’amour maintenant (et dans cette posture) particulièrement excité et bien exposé. Cette fois-ci elle n’en peut plus, elle explose littéralement. Les spasmes sont gigantesques. Elle parle une langue que je ne comprends pas mais ça a l'air de causer de Dieu et de ses saints . Ses cuisses enserrent ma tête et rendent tout mouvement impossible mais ma langue bouge encore, doucement, pour lui prodiguer un très long orgasme clitoridien qui va me valoir ensuite un camion de baisers lascifs.

    A l’inverse elle va à nouveau m’offrir une fellation dont elle seule a le secret. Aussi variée qu’irrésistible. Tous les sens participent. La vue est imprenable : je suis l’acteur de son film porno. Adelina continue à se regarder à l’œuvre dans le miroir ; elle est bien meilleure actrice que celle du film de tout à l’heure.

    Je lui ai dit qu’elle pouvait m’offrir toutes les options de son catalogue, que je payerai en fonction de cela. Pour la forme elle me demande si je veux à nouveau "fuck" mais je sais qu’elle a surtout envie de m’offrir une belle finition - et de s'offrir le supplément de prix qui l'accompagne - et je suis tellement bien en ce moment précis tandis qu’elle ne ménage aucun centimètre carré de mes attributs que je l’encourage à aller jusqu’au bout.

    C’est à mon tour d’exploser. Je ne me souviens pas d’avoir eu autant de sperme à offrir en une seule fois. Et celui qu’elle a pris dans sa bouche je ne le verrai plus … sauf deux filets que je vois couler aux commissures de ses lèvres lorsque elle me regarde tendrement, satisfaite, en souriant. Tu l’as bien gagné, coquine, l’extra pour « französische Aufnahme ».

    En résumé j’ai passé l’un des meilleurs – peut-être le meilleur - moment sexe de toute ma vie avec cette gentille, jolie et très expérimentée Adelina.

    Un seul petit bémol : elle se trompe facilement dans le calcul du temps passé ensemble (en sa faveur, cela va de soi). Mais elle accepte (d’abord difficilement) que je corrige son calcul, jusqu’à finalement admettre qu’elle avait fait une erreur, et à s’en excuser.

    Avec Adelina j’ai vraiment trouvé ma came au Bab (ma 'wife' ?), même si j’ai voulu, avant de partir, faire une autre expérience avec la très jolie Monica. E.V. que je vous viens vous relater d’ici peu dans ce même forum.




    * "liquor's license" c'est autre chose

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