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Discussion : TOI, BABYLONIENNE ! PALMARES 2016

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    avril 2009
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    Citation Posté par Tym Voir le message
    je sais pourquoi Anna t'évite
    Je lui avais présenté un gentil monsieur avec un gros zizi, elle était toute effrayée

  2. #


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    novembre 2015
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    @sextraveller
    Merci pour ce moment de lecture

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  1. #


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    octobre 2006
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    505

    Par défaut TOI, BABYLONIENNE ! PALMARES 2016

    Un palmarès est forcément personnel. Voici mon Babylon 2016. Les meilleures, les bonnes et les moins bonnes. Celles qui ont eu le plaisir et l’honneur de me goûter. Et vice-versa. C’est mon (a) vit et je le partage. Le sexe comme remède anti-spleen. “C’est le soir qui soulage les esprits que dévore une douleur sauvage”, écrivait Baudelaire.

    Les cinq étoiles pour en voir de toutes les étoiles ! Quand on aime on ne compte pas,

    Ces cinq-là sont des must. Impossible d’oublier une heure de tendresses et de plaisirs avec une de ces vestales du sexe. Bémol : trois d’entre elles ne sont restées que quelques mois...C’est le problème du Babylon. Mais... “L’enfer est vide. Tous les démons sont ici” - William Shakespeare.

    Denisa. Combien de fois ai-je monté au septième ciel avec toi, princesse de l’extase ? Tu es sympa, gentille, adorable, bonne-à-baiser que dis-je délicieuse-à-enfiler...je connais ton corps par coeur. Je ne peux dire mieux. Tu es une démone du sexe, une diablesse sentimentale, une Lilith d’aujourd’hui. J’ai déjà beaucoup écrit à ton sujet et il me reste tant de choses encore à faire. Avec toi ma chérie, aucune limite sinon celle du temps. Ta petite cousine Abby a de qui tenir et pas la chandelle, je te le dis, moi. Envoûtante Denisa. “Un je ne sais quel charme encor vers vous m’emporte”. A moi Corneille ! (dans Polyeucte II, 2, et c’est une réplique de Pauline ! ).

    Angel. Mon plus bel orgasme de 2016 avec une jeune pouliche de 20 ans si délicieuse à apprivoiser et à monter. En vérité c’est toi qui m’a annelé, ma belle. Angel, tu es une sainte. Ta petite niche est un paradis pour les sens. Voilà, les portes de ton paradis se sont ouvertes et refermées sur moi et mon membre amoureux. Mon zizi n’a rien oublié et m’en redemande souvent. Je lui donne satisfaction. Tout seul dans mon rêve et mon souvenir, tu te rappelles comment je me suis branlé sur toi, mon ange ? J’ai gloussé, râlé, hurlé même, de ce jet de vie qui éclabousse tes chairs si chères, pendant que tu me fouaillais. J’étais un jouet. Cette chevauchée si fantastique, ce galop en duo, ma cavalière. Toi, belette à levrette, quéquète à branlette, minette à couettes,...Je t’ai régalée deux fois. On me dit que j’ai de la chance parce que tu as joué les étoiles filantes enfilées. Les stars baisantes, plutôt. Où-es-tu ? Dans le ciel ? Avec les étoiles ?

    Laura B. Dès que je t’ai vue, je savais que tu serais mienne. Je t’ai honorée trois fois. Longuement et profondément. Ton niveau d’étude autorisait un social time de qualité. Tu avais tes amoureux dont j’étais. Ce type qui t’avais bookée pendant cinq heures, j’ai attendu mille morts avant de jouir de toi...Quand la petite mort me prit, victime consentante, je revis dans l’instant et je reprends ma course, ô astre d’Eros, percer ton anneau de Ca Tourne. Laura, le plaisir jamais fini à la portée d’un caniche, si le grand Céline nous avait vus...Mais pourquoi es-tu partie ? Au GT en plus.

    Violetta. Quelqu’un m’avait dit “Violetta, elle trop douce pour toi tu vas pas aimer...” Et c’est toi ma superbe fleur du mâle qui m’a donné la plus belle fessée de l’année. Se faire donner la punition par une fleur, voilà un ravissement suprême. Mon derrière rout rouge de tes baisers trop forts, unique témoin de notre tendre passion, tend ensuite ses chairs amoureusement meurtries pour un nouveau voyage au pays de Sacher-Masoch. Et le reste au diapason. Le plus délicat toucher de zizi de l’année, c’est toi, libertine mutine. Un bouquet de plaisirs.

    Sarah. Deux. Deux fesses. Deux seins. Deux yeux. Deux mains. Deux lèvres, non quatre. Deux fois. Niquée deux fois et ce n’est pas assez, j’en veux de la Sarah. Te pilonner, te démonter, te faire hurler, te crucifier sur le Mont de Vénus, t'emmancher par ton cul de nymphe canaille puis exploser en toi,... tu es ma vierge sans cesse reflorée...Il faut viser la lune car même en cas d'échec on atterrit toujours dans les étoiles”, expliquait le grand Oscar Wilde. Sarah: une bombe sexuelle de 19 ans et les ans si injustes sont juste les anges qui surgissent du miracle de l’éternelle jeunesse. Du Nabokov pur jus.

    Et la sixième. Kitty natürlich ! Natürlèche ! Le sexe grandeur Nature. C’est le Danube qui t’as vu naître ou qui t’as engendrée, merveilleuse Kitty ? Aujourd’hui, tu vis quelque part au bord du grand fleuve. Je dois conserver dans mes annales un article sur toi. Je ne m’épancherai pas plus, je l’ai déjà fait sur tes mignons tétons. Une fois. Seulement.

    Le haut du panier, 50 euros... non 100 euros !

    J’ai souvent dépassé la demi-heure avec ces petites nanas. On se laisse si facilement entraîner, hein ?

    Romina. Le prix de bonne camaraderie polissonne est pour toi. Le sexe comme un cadeau. Le plaisir comme un présent. Quand tu me roules un palot ou que tu me montres ton derrière, j’ai l’impression de tu me laisses copier sur toi ou que tu me passes ta gomme...Tu es la plus nature que j’ai rencontrée cette année. Les autres jouent toujours tantôt la comédie sentimentale, tantôt celle de Cupidon, plutôt le jeu de l’intérêt, et toujours celle du plaisir. Châtain clair ou rouge, ta chevelure illumine le club et, en chambre, sous les coups de boutoir de mon désir, c’est une houle étincelante d’amazone conquise et enchantée qui s’abandonne.

    Jenny. La petite reine de la feuille de rose, c’est toi ma Jenny. Génie anale qu’un Maupassant aurait inspiré avec sa fameuse Maison Turque. Je n’attendais pas une telle gâterie de la part d’une débutante. Nous nous sommes caressés et léchés nos trous interdits pendant de longues et délicieuses minutes, ma chérie. Le tien a la fraîcheur de tes 20 ans. Le temps s’est arrêté et les étoiles ont brillé de mille feux, ceux du plaisir et de la luxure. C’était vraiment très bon. Feuille de rose, feuille de rut. Allez, je me la joue...tu voulais faire craquer ton vieux matou, hein, jeune biche dévergondée ! Et il s’est doucement répandu en toi comme un fleuve superbe dans le Vieil Océan, ô grand célibataire. Je te salue, Jenny sirène aux yeux de soie et de d’azur ! La vague de cristal qui nous a emportés jusqu’au ciel ne meurt jamais. (Très libre adaptation de quelques lignes des Chants de Maldoror, de Lautréamont)

    Dolli. Ma Sex Doll. Non seulement tu es belle mais en plus tu es intelligente. Ma Dolli chérie. Tes caresses sont Comme j’aime tembrasser, jolie Dolli. C’est chaud, humide et beau, cette bouche qui s’offre et qui s’ouvre. Je sais ton regard mi-clos qui m’engloutis et mon âme qui se couche. Et mon coeur qui se met à bouillir, à brûler, à fondre. Tu m’as apprivoisé, je me soumets, princesse et me dévoue à toi, tel Ursus le bien nommé à la chrétienne Lygie (Quo Vadis ? d’Henryk Sienkiewicz, prix Nobel en 1905) qu’il sauve d’un taureau furieux, quel symbole que cette obole ! Je t’enfourne et te fourre, belle colombe. Allez Dolli, roucoule pour moi.

    Mary. Autant te le dire je n’aime pas trop ton grand tatouage. Il cache les plus mignons tétons du monde, deux framboises sucrées pleines de jus comme prêtes à faire pschiiit. Mais tu fais si bien l’amour petite Mary. Et la longue et délicieuse pipe dont tu m’as plusieurs fois régalé sur un sofa m’a littéralement dépenaillé la cervelle. Deux ou trois doigts fichés dans tes intimités, j’explore ta libido au plus près. Et ta langue dégoulinante d’audace qui s’immiscait, suave et divine, dans mon sanctuaire à moi. Et tes doigts qui...Tu m’as violé. Tu m’as outragé. Tu m’as souillé. Nous avons péché par l’extase, ma mie, et quel extase que celui de Sodome. Tu m’as rendu fou, ma petite. Tu ne peux pas m’oublier, ma grande !

    Mara. La plus espiègle c’est toi ma Mara chérie. Lolita-styled on ne peut mieux dire. Lolita-minded on ne peut mieux faire. Lolita-fucked, alors, çà c’est pour moi. Je ne me suis pas privé, dis. J’étais tellement excité à l’idée de te sauter et toi non plus tu ne t’est pas privée, hein petite cochonne ! Tu pousses des cris de biche en chaleurs quand tu jouis. Tu en perds ta voix autant que ta vertu. Mmmhhh ! “ Yes, Yes, Aaaaaah ! “ Comme tu es belle en plein orgasme, mignonne Mara ! Ravagée, labourée, enfoncée et défoncée, profanée, empalée. Tu mérites une médaille en forme de vit, jolie Mara, et j’irai te la passer autour de ta jolie croupe. Pour habiller ta si magnifique nudité. Avant de te rendre de nouveaux hommages. “Les plaisirs simples constituent le dernier refuge des êtres complexes”, disait Oscar Wilde, encore lui, et qui s’y connaissait. Une pensée qui me va comme ta chatte, Mara.

    Bella. L’invention du dernier trimestre. Un look original. Aussi attirante avec tes lunettes que sans. La première fois - je suis déjà retournée avec toi- tu m’a masturbé longuement sur le sofa près de la pole dance. Super sympa. Petits bisous puis en chambre pour une heure de mignardises et de galipettes de haut vol. J’aime bien jouir sur toi, tes petits tétons. Mon lait mâle est celui de l’enfant que tu porteras un jour. Tu es douée, trop peut-être, et toujours sur ma to-do list. Je sais que tu prises les trios, Mademoiselle Libido. Moi pas trop, je ne suis pas partageux sauf en spectacle, je préfère rester concentré. Trois syllabes de luxure.

    Salina. La plus teen de l’année ? Et en plus tu aimes caresser la queue de ton amant sur un sofa discret. J’aime ton regard, ma fille. Il brille des feux de la débauche et se mouille de la fraîcheur du printemps. De la candeur même. Rien ne te fait peur, tu léchouilles et craches partout sur la chair embrasée de l’amant étourdi dont tu m’as fait. Je règle mon feu sur ton brasier. Ma flamme sur ton volcan. Ton nectar et ma sève ajoutées en un philtre d’amour comme la vague éternelle embrasse le sable. “Dans ces temps délicieux, quand on raconte une histoire vraie, c’est à croire que le Diable a dicté” - Jules Barbey d’Aurevilly - Les Diaboliques. Ce diable dont le meilleur régal est l’innocence...

    Abby. Tu tiens de ta cousine toi hein ! Nous avons bien fait l’amour pendant une heure et c’était vraiment très agréable. L’intelligence n’empêche pas le plaisir des sens. J’ai caressé l’intérieur de ton âme, jolie Abby. Et pénétré ton charmant minou étroit mais alors étroit. Je n’arrivais plus à m’en sortir. Tu resserrais ton mini vagin autour du gros fruit rouge qui massait lentement ou rapidement la voûte de ta caverne d’ Aphrodite. Je te l’avais demandé et tu t’es exécuté. Non, tu m’as exécuté. Pour toi je meurs. Pour çà je t’aime.

    Paris. J’ai mis un peu de temps à te cerner. Je t’avais mal calculé, Paris. Du super GFE, douce, aimante, câline, bisouneuse comme j’ai rarement rencontré,...Les plus longs baisers de ces douze derniers mois, c’est avec toi, ma Paris. Et ton derrière dodu et fendu comme un val serré de collines douces où du fond coule le miel est une chapelle de péchés, et ce cratère ! Ma fusée luisante ne s’est pas posée en douceur sur ta lune brillante. Attention, Danger de dépendance affective avec toi, opium des coeurs, héroïne de mes ivresses. Je crois que je me suis rattrapé. Tu me pardonnes ? Pour moi tu es capitale.

    Panier moyen, 50 euros point barre

    D’agréables en-cas si l’on a rien d’autre à se mettre au bout du gland.

    Roberta. Tu es le meilleur plan B que je connaisse. Quand les minettes ci-dessus ne sont pas là ou ont leur règles. Pro y compris du pot, costaud en PSE, au niveau en GFE. “Roberta, c’est de la bonne”, s’emballent tous les potes à qui je t’ai recommandée. La dernière fois que t’ai baisée, je n’ai rien regretté. Une fois tu m’avais même suçé en public devant l’armoire à yaourts. Il y avait des yaourts à la fraise, des grosses fraises. D’ailleurs, ça a presque giclé...Je crois que la page cul - et le reste - est tournée. A vous de la baiser maintenant, les mecs. Merci à toi.

    Nelly. Tu n’as pas grand-chose à dire puisque tu ne jactes pas un mot d’anglais et peu d’allemand. Et tu baises un peu mou, ma petite Nelly. J’ai cru que tu avais 20 ans et j’ai compris que tu en avais trente et 3 moutards à la maison...Bonne GFE, bon DFK, assez bon service, bonne simulation, c’est vrai mais tu n’es pas la seule. Ta jolie petite gueule, ta jolie petite chatte, tes jolies petites miches et tes jolies petites fesses te sauvent la baise que tu n’as pas médiocre et je t’ai savourée comme un pot de myrtilles ou plutôt d’abricots. En quelques mois, ta cote a baissé et tu t’es défraîchie. Je ne voyais que trop tes dents abîmées. Tu en avais peut-être ras-le-bol de gober des testicules et de lécher des anus, on se demande pourquoi. Bref, on se lasse et tout passe. Je t’ai sautée trois ou quatre fois. Tu en as de la chance. Puis tu as disparue du planning. Maman est revenue à la maison.

    Yasmine. La première fois tu m’avais subjuguée. GFE + PSE + ST + ...le compte y était. La seconde fois, tu m’avais conquis. J’étais sur le chemin de l’addiction, ma cochonne. Et puis cette troisième session catastrophique quand l’hypocrisie verte et gluante t’a fait tomber le masque. J’ai écourté et ça t’avait vexée. En plus tu es mauvaise commerçante, ma fille. Tellement de rumeurs courent à ton sujet. Tu joues à la pute maquerelle en manageant plusieurs nanas et le club n’apprécie pas et pas mal de filles ne t’aiment pas. J’aime pas les macs alors, les maquerelles... On t’annonce dans d’autres crémeries. Décembre a été pour toi le mois de trop ?


    Erreur de casting, 50 euros perdus

    BSE. Bad sex experience. Vous êtes prévenus.

    Dorothea. La première fois, après les préliminaires sur un transat du jardin, c’était pas trop mal et je voulais transformer l’essai avec toi, jolie bulgare au visage si expressif et au look pré-gothique. Mais la seconde fois a été vraiment en dessous du standard babylonien. Peu d’entrain, empathie zéro, baise mécanique, libido glaciale. On est pas loin de l’étoile de mer. Pas sympa. Limite arnaque. Maintenant, je te fais la gueule. Je sais bien que tu as des bouches à nourrir du côté de Sofia et qui tendent le bec ces oisillons de Thrace, mais pour çà il faut donner à manger ici. Comme avec Melinda, Cosmina et Anastasia, j’ai eu l’impression de passer à la caisse pour payer une contravention. Un mauvais jour peut-être ? Oui pour moi.

    Cosmina. Sympa sur canapé, slim body, ça m’avait plu. Ton piège à gogos fonctionne. Tu crois que le FK sans le D, la pipe et le paluchage suffisent pour faire une bonne session, et rien d’autre au menu. Tu réponds souvent “Nu”* au naïf englué dans ton filet. BA-BA, baise à minima-branlette autorisée...On est au Babylon, ma grande ! Tu n’es pas la plus jolie avec ce visage un peu ingrat, cette dent en moins et tu fumes trop, ça se sent et ça se voit. Tu n’a plus la fraîcheur de tes débuts et ça se voit. Pour le fric, tu bosses pendant tes règles et ça se sent, m’a-t-on dit. Tu es coachée par Yasmine, qui s’est fait virer, et ça pue la comédie de la GFE frelatée, un peu faux-cul, mi-mielleuse, mi-feinte. Tu avoues que tu es frigide avec les clients et en silence tu les méprises...Là je te crois. A la rubrique moins de 50 kg on trouve facilement mieux. On est loin d’une Denisa, que je connais bien, d’une Monika que j’ai bien connue ou d’une Claudia que je ne connais pas.

    Melinda. Je n’ai jamais compris comment tu as pu rester aussi longtemps au Bab’. En fait tu faisais baisser la renommée du club, comme les autres BSE. Ta légende t’attribuait du sang gypsy. On te disait secrétement protégée par des forces supérieures, opportunément chouchoutée par des passions hiérarchiques, miraculeusement épargnée des foudres des mécontents...Ta très jolie petite gueule de petite salope m’inspirait de grosses cochonneries. Peine perdue. Erection perdue plutôt. Tu sais que le baiser avé la langue, ça existe et qu’au Babylon c’est obligé ? Plaisir des yeux, voilà qui tu es. Heureusement que tu es exhibitionniste aussi. Tu avais tes têtes. Moi tu me parlais. Du coup je t’ai bookée pour te trousser amicalement. Aurais pas dû. J’ai failli m’énerver. On m’a dit que tu avais - un peu - rectifié la position et le tir. Je n’ai pas voulu vérifer et me suis contenté de reluquer et caresser ton cul parfait et tes seins impeccables, comme ces poires du jardin d’Eden qui n’ont jamais rassasié personne. C’est toujours çà. Tite salope, va.

    Tanjia. Même pas envie d’en parler...Je déqueute rien que d’y penser.

    * “Non” en roumain,

    Le fond du panier : Rends-moi mes sous ! ou Rien à foutre !

    Anastasia. Pas compris ce que tu es venue faire au Bab’, ma chérie. Tu n’y es pas resté très longtemps... Je ne t’en veux pas mais tout de même. Tu avais un superbe corps de teen, 19 ou 20 printemps dans mon souvenir. Ca fait envie, c’est vrai. Ces petits seins, ce cul de rêve, ce minois virginal,...J’avais coché toutes les cases de mon safari, petite gazelle de luxure. Mais dès la première minute, j’ai déchanté et presque débandé. On ne peut même pas te lécher la fleur de minou que tu caches avec tes jolis doigts et tu embrasses comme une vieille moinesse acariâtre. Tu blablates pour jouer la montre. C’est pas ton mobile qu’il faut tripoter, jeune apprentie ribaude. On est au bord du scandale. J’ai eu l’impression de jouer les gogos et j’ai horreur de çà. Mêmes motifs, même punition que Melinda, Tanjia et Cosmina, un attrape-nigaud. Tu as déclenché l’ire d’un Jupiter qui se voyait en Priape sans sacrifier à Eros, pendant une migraine d’Athéna. Tu es aussi douée pour le sexe que moi pour l’abstinence. Rayée des cadres. Pas une grosse perte. Si 50 euros. C’est toi qui aurait dû casquer.

    - Celles que j’ai vues le plus et le mieux baiser en public. Monika (un soir je t’ai vue enculer devant tout le monde un micheton avec un gros gode : Bravo à toi !), Claudia et Daniela (vous baisez plus en public qu’en privé, non ?), Elli, Roberta, Sarah et Mary (vos chaleurs publiques sont entrées dans la légende), Maya et Veronika (Miss Piggy), Rebekka, Salina (tu es si mignonne quand tu caresses amoureusement ton godemiché naturel sur canapé...), Silvia, Alina, les blackettes (je connais moins, à vous de dire maintenant),...

    - Celles que je n’ai pas vues baiser en public, Yasmine, Paris, Cosmina, Melinda, Violetta, Arançà, Laura B,...

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