Son corps m'obsédait, son fessier me faisait rêver, ses tenues provocatrices me faisaient tourner la tête.
Toutes ces séjours en FFK/sauna club m'auront au moins appris une chose sur moi-même: me méfier de
- ce que je veux
- ce que je désire
- ce dont j'ai envie.
Malgré les nombreux malentendus de la fois précédente, je décidais de céder à la tentation en me rabibochant avec cette oursonne au caractère sulfureux.
Assis au bar, elle a (comme à son habitude) fait la tournée des oursons (qui l'ont envoyé paître pour la majorité d'entre eux) avant de s'attaquer à moi.
Avant qu'elle me fasse son numéro, je lui ai affirmé que le désir que j'avais pour elle dépassait l'attraction basique d'un ourson pour une oursonne, mais je lui ai dans le même temps indiquer que sa manière de penser était un frein.
Après lui avoir promis de partir en chambre, je lui ai demandé deux minutes de social time pour mettre les choses aux claires. Après une courte mise au point et une leçon à retenir sur les hommes ("les hommes, c'est comme les chiens, une fois que tu contrôles la laisse qu'ils ont entre les jambes: ils font tout ce que tu veux"), nous partons en chambre.
Ourson choisis ton menu:
Après s'être déshabillée et partie se faire une toilette, la demoiselle revient sur le lit. Chose surprenante et inédite, elle me demande expressément comment je souhaite consommer ma session. Surpris, je tente de lui expliquer que les choses se font en général naturellement, sans calcul ni préméditation. Néanmoins elle insiste à nouveau pour savoir la durée (30'/60') et si les options douche de sperme et anal seront au programme (arguant que cela change son programme). Ayant déjà signé, je ne souhaite pas baiser sur plan et j'opte pour le minimum syndical (30' sans option).
Je commence à la caresser, mais je la sens inerte. Je lui demande ce qu'elle fait (ou plus implicitement ce qu'elle attend pour faire quelque chose) et elle me répond sans complexe: RIEN!!!!!
Je continue tant bien que mal à profiter de ses charmes et par un miracle inattendu, elle commence une masturbation maladroite de mon membre.
J'approche par la suite ce dernier de sa bouche et elle s'empresse d'aller chercher un préservatif.
Intrigué, je demande une explication (puisqu'elle propose une douche de sperme), mais il fallait plus précisément comprendre une masturbation avec éjaculation visant (plus ou moins) la bouche: c.a.d. le CIM du pauvre. Je la laisse poser le préservatif et assiste médusé à la pire fellation qu'il m'ait été donné de vivre. Quand en plaisantant, on parle de fille bouffant de la bite, Naomi exécute la dite plaisanterie au pied de la lettre. Pression manuel sur la base et égratignant le reste avec ses dents.
Suite à cette calamité, je commence la pénétration en missionnaire. L'envie de goûter à ses fesses en levrette m'incite à vouloir changer de position, mais comble de malchance elle refuse. D'après elle, je suis trop long en taille et en durée de coït.
Elle m'expliquera par la suite, qu'une bonne levrette (et par extension une pénétration) dure en tout et pour tout deux minutes. Et elle n'hésitera pas à dire que c'est une généralité chez toutes les filles . Je rétorquerai (en connaissance de cause) que cela dépend de la fille et également de l'alchimie et de l'affinité entre les deux partenaires (en lui rappelant que j'ai sûrement baisé plus de filles qu'elle).
Suite à ces palabres, mon érection avait quasiment disparu et le temps imparti par la session m'interdisait d'aller jusqu'au bout.
Bizarrement, malgré le désastre que fut cette session, Naomi est devenu beaucoup sympathique, souriante et affable à mon égare; n'hésitant pas à me recommander ses collègues hongroises.