Discussion : Obaix - Salon Aaliyah : LILA

[vincebv]

Pour réussir un texte aussi abouti, il faut une sacrée dose d'inspiration.
Nous pouvons en déduire que la belle Lila est aussi une muse.
Elle, ta muse ?
Et bien davantage sans doute...
Heureux homme qui sait mettre des mots sur son plaisir.
Et qui sait nous le faire partager.
Nick, qui te souhaite d'autres belles rencontres.

Merci.

Certaines m'inspirent plus que d'autres, la plupart m'émeuvent.

Comme je le disais effectivement pour une autre: "Qu'elle soit ma muse m'amuse"

[VieuxNick]

Pour réussir un texte aussi abouti, il faut une sacrée dose d'inspiration.
Nous pouvons en déduire que la belle Lila est aussi une muse.
Elle, ta muse ?
Et bien davantage sans doute...
Heureux homme qui sait mettre des mots sur son plaisir.
Et qui sait nous le faire partager.
Nick, qui te souhaite d'autres belles rencontres.

[vincebv]

EV – Le ‘petit’ suisse

Echaudé par ma dernière ‘découverte’ chez Aaliyah (Michel, de funeste mémoire), je suis passé un soir il y a peu juste pour boire un verre, discuter et me faire une idée des nouvelles demoiselles. J’avais un peu discuté avec Sofia, Naomi et surtout Lila. Naomi a déjà disparu. Ma discussion avec Lila m’avait convaincu de la revoir. C’est chose faite maintenant.

https://www.quartier-rouge.be/prive/...-tabous-3.html

J’appelle Aaliyah ce jeudi et je demande un rendez-vous avec Lila pour hier après-midi. Plutôt que de lui transmettre le message, elle me la passe. De ma visite je la savais suisse. Je l’accueille donc avec un ‘Bonjour grand petit suisse, même si je sais que tu es un peu plus foncée’. Elle me répond d’un langoureux ‘Je suis surtout beaucoup plus savoureuse’ Ça c’est du bonjour ! Le rendez-vous est pris.

J’arrive à l’heure convenue… et c’est Célia qui m’ouvre. Jolie petite beurette blonde qui m’offre un verre d’eau, me dit que Lila arrivera avec du retard, et qui essaie surtout de me faire monter avec elle ! Je décline et rentre chez moi pour constater qu’Aaliyah m’avait prévenu du retard. Moi qui mets toujours mon téléphone sur silencieux quand je rencontre…

De retour à la villa, c’est Lila elle-même qui m’ouvre cette fois. Je la regarde, elle est encore plus grande que les 1,80m de son annonce. Et elle n’est même pas sur des hauts talons ! Elle m’avouera 1,85m sous la toise. J’étais venu en soirée, il faisait sombre. Ce vendredi il fait plein soleil et je peux la détailler. Elle est superbe , très noire, un beau visage, des jambes interminables. Elle a surtout une conversation intelligente et un caractère très fort. Elle m’avouera entre autres avoir choisi la ‘puterie’ (sic) par choix raisonné plutôt que par obligation.

On boit une flûte de champagne avant de monter. Au lit après les ablutions d’usage. Un massage avant les galipettes.

Les détails essentiels :

• Ses lèvres sont douces et pulpeuses
• Son corps nu est un régal pour les yeux, la langue et les doigts
• Petite toison bien entretenue et coupée court
• Elle est très active… et très réceptive
• La fellation est nature si vous le méritez
• Sa compagnie est réjouissante si vous la méritez

Bref, elle est belle à pleurer. Vu que c’est une black bien armée, je me serai donc battu à larmes blanches.

Pas de râteau, de belles pelles. Très bonne pioche pour Aaliyah.

Pour terminer, parce que comme moi elle adore la langue de Molière, petite variation sur un classique :

Quand tu seras bien vieille le soir à la Duvel,
Assise devant le poste délirant et bavant,
Diras buvant des verres et te remémorant:
"Youppie me célébrait du temps que j’étais belle!"

Quand je te vois briller parmi toutes les nouvelles,
Quand beaucoup d’autres ailleurs ne travaillent qu’en traînant,
Au milieu des étoiles tu donnes au ferme amant,
Ne jurant que par toi tellement tu es belle.

Je serai gueule en terre sans le dégât des eaux,
Et je pourrai enfin profiter du repos,
Tu repenseras sans fin aux appels du zizi,

Regrettant mon amour parti pour le sapin,
Profite tant qu’il est temps sans remettre à demain,
Recueille dès aujourd’hui les larmes de mon vit.

Vince de Ronce hard, Sonnet pour Lila, 2017