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Discussion : Barcelone: La Flor del Caribe, Muntaner 14 Ppal. 2

  1. #


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    février 2009
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    Barcelona, Spain
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    Par défaut On l'adore, Sara...

    Y'a pas à dire, à sourciller ni à tortiller du cul pour chier droit dans la boutanche: on l'adore, Sara.

    Une liane élancée d'un mètre quatre-vingts, à la peau couleur acajou, aux longs cheveux lisses d'un noir profond aux reflets bleutés, et aux traits un rien austro-mélanésiens rappelant que la demoiselle est d'ethnie arawak, typique des Grandes Antilles. Un popotin gros comme une baraque à frites, une fendasse plus large qu'un bénitier, une bouche goûlue et surdimensionnée, d'immenses cannes ultra-musclées épiloguées de chevilles un rien éléphantesques et de non moins immenses pieds dont les plantes se sont précocémment fripées, caryotype aborigène oblige... Décidément on l'adore, Sara, un pur délice d'exotisme, pourtant si simple, sans prétention aucune... Ayant le privilège d'en avoir dans la cervelle, Sara se montre prolixe et affable en toutes circonstances. Et on l'adore de plus fort, Sara, lorsqu'elle évoque son (véritable) métier d'infirmière, s'imaginant derechef en train de l'embroquer debout, blouse blanche retroussée, contre la table d'examen de la salle de soins, de son immense rapière pour l'occasion transformée en boc à injection vaginale. On adore le calembour autodérisoire du monde putassier, qu'elle partage avec plaisir, riant à gorde déployée, offrant ainsi le magnifique spectacle d'une langue de rorqual et d'une luette d'hippopotame. Réticente au FK et à la sucette tout-en-chair, la Sara, mais on l'adore quand même. Et comment ne pas adorer l'enfiler dans toutes les positions possibles et imaginables, assis-debout-couché sur le lit à la lueur d'une bougie éteinte.... enfin une femelle qui supporte sans même broncher le missionnaire un rien pesant du quintal de son partenaire mâle... que demander de plus?

    On en arriverait presque à se demander si Sara n'est pas née homme... mais rien n'est plus faux.

    Et c'est pour ça qu'on l'adore, Sara.

  2. #


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    Par défaut Barcelone: La Flor del Caribe, Muntaner 14 Ppal. 2

    Immédiatement mitoyen d'une glauque et sordide casa de chinas, ce petit appartement ne payant pas de mine fera la joie des petits budgets en quête d'une expérience câline et exotique. http://relax-flor-del-caribe-en--bar....buscalis.com/ pour le lien. Quatre protagonistes:

    - Maria, Dominicaine cinquantenaire ayant fait les frais d'une rhinoplastie ratée, un tantinet simplette sur les bords et aux entournures. Accepte la fellation non-couverte à la condition d'une propreté irreprochable, n'hésitant pas à sniffer le dard du client préalablement à l'enfournage. Entre ses cuisses pendent non pas des steaks, mais des côtes de boeuf marinées. Bref comme le dit le proverbe allemand, mieux vaut une bonne branlette qu'une mauvaise femme;

    - Luisa, Cubaine noire assez jeune. Les amateurs de soupe à l'oignon l'apprécieront énormément pour les effluves de ses aisselles, ceux de zoophilie pour sa grande clape de guenon qui baîlle à angle aigu entre la poire et le tronchage, et ceux de fruits de mer pour les remugles iodés de sa moule, aux limites du radioactif. Pour le reste, il y a toujours le café Emma, la Pinède des Singes ou la maison Prunier;

    - Carla, brunette Equatorienne siliconnée, insatiable, perverse et bouillante comme on les aime. Pas nécessairement très jolie mais experte en jeux hard. Adôôôre les morsures en tant que donneuse et receveuse;

    - et pour ma préférence à moi, Sara, gigantesque métisse dominicaine de 35 printemps, dont le mètre quatre-vingt n'a d'égal que le fessier aussi gros qu'un block-haus posé sur le mur de l'Atlantique... Malgré tout belle, élancée, un corps sain de mulâtresse tropicale... on lui pardonne aisément ses quelques imperfections. Tout est chez elle surdimensionné, son immense bouche d'intarissable de la flûte, sa fente plus large qu'un bénitier qui ne se plaint jamais des larges sexes... c'est un régal.

    Tarifs, 40 euros les 20 minutes, 50 euros les 30, et 80 les 60.

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