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Discussion : KELLY (ghanéenne - black)

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    juillet 2017
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    Ici et là-bas. Un peu ailleurs aussi.
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    Par défaut Kelly! You kill me!

    Extrait d'un récit:




    Mais Kelly est séduisante.
    C’est décidé! Je change mon plan de bataille. C’est avec elle que je ferai la première joute de la journée. Je la laisse terminer son repas tranquillement, puis griller une clope. Enfin, je vais me présenter à elle. Nous prenons la direction d’un sofa dans l’arrière-salle. La discussion d’usage est brève.
    En gros : « je suis ghanéenne » ; « je suis français ». J'exagère à peine.
    Et elle engage immédiatement des DFK à m’en arracher la langue. wOUAH !!! Ça, J’aime !




    Après ce prélude prometteur, nous prenons la direction d’une chambre en sous-sol.




    Après de nouveaux DFK fougueux, elle se dirige sur mes tétons (ça aussi, j’aime !), puis engage une délicieuse pipe. Et Re-DFK déchaînés.
    Je retire ma langue de sa bouche et descends progressivement (adagio, adagio) vers sa belle poitrine que j’embrasse. Je lèche, titille et suce à mon tour ses tétons.
    Puis je reprends l’exploration de son corps : à nouveau, je descends progressivement (adagio, adagio) vers son entre-jambe. Un cunni de 20 bonnes minutes (peut-être plus), puis de nouveaux DFK qui signent la fin des préliminaires.




    Nous ne ferons pas le tour du kamasutra dans la mesure où nous ne pratiquerons qu’une seule et unique position mais en deux variantes :




    La levrette classique, à quatre pattes sur le lit.




    Puis, je lui propose de le faire debout: la levrette «en extension »...




    (Petit interlude :


    Avant d’écrire ce récit, j’ai lu, ou plutôt relu le fil qui lui est consacré.
    Quand j’ai vu la signature de MrNoMoustache, je me suis souvenu avoir lu ce récit ; mais 6 mois se sont écoulés depuis, et j’avais oublié.
    Je cite le FBI Female Body Inspector:


    - "La levrette « en extension » sera sa préférée, c’est-à-dire avec moi debout, sur mes pieds, et non à genou derrière elle, ce qui garantit une pénétration très favorable pour aller lutiner son point G".

    Et quelle ne fut pas ma surprise de relire ces lignes..


    Fin de l’interlude).






    C'est intense et l’heure de rendre les armes a sonné.


    Je suis vidé mais comblé. Cette longue session fut d’une merveilleuse volupté.

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  1. #


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    mars 2015
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    Par défaut KELLY (ghanéenne - black)

    14 juin

    A quoi peut bien ressembler l’ambiance du Bab un mercredi ? C’est la question que je me pose en passant la frontière. Une envie soudaine m’a prise d’aller m’éclater dans ce qui reste le premier FKK que j’ai visité, et où je n’ai plus mis les pieds depuis déjà plusieurs mois.

    Le line up, je l’ai vu sur le planning, est assez modeste : 29 filles. J’ai bien quelques idées derrière la tête mais finalement je me dis qu’on verra bien sur place … au feeling (comme dit mon pote PH).

    La mignonne Delia est là. Elle m’accueille avec un grand sourire et cela laisse présager la suite. Car je connais Delia pour l’avoir fréquentée alors qu’elle avait tenté une courte escapade vers d’autres lieux, avant de rapidement revenir au Babylon. Et cela avait été bien agréable. Je l’imagine donc sans peine à nouveau dans mes bras.

    C’était sans compter sur une apparition, une conjoncture, une rencontre … et un flash soudain qui se produit alors que je vais prendre un verre au bar.

    Je croise une panthère noire au déhanché improbable. C’est bref, soudain … mais mon œil a capté quelque chose que le cerveau n’a pas encore totalement assimilé ; je me retourne, elle aussi ; nos regards se croisent et là je sais que je suis perdu ! Irrésistiblement et irrévocablement désemparé ! Le choix s’est opéré instantanément, d’un coup d’un seul.

    Kelly n’est pas professionnelle pour rien. Elle aussi a saisi l’instant et m’appelle du doigt, comme ça … viens là toi, qu’on fasse connaissance ! Autour d’un verre, dans l’un des canapés du grand salon.

    Kelly est ghanéenne. Elle parle un anglais très correct et aussi … italien . Car elle a séjourné du côté de la Toscane. Elle avoue 28 ans (même si le line up du Bab lui donne 36 ans ; allez savoir … je n’ai jamais pu estimer l’âge d’une black). Kelly mesure 1m72, est plutôt mince, avec des seins moyens (80 B), un peu tombant. Tout chez elle est naturel (sauf trois petits tatouages qui sont là pour dissimuler des cicatrices). Ses cheveux sont longs et assez souples pour une Africaine.

    Nous sommes ensemble depuis une quinzaine de minutes environ. La discussion va bon train, le courant passe très bien, trop bien, entre nous. A tel point que Kelly va, en s’approchant subitement de moi et en se mettant à m’embrasser, provoquer un violent court-circuit . Je ne suis plus à la terre. Complètement déconnecté de la réalité. On s’embrasse, on s’embrase !

    Les baisers sont pour moi très importants. J’aime parfois le sexe avec une fille qui n’embrasse pas, ou qui embrasse mal mais je récidive rarement. Avec Kelly, il n’y a pas de demi-mesure. C’est DFK tout de suite ! Et puisqu’elle constate que, moi aussi je mets du cœur à embrasser, autant qu’elle, ça deviendra vite DDDDDFK, bien plus que tout ce que j’ai vécu jusqu’ici avec toutes les autres filles que j’ai rencontrées (sauf une !). Chaud, bouillant, profond … énorme. Je suis littéralement envahi par sa langue, je réponds de la mienne. Un festival de baisers, et ça dure, ça dure, ça n’en finit pas.

    Subrepticement sa main s’est glissée sous la serviette nouée à ma taille. Elle est en train de prendre la mesure de mes attributs. Et là aussi c’est dur et c’est dur ! C’est pas possible ça … si ça continue on va baiser là, tous les deux, sur ce divan, dans le salon. Nous nous emportons, lascifs et indécents.

    Mais Kelly reprend conscience des réalités (économiques -) et me glisse dans l’oreille : «Veux-tu que je t’emmène dans mon paradis ? ». Et je lui réponds : « Pour que tu goûtes à ma langue ailleurs ? ». Elle fait : « oooooh ! » … et nous voilà partis en chambre.

    Première session.

    Nous avons du bol. Sa chambre préférée est libre. J’aime bien aussi. Grande, spacieuse, aérée … avec un gros cœur rouge accroché au mur … car elle m’a prévenu : on va faire l’amour ("make love") et pas baiser ("fuck"). Jolie chambre vraiment … on y vivrait (avec Kelly bien sûr) .

    Et la séance baisers n’était pas finie, loin de là. Trop bon, c’est trop bon. On s’embrasse, on se mange, on se caresse … et Kelly me rappelle ma promesse … Elle veut sentir ma langue, mes lèvres ailleurs que sur sa bouche et sur ses seins.

    Le cunnilingus de MNM ; c’est un peu ma marque de fabrique ; ma signature lorsque je rencontre une nouvelle fille. Et dans le cas présent la qualité des baisers échangés donne déjà à Kelly une très bonne opinion de la suite. Elle ne va pas se tromper.

    Un cunnilingus, comme son nom l’indique, c’est uniquement avec la langue (accessoirement avec les lèvres). Si on ajoute un doigt, ça s’appelle un doigtage … et ça beaucoup de filles n’aiment pas . Et puis n’oublions pas d’utiliser les oreilles (et tous les sens) qui participent intensivement. Car tandis que je m’applique, je suis aussi très attentif aux réactions de l’intéressée. En outre il faut de la patience, beaucoup de patience : la fille que je « pratique » le plus – et pourtant je sais comment lui faire plaisir – ne jouis (et pas à chaque fois) qu’après 30, voire 45 minutes ; bonjour les crampes. Un cunnilingus n’est pas une léchouille d’une minute, juste le temps de faire mouiller un peu (ben oui, forcément ça mouille si tu lèches ! ).

    Kelly s’est confortablement installée et dès que je commence à la titiller d’abord du bout de la langue (la langue plate je la réserve souvent à l’assaut final) elle réagit tellement bien que je sais où l'emmener et comment. Il y avait beaucoup de coquinerie dans nos baisers ; il va y avoir énormément de complicité dans ce ‘broute-minou’. Ses réactions sont tellement prévisibles (murmures, mains dans mes cheveux, jambes qui se resserrent pour m’emprisonner, tremblements d’abord sporadiques puis convulsifs …) que je parviendrai à lui procurer un orgasme (un vrai … elle n’en revenait pas) au bout de 20 minutes quand même. Mais quand on aime, on ne compte pas.

    Puisque maintenant Kelly et moi nous sommes partis pour le meilleur, elle va évidemment tout faire pour me procurer un plaisir très intense avec une fellation première classe. Tout y passe : léchage du service trois pièces, avec une insistance très poussée sur les bijoux de famille qui étaient bien rasés pour l’occasion ; léchage d’anus – je ne savais pas que c’était en supplément mais je n’ai pas rechigné à lâcher 25 Euros supplémentaires à la fin ; gorge profonde ; suçage, léchage, gobage …. Bref rien à ajouter au catalogue de la fellation parfaite.

    J’aurais pu me lâcher déjà mais tout est si parfaitement dosé que je veux aller jusqu’au bout du bout, même si nous sommes déjà en chambre depuis près d’une heure. Pour ce qui est des positions, Kelly est ouverte à tout et surtout à découvrir des nouvelles positions qu’elle ne connaît pas encore, ou qu’elle ne pratique pas souvent. La levrette « en extension » sera sa préférée, c’est-à-dire avec moi debout, sur mes pieds, et non à genou derrière elle, ce qui garantit une pénétration très favorable pour aller lutiner son point G. Mais ce n’est qu’une des nombreuses variantes que nous avons expérimentées lors de cette première session ‘découverte’ (et ‘réussie’).

    Après 1h30 de ces petits jeux, chose rare, je m’abandonne dans le préservatif … et je m’écroule sur le lit, à côté d’elle, qui demande également un ‘time out’.

    C’était intensif, fort, puissant, jouissif et terriblement plaisant. Magnitude 8 sur l’échelle de Richter.

    Après quelques minutes de sieste bien méritée, retour en salle. Nous disparaissons chacun vers notre douche respective et puis je me dis que je reprendrais bien un peu de force au restaurant (un autre endroit fort agréable dans ce FKK).

    ----------

    L’une ou l’autre fille passe, me sourit, sharke un peu … mais je suis hébété, engourdi et, pour tout dire, un peu léthargique. Je voudrais tellement dire mon bonheur mais, pour le coup, je suis venu seul ; personne avec qui partager.

    Mais tiens qui voilà qui repasse : Kelly tout sourire dehors !

    Elle m’apporte un verre d’Apfelsaft et m’invite à venir m’asseoir à ses côtés, dans le salon. Je ne résiste pas à ces moments souvent faits de sympathie et de tendresse, lorsque l’on vient de vivre une expérience sexuelle réussie.

    Le temps d’en apprendre un peu plus sur elle et elle de me découvrir, elle me répète qu’elle a tellement aimé comment je m’étais occupé de son ‘pussy’ et qu’elle voudrait une ‘resucée’ (si vous me permettez l’expression).

    Comme je n’ai franchement pas fait d’autre découverte passionnante entre temps et que la récidive me paraît tellement séduisante, j’accepte sans hésiter. Tellement contente (je ne suis pas dupe : il est plus facile de garder un client que d’en conquérir un nouveau) elle se remet à m’embrasser fiévreusement et me procure instantanément une nouvelle érection prometteuse.

    Deuxième session

    Même chambre. Même fille, surexcitée cette fois, et très désireuse de connaître un deuxième orgasme.

    D’aucuns, à qui j’ai parlé de ce ‘doublon’ se sont demandé quelle pouvait bien en être l’intérêt. Franchement : aller dans un endroit où il y a autant de jolies filles et passer toute l’après-midi avec une seule …

    Et bien, voyez-vous, j’ai décidé de varier un peu les plaisirs, et elle aussi.

    Cunnilingus d’accord mais cette fois-ci ce sera elle à califourchon sur moi confortablement couché. Cela permet à Kelly de faire varier la pénétration de ma langue, de bouger à sa guise, bref de contrôler la situation. Et ça la rend folle. L’orgasme (multiple) est atteint en un temps record.

    Et comme ça m’a également follement excité, elle n’a pas besoin de passer par l’étape « fellation ». Mon chibre dûment encapuchonné est introduit par l’amazone sans ménagement dans sa chatte dégoulinante. Et c’est dans cette position, elle sur moi, d’abord recto, ensuite verso, que nous allons dodeliner adagio, lento, moderato, allegretto, vivacissimo … de toutes les façons possibles et imaginables en suant de grosses gouttes mais avec des ondes de plaisir qui, elles, ne varient pas : toujours crescendo !

    Et ce sera la seule pénétration pour cette fois. Car Kelly n’a pas envie que ma semence se perde à nouveau dans le latex. En fait elle veut me taxer 25 Euros supplémentaires en avalant mon brouet (en outre je crois qu’elle adore ça). Et c’est reparti pour une fellation d’anthologie, ses yeux dans les miens ; du grand art si j’en crois la fin du tableau : une quantité de sperme que je n’aurais pas soupçonné, trop pour tout garder ; ça déborde aux commissures des lèvres. Du porno !

    Je ne m’attarderai pas beaucoup plus. Après une nouvelle douche bien méritée nous nous retrouvons pour quelques bisous d’au revoir … et à la prochaine.

    Je pense que plusieurs d’entre nous revoient les scènes, rêvent de la fille avec qui ils ont eu du plaisir. Bref ça nous turlupine, pendant quelques heures, une nuit, quelques jours ….

    Quant à Kelly, son image me poursuit pendant plus d’une semaine et je n’ai de cesse que de pouvoir la revoir. Je confierai même à un ami que si elle travaillait plus près de chez moi … j’irais bien la voir tous les jours. C’est grave ça, docteur ?


    23 juin

    Neuf jours plus tard, de retour au Bab. Cette fois en compagnie de quelques potes : Punani Hunter (mon ami défourailleur ‘number one’), Pitouille et H24.

    Je n’ai pas encore pris des forces (le petit lunch habituel quand j’arrive au Bab) que je suis déjà en train de me faire méchamment draguer par Sugar, une magnifique black, qui a remarqué que sa couleur de peau ne me laisse pas indifférent. Elle m’apprendra que les Africaines guettent notre intérêt pour les filles à la peau sombre. En gros : si tu en aimes une, tu es susceptible de les apprécier toutes. Et vice-versa.

    C’est vrai que Sugar est très belle et très hot. Assise sur ma cuisse, elle me fait sentir la moiteur de sa chatte, ce qui a pour effet de me mettre immédiatement dans de très bonnes dispositions. Je n’exclus pas une montée en chambre mais pour l'instant il faut que je mange.

    Tandis que je suis attablé, je vois passer la nouvelle Cubaine (Adele), dont mon ami Pitouille m’a dit le plus grand bien … et je l’inscris, elle aussi, à mon agenda du jour.

    Toujours pas de Kelly.

    Et puis, une demi-heure plus tard, alors que je suis dans les starting-blocs pour convoler en sexy noces avec Sugar, la voici qui apparaît. La comparaison est inévitable. D’un point de vue purement rationnel Kelly n’est pas la plus belle des dix ou onze blacks présentes ce jour-là. Sugar est objectivement plus jolie, par exemple.

    Mais celle qui s'est mise en tête de devenir ma «Wife» sait qu’elle a d’autres atouts. Et elle m’assaille à nouveau de ses baisers langoureux, excitants, sexy, électrisants et terriblement ensorcelants. C’est ça, j’ai trouvé le mot : c’est une sorcière, une fée, une magicienne. Tout le contraire de Houdini : elle me met en cage, elle me séquestre, elle est fatale.

    De toute façon, quand j’y repense … c’est pour elle que je suis revenu, et pour elle seule !

    Cette fois –ci j’ai des spectateurs. Ces "deep deep deep french kisses" qu’elle me donne, on les voit, de l’extérieur. Les langues s’affolent dedans, dehors … spectacle garanti. Mon pote PH peut en témoigner !

    Troisième session

    «Come, I bring you once more to my paradise !» me dit-elle, sûre d’elle.

    Et ce sera encore différent.

    Bien entendu elle veut son léchage de ‘pussy’ … maintenant qu’on se connait. Et elle va, une fois de plus, gentiment s’envoler … c’est elle qui est au paradis pour le coup. Elle sort tout le catalogue de superlatifs qu’elle connaît en anglais … c’est tellement sympa d’entendre ça.

    Et puis elle m’avale. D’un coup d’un seul. Avec douceur, puis fermeté, elle va, elle vient. Avec beaucoup d’efficacité. A en juger par le durcissement et la rigidité de mon meilleur ami, elle atteint la note maximale sur l’échelle de cotation de la turlute.

    Mais je sens qu’on peut faire mieux. Alors délicatement je la retourne, son sexe vers moi … et nous voilà embarqués dans un 69 phénoménal. Nouvel orgasme de la miss, non feint, car son corps tout entier vibre, de la tête aux pieds.

    Il ne reste plus qu’à conclure. Mais elle n’en peut plus. Elle est flagada la miss, éreintée, indisponible. Je n’avais jamais mis une nana dans un état pareil. Alors je m’auto-termine, à la main, sur ses seins, sur son ventre. Ça n’a pas tardé. J’en mets partout. On se regarde, on se sourit … et on s’embrasse. Kelly me dit « I want to marry you, I want you as my man !”.

    Interloqué je suis … et lui propose d’aller prendre une douche.

    Session intermédiaire

    Un peu plus tard je vois passer la très jolie Adele. Une fille qui correspond tout à fait à mes critères de beauté. Un sourire et un charme irrépressibles. Je l’invite. Nue elle est encore plus belle. Je signe de la langue, là où vous savez, et l’emmène, elle aussi, jusqu’au bout du plaisir (mais un plaisir plus contenu …). Et puis elle m’entreprend. ‘Flop’ total. Je suis mou. Je ne peux plus, c’est fini, rien à faire. Je lui souris, je l’embrasse, je dis «thank you darling, see you another time, perhaps », je paie . Avec une fille pareille ça ne m’était jamais arrivé ; mais qu’est-ce qui se passe ?

    Mes potes le savent. Tu es trop empressé. C’est normal. Aussi vite après la chambre avec Kelly ça ne pouvait pas marcher … Rassurant ?

    ----------

    Je me restaure à nouveau : bacon, salade de pommes de terres, salade de pâtes … eh oui, nous sommes en Allemagne où ce genre de mélanges est permis …

    Kelly passe à proximité, s’arrête, et me demande : «Where have you been ? I did not see you again ? With another girl ? You are MY man now …. !” Voilà t’y pas qu’elle me fait une crise de jalousie … dans un FKK ! MDR !

    Alors … je lui offre un verre. Apfelsaft ! (j’ai remarqué que cette Kelly boit systématiquement la même chose que son client … ou que sa proie ; c’est une excellente approche commerciale ; elle a dû faire de la PNL).

    Et je m’installe, une fois de plus, dans le salon. Elle et sa copine Chanel m’ont fait une toute petite place entre elles deux. J’ai donc le plaisir de voir Chanel de près, de très près. Et voilà une autre black qui est magnifique, splendide, somptueuse même. Mon pote H24, qui a fait 2 chambres avec elle, vous l’a déjà expliqué, ailleurs sur ce forum. J’ai presque envie de la prendre dans les bras.

    … mais ma « wife » me monopolise. Elle sort une langue encore plus voluptueuse que les autres fois et, devant tous mes amis assis pas loin de là, elle fait une nouvelle démonstration des plus sensationnels DDDDDFK que j’ai connus dans ma courte carrière de punter .

    Une nouvelle session s’impose.

    Quatrième session

    Toute à son empressement Kelly a choisi la chambre la plus proche du canapé où nous étions installés un instant auparavant. Je crois qu’elle a couru pour aller s’inscrire sur la feuille de réservation parce qu’elle arrive une minute après que j’y sois entré.

    Elle me plaque contre le mur, se colle sur moi, s’empare de mon sexe, le masturbe tandis qu’elle continue ses irréfrénables embrassades. Maintenant elle m’aspire littéralement. Mes lèvres entrent tout entières dans sa bouche. J’ai peur de revenir chez moi marqué d’un suçon (ce ne serait pas la première fois …) .

    Je continue à penser à la beauté de Chanel, que nous avons laissé sur le banc des réservistes. Et elle doit s’en rendre compte, car elle me propose d’aller appeler son amie à la rescousse pour un trio improvisé. Ce que j’accepte immédiatement.

    La présence de la petite mignonne m’excite encore plus, si c’est possible. Et tandis que Kelly démontre tout son savoir-faire sur mon sexe, Chanel vient se faire caresser (la peau la plus douce du monde !), se faire embrasser, puis, à ma demande, se positionner à son tour en califourchon au-dessus de moi. La jeune Chanel n’a pas souvent été léchée dans cette position car ses halètements sont immédiats et ses soubresauts viennent rapidement ponctuer nos ébats. Mais ensuite, après une tentative de blowjob pas tellement réussie sur ma personne (trop hard, presque douloureux) elle est ‘out’ et à part me triturer et me léchouiller le téton droit (et invariablement celui-là), elle apporte peu au débat. Sauf le spectacle d’une jeune noire immensément belle (je ne saurais trop insister là-dessus).

    Alors, gentiment, je la remercie pour cette demi-heure passée avec nous (que je vais lui payer par Kelly interposée) , et Kelly continue sa turlute. Elle a décidé qu’elle ne me lâche plus. Elle déteste que je me finisse tout seul. Et puis, vous l’aurez compris, elle veut encaisser son supplément pour le CIM .

    Pour tout vous dire je suis revenu dans d’excellentes dispositions. Oublié le fiasco avec la pourtant jolie Cubaine. Je suis plus raide que jamais . Tout le mérite en incombe à Kelly qui sait définitivement y faire. Elle me regarde, je la fixe et je lui dis : « Wednesday next week … we organize the wedding ceremony … Wednesday next week ! »

    Elle me fait un large sourire et m’engloutit totalement. Puis reste là. Mon sexe (pourtant pas petit) a disparu entièrement dans sa bouche et, dans cette position, elle tourne sa langue tout autour, doucement, tendrement, efficacement … je lâche la purée dans un énorme spasme …. Et elle la crache, lentement, dans sa main, pour me montrer à quel point notre mariage est impérieux.

    Et puis elle me fait promettre que je reviendrai … et que je reviendrai pour elle.

    Qu’est-ce que vous avez dit les copains ? Que j’ai une « Wife » au Bab ? What else ?

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