Visite dans ce club vendredi, après un tour par le 5th Avenue... J'avais envie de me détendre, de me faire un sauna/hammam et plus si affinité.
Je débarque donc au Bermude ...étrangement vide pour un vendredi soir : un client planté dans son smartphone (visiblement perdu puisqu'il y restera toute la soirée) et 2 filles : une MILF brésilienne et Lola.
Je suis à peine installé que Lola vient à moi et me fait son cinéma : ça fait longtemps, tu m'as oubliée, mon chéri, tu m'as manqué, bla bla bla...
Je lui explique que je suis claqué, que je viens pour le sauna et qu'ensuite j'irai dormir. Elle me raconte un peu sa vie, me parle de son taff, des gang-bangs auxquels elle s'est essayée puis me demande si elle a grossi (oui, un peu mais elle a toujours ses 2 gros nichons naturels et bien lourds). Alors, elle ne passe pas par 4 chemins : elle me propose de baiser dans le sauna pour 50 balles...
Je dois dire que c'est assez agréable de se faire pomper dans cette cabine qui diffuse une chaleur intense mais ma partenaire m'indique qu'elle transpire seule et qu'elle aimerait que je participe.
...contrairement au mythe, niquer dans un sauna est loin d'être évident. Certes, c'est agréable ...mais certaines planches sont brûlantes et je dois faire gaffe à ne pas envoyer Lola se faire griller sur les pierres incandescentes
En amazone, en levrette, en missionnaire, c'est assez plaisant ; dommage que le club soit vide. J'aurais aimé qu'un quidam ...ou un couple vienne nous rejoindre pour s'encanailler avec nous.
Complètement dégoulinant, j'exige de ma partenaire une pipe que je ferai éclater sur ses seins avant de profiter d'une douche bien glacée
En remontant, je constate que quelques têtes sont venues garnir le bar : 3 clients et Adelina, mignonne à souhait (le vrai deal de ce club, c'est elle : son fil ici)
Avant de partir, je profite encore du sauna (seul cette fois) et du hammam avant la douche de clôture. En sortant de la douche, j'aperçois à travers la vitre du hammam un mec qui se branle ...j'espère que ce n'est pas à moi qu'il pense ce bâtard
En quittant la patronne, je renonce à évoquer les travaux dont elle m'avait parlé l'an dernier. Je quitte donc le club le visage décrassé, les muscles détendus et les couilles vidées, c'est l'essentiel