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Discussion : Le p'tit bout de cellophane et sa peau de velours, en ce soir d'orage...

  1. #


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    février 2017
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    Citation Posté par sandy60550 Voir le message
    alors ....vous etes dans quelle categorie vous?
    Pour cela il faut demander aux Dames. C'est elles qui sont le mieux à même d'en parler.

  2. #


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    février 2017
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    Citation Posté par sandy60550 Voir le message
    pardon pour les fautes
    j ai tapé trop vite sur ce bonne soirée
    Pas de soucis, personne ne note les fautes.
    Bonne soirée à toi aussi.

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  1. #


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    février 2017
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    Par défaut Le p'tit bout de cellophane et sa peau de velours, en ce soir d'orage...

    L'histoire suivante n'est pas récente, elle m'a pourtant marqué (comme beaucoup d'autres...).
    Je m'en souviens encore alors que c'était il y a presque 30 ans en arrière...

    Ce jour-là nous avions loué une cassette-vidéo pour passer la soirée.
    Arrive le soir et nous commencons à nous installer dans la salle de repos destinée à ceux qui habitaient trop loin de leurs familles pour rentrer en train les week-ends.
    Avec un camarade, nous allons dans le dortoir attenant à la salle de repos pour chercher deux ou trois matelas, des polochons et des couvertures que nous ramenons dans la salle de repos où se trouvait l'écran de télévision et le magnétoscope. Nous installons les matelas sur le sol, puis déposons les coussins et les couvertures dessus. Une des filles revient du coin cuisine avec de quoi grignoter pour tout le monde (nous étions passé l'après-midi en ville faire des courses, quelques bouteilles de jus, de l'alcool, des chips, des cacahuètes, bref toutes les cochonneries que nous mangions quand nous étions jeunes).
    Un camarade rempli nos verres avant de s'installer lui aussi sur notre installation de matelas/couvertures improvisée.

    Le film commence et nous grignotons, buvons un verre, un camarade se roule un pétard, les autres lui demandent de sortir, de peur que l'on se fasse prendre. En effet, nous étions autorisé à ramener des filles, mais pas à fumer dans la salle de repos. Celui qui était de quart le week-end pour surveiller, était très sympa (nous l'avions dans notre proche) et il fermait toujours un oeil, tant que nous ne faisions pas trop de bêtises et que tout était remis en ordre pour le dimanche soir, histoire que le lundi matin personne ne remarque rien.
    Il sort donc fumer. Le film tournait depuis une bonne heure et nos yeux commencent à se fermer tout seuls. Normal, la fatigue de la semaine nous gagnait. LEs filles aussi fatiguent. L'une d'entre-elles se blottit dans les bras de mon "voisin de matelas", une autre s'allonge sur le côté sur le bas du matelas et prend un polochon qu'elle se glisse sous la tête tout en continuant à regarder le film. Sa copine qui n'était pas encore fatiguée, se lève, part dans la cuisine se chercher quelque chose et en revenant elle vient s'installer à califourchons devant moi, me demandant d'écarter mes jambes pour qu'elle puisse s'asseoir devant moi. Elle s'installe confortablement et vient poser son dos contre mon torse.

    Le film continue, et je sens qu'elle se met à bouger comme un petit chat. Elle s'appuie de plus en plus confortablement sur moi, fait de p'tits ronronnements qui ne manquent pas de me faire perdre le fil du film que nous visionnions.
    COmme je sens qu'elle est bien installée et se sent très à l'aise, je lui remonte les cheveux et commence à lui caresser la nuque. Elle frissonne immédiatement. Un gros frisson lui parcourt tout le dos. Elle se retourne légèrement, me regarde et sourit. Je lui rend son sourire. La salle était presque obscure, seule la lumière de la télévision où passait la cassette vidéo illuminait la pièce.

    Elle se retourne et s'appuie encore plus sur moi, et me fait comprendre que je dois continuer. Je reprends donc ses cheveux dans ma main, les soulève délicatement et de l'autre main lui caresse tout tout doucement sa nuque, comme si mes doigts allaient à la vitesse d'un escargot qui avance centimètre par centimètre, du bas de sa nuque, frolant ses trapèzes, puis remontent tout tout doucement jusqu'à la racine de ses cheveux (qui sentaient bons ce soir-là), puis mes doigts redescendent à la vitesse d'un escargot, vont à droite le long de son cou, remontent tout doucement pour venir frôler son oreille, redescendent, reviennent sur sa nuque,... Elle bouge comme un petit chat assise entre mes cuisses allongées à droite et à gauche de son bassin, appuie encore un peu plus son dos contre mon torse. L'entre-jambe de mon pantalon commence à gonfler et je crains qu'elle ne le sente dans le bas de son dos... Elle fait des petits ronronnements de chat et se frotte à moi, m'empêchant de continuer mes lentes caresses sur sa nuque. Si nous n'avions pas été là, au beau milieu de ce petit groupe, tous installés devant cette télé, je crois que nous nous serions probablement dévêtis... Au moment où passe la musique du générique de fin du film, je soulève les yeux vers l'écran et m'aperçois que je n'ai pas du tout suivi la fin du film... trop occupé à autre chose... Un camarade se lève, se dirige vers le magnétoscope, sort le film, le remet dans la pochette pour le ramener lundi à la salle de location. Une des filles se lève aussi, ramasse nos verres, les assiettes, et ramène tout dans la petite cuisine. Ma ronronnante dulcinée de ce soir ne bouge pas. Sa copine l'appelle. Elle lui répond qu'elle n'a pas envie de bouger, qu'elle est trop bien là. Je lui glisse dans l'oreille qu'elle ne peut pas rester car elles n'ont pas le droit de passer la nuit dans le dortoir avec nous, même si évidemment ça aurait plus plaisant. Elle râle un peu, se lève. Je le lève aussi, mes genoux étaient endormis de la position que j'avais du adopter durant le film, et je ne m'étais rendu compte de rien. Elle rit en me voyant. Je ris aussi. Tout le monde se met à ranger la salle, nous remettons les matelas à leurs places dans le dortoir d'à côté, et nettoyons la salle.

    Un camarade et moi allons raccompagner les filles jusqu'au grillage d'entrée, où nous les avions fait passer discrètement au cours de l'après-midi. Il y avait un passage à peine visible quand on ne le connaissait pas.
    Nous échageons des bises, rien de bien amoureux, assez sages en fait. Et nous nous promettons de nous revoir.

    Les jours passent, nous revoyons les filles en ville. Et peu à peu la confiance et la complicité s'installent. Deux couples se forment, un autre couple se défait.

    Et puis, un soir, notre petit groupe de garçons et de filles installés sur un rebord de mur, tous entrain de papoter, je lui dis (ou plutôt je lui avoue) que l'autre soir, quand nous étions si bien installés dans la salle devant le film, j'étais très excité. Elle rit fort et longtemps. Je ne sais pas si c'est bon signe ou pas (je n'avais pas encore suffisamment d'expérience avec les femmes à cette époque pou pouvoir interprêter et comprendre les "signaux féminis", logique puisque c'était il y a presque 30 ans en arrière...). Son rire me désarçonne et me met presque mal à l'aise. Elle en joue. Au bout d'un moment nous éclatons de rire tous les deux. Les autres du groupe se retournent et nous regardent bizarrement. ca nous fait encore plus rire.

    Lorsque nous raccompagnons ces demoiselles le soir, sur le chemin à pieds, elle me dit qu'elle aussi était très excitée ce soir-là quand je lui avais caressé la nuque si patiemment, avec tellement de douceur. Elle rajoute qu'elle n'avait jamais vu un garçon aussi doux et patient. J'en rougis et en même temps de savoir qu'elle aussi avait été émouistillée ce soir-là lance ma "machine à fantasmes" à plein régime. lol Ce soir-là je crois que je me suis masturbé en nous imaginant. Ahlala, quelle époque !...

    Quelques temps plus tard, alors que mes camarades étaient tous occupés ailleurs, et que les vacances approchaient, nous nous retrouvons un soir, elle et moi tous seuls. C'était très rare car nous avions l'habitude de toujours faire des choses en groupe. Nous organisions des soirées plus ou moins improvisées, l'un ramenant une chaîne hi-fi, l'autre empruntant une boule de verre et des fumisateurs et des halogènes à son grand frère, pour faire ambiance discothèque, nous demandions l'autorisation (nous n'étions pas encore majeurs...) à la responsable de pouvoir utiliser la grande salle pour notre soirée, etc. Tout se passait souvent très bien. Jamais de bagarre. Ou rarement. Mais ce soir-là tout le monde était occupé ailleurs.

    Nous passons donc la soirée ensemble, juste elle et moi. Je lui propose qu'on aille se promener vers le stade de sport où je passais 8 heures par semaine à l'époque. Elle accepte.

    Il faisait très inhabituellement chaud ce soir-là. On sentait qu'un orage grondait au lointain. On en voyait les éclairs au loin. Il y avait une ambiance électrique dans l'air. Nous nous baladons et nous arrêtons sous un arbre en bord de chemin. Nous nous asseyons par terre et continuons à papoter. Et de fil en aiguille nos lèvres se trouvent et se joignent dans une danse... comme si le monde s'était arrêté d'un seul coup, que plus rien ne bougeait autour. Je crois qu'il aurait pu y avoir un tremblement de terre à ce moment-là, que nous n'aurions rien remarqué tous les deux. lol

    Le désir nous gagne tous les deux. Elle m'avoue avoir très envie de moi. Cela m'excite énormément. Mon pantalon était déjà bien gonflé avant qu'elle ne me dise ça. Elle visiblement aussi à en juger l'état de moiteur de sa culotte quand je glissais ma main sous sa robe... J'avais senti à travers le tissu trempé de sa culotte ses lèvres chaudes et gonflées. Cela m'avait fait un effet dont je me souviens encore aujourd'hui presque 30 ans plus tard. Ahlala quelle lèvres intimes elle avait...

    Nous décidons d'aller jusqu'au bout ce soir là, l'endroit sous cet arbre étant calme, aucun passant ne se promenait jamais le soir là-bas, et seule la lumière de la lune traversait les branches et éclairaient le sol comme à travers des jalousies ou des rideaux qui dansaient dans le vent. On sentait à distance un orage arrivait et le vent s'était mis à se lever. Mais notre désir était presque insoutenable. NOus en avions envie tous les deux. Ce n'était pas la première fois pour moi. Elle m'avouera plus tard que pour elle non plus.

    Nous nous embrassons longuement, goulûment, et nous déshabillons, vêtement par vêtement. Je découvre alors au toucher, en y glissant ma main, ses lèvres intimes qui me font un effet de fou. Elle était bien sûr très excitée comme moi ce soir-là. mais elle avait de nature des lèvres assez larges, pas comme les petites lèvres que j'avais déjà vu chez mes copines de l'époque. Ses lèvres à elle étaient vraiment larges, gonflées, comme un gros fruit mûr et juteux. Je bandais comme un taureau. J'ai cru que mon sexe allait exploser tellement il était tendu. Cela lui avait plu visiblement quand elle ouvra mon pantalon et découvre sous mon slip mon sexe dur comme un bâton en fer. Elle me regarde et sourit. Je me replonge dans la découverte des moindre centimètres de son corps, que je n'avais pas encore eu la chance de découvrir auparavant. Mes doifgts glissent comme des petites danseuses sur sa peau de velours. Ja'appuie une main plus ferme sur ses cuisses. Elle râle, mais c'était un râlement positif, un peu comme : "continue". Mes mains se font plus entreprenantes. Et durant ce temps, elle me retire mon pantalon.

    Nous sommes allongés là tous les deux, sous ce vieil arbre, à mi-ombre de la lune qui scintille ce soir-là à travers les branchages. Ma main glisse entre ses cuisses chaudes, d'un doigt lèger et précautionneux je m'aventure sur le bord de ses lèvres. J'y ressens une moiteur éblouissante. Elle gémit très lègèrement quand mon doigt glisse avec douceur sur le bord de ses lèvres intimes. Et elle arrête de me retirer mon pantalon, il était alors descendu jusque sur mes mollets, remonte vers moi et m'embrasse avec une vigueur incroyable. J'ai cru qu'elle voulait me manger les lèvres. lol Nous nous embrassons comme des fous. Notre désir est à son paroxisme. Pendant qu'elle me mange les lèvres et la langue, je finis de me dévêtir, et j'en fais de même pour elle, mais je constate qu'elle a déjà retiré sa culotte, et ouvert sa robe dans le dos. Elle me demande de lui ouvrir la tirette de sa robe dans le dos. Je le fais et elle l'enlève complètement.

    Nous nous retrouvons nus comme des vers de terre. Et excités comme des fous. Elle s'allonge sur le côté et me présente ses fesses, me disant quêlle a envie que je la prenne dans cette position. J'hésite un instant car je pense à la contraception. Elle m'avait dit ne pas prendre encore de pilule. Je lui demande si elle est sûre. Elle me répond que oui et en même temps, elle prend un petit bout de cellophane qui trainait par là, le déchire et me le tend, comme pour me dire : voilà ce qui fera office de capote.

    (A cette époque nous nous savions rien du sida et des mst, la seule chose qui nous importait c'était la contraception. C'était une autre époque qu'aujourd'hui...)

    Je prends donc ce petit bout de cellophane (qui me restera gravé en mémoire) qu'elle me tend de la main, je me demande comment je vais faire pour me mettre ça sur ma verge... Je le déchire et le forme, tente de trouver un moyen de le poser sur mon sexe, elle me demande pourquoi ça dure si longtemps (ça n'avait même pas duré plus de 3 ou 4 secondes lol), et je me mets tant bien que mal ce petit bout de cellophane sur le sexe, puis je la pénètre.
    Elle pousse un gémissement. J'ai peur de lui faire mal. ELle me répond que non, pas du tout, qu'elle en avait très envie depuis la dernière fois. Evidemment durant nos vas-et-vients le petit bout de cellophane improvisé n'a pas tenu. Comment aurait-il pu d'ailleurs tenir. Aujourd'hui je me demande encore à quoi elle et moi avons pensé à l'époque. lol Ah quelle époque...

    Nos ébats durent et sont d'une instensité comme je n'en ai plus retrouvé avant des années plus tard (lors de ma relation très sérieuse avec une femme beaucoup plus âgée que moi dèbut de la vingtaine).

    Je ne me souviens pas commbien de temps nous avons fait l'amour sous cet arbre. Je me souviens par contre que nous avons été stoppé quand la pluie a commencé à tomber en grosses gouttes. L'orage qui semblait si lointain précédemment s'était maintenant approché de nous, apportant avec lui de grosses gouttes de pluie. Ces grosses gouttes de pluie qui se sont mises à tomber sur nos deux corps blûlants, nous ont immédiatement fait frissonner. et nous ont sorti de notre état second, nous étions ailleurs dans nos têtes... Je ne me souviens plus non plus combien de fois nous avons joui tous les deux cette nuit-là, mais c'était complètement fou, j'avais l'impression que nos deux corps étaient affamés l'un de l'autre.

    Les gouttes de pluie se sont fait de plus en plus intenses, nous avons rassemblé nos vêtements pour nous rhabiller très vite. Nous avons beaucoup rit. Je sautais sur un pied pour essayer de remettre mon pantalon. Elle aussi sautillait sur place en essayant de remettre sa culotte et sa robe, se retourne vers moi pour que je remonte la tirrette de sa robe, j'enfile mon haut, et nous nous mettons à courir sur le chemin du retour vers le dortoir.

    Cette histoire date d'il y a si longtemps... mais je m'en souviens comme si elle venait de se produire.

    J'ai parfois l'impression d'avoir encore en bouche le goût de ses lèvres, mes narines semblent encore sentir le parfum de ses cheveux, et mes doigts ont gardé la mémoire de sa peau de velour...

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