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Discussion : gonorrhée ou blennorragie ont aujourd'hui des souches aintibiorésistantes,...

  1. #


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    août 2014
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    Une mise à jour de 2018 .. nouvelle souche ultra resistante en Asie..
    http://www.atlantico.fr/pepites/brit...i-3370657.html

  2. #


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    décembre 2008
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    521

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    Citation Posté par mon708 Voir le message
    Homulien, ce n'est pas nouveau tout ça, ça fait au moins 4 ans que cette antibiorésistance est connue, il y a même eu un Questions à la Une là-dessus me semble-t-il...
    Et moult articles.



    Faux, l'ofloxacine et la ciprofloxacine font partie des antibiotiques qui ne sont plus prescrits contre la gonorrhée car il y a résistance.
    Le traitement recommandé est actuellement ceftriaxone en intraveineuse.
    Pas totalement faux, après antibiogramme, j ai eu de la ciprofloxacine...sensible pour la souche gonocoque que j ai eu..
    D ailleurs meme avec préservatif, on peut attraper cette saloperie..surtout ne pas doigter la fille et enfiler la capote avec ses doigts souillés..tout contact fluide, muqueuse est contaminant..Il faut enfiler le preso avant toutes caresses, ne pas laisser la fille nous poser le préso ..mais bon faut pas devenir parano..

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  1. #


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    janvier 2015
    Messages
    58

    Par défaut gonorrhée ou blennorragie ont aujourd'hui des souches aintibiorésistantes,...

    quelques extraits à connaitre de wikipédia sur le sujet :

    La blennorragie ou gonorrhée aussi appelée familièrement chaude-pisse, chaude-lance, castapiane ou chtouille est une infection sexuellement transmissible. Cette infection qui touche principalement les organes génito-urinaires est due au gonocoque "neisseria gonorrhoeae". Elle fait partie des gonococcies qui font l'objet d'un suivi par le « programme mondial de surveillance des antimicrobiens gonococciques » (GASP) et a été considérée le 7 juillet 2017 par l'OMS comme « menace sanitaire émergente » et nécessitant une collaboration internationale urgente.

    Des douleurs dans les organes génitaux, le rectum et/ou la gorge sont possibles. Les complications touchent principalement les femmes, 75 % des cas féminins passent inaperçus.
    Chez l’homme la maladie est plus visible et les complications sont généralement la prostatite et/ou l'épididymite. La période d’incubation est habituellement de 2 à 7 jours.

    Le seul traitement préventif est le préservatif.

    Le traitement curatif est l'antibiothérapie, mais les souches antibiorésistantes sont de plus en plus fréquentes, y compris face aux céphalosporines ( médicaments de dernier recours, dits « de troisième génération » ). L'OMS a confirmé de 2014 à 2017 en Afrique du Sud, en Australie, en Autriche, au Canada, en France, au Japon, en Norvège, au Royaume-Uni, en Slovénie et en Suède des souches résistantes. En 2003, l'OMS recommandait les quinolones (ciprofloxacine notamment) comme traitement puis 3 ans plus tard (en 2016) recommandait leur abandon... ne laissant que les céphalosporines comme antibiotique (dont la ceftriaxone) ; mais en 2016 « quarante-six pays ont déjà signalé des souches de gonorrhée moins sensibles à la ceftriaxone, et 10 pays ont signalé des cas résistants à tous les antibiotiques habituellement efficaces ». Les thérapies associant plusieurs antibiotiques sont possibles mais très délicates à mettre en œuvre en attendant de nouveaux médicaments espérés pour 2020.

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