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Youppie webcam confinement        

Discussion : JENNIFER (black - Rue Linné n° 103)

  1. #


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    août 2020
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    8

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    bonjour, es ce qu'elle reçoit toujours au meme endroit et en journée ?

  2. #


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    septembre 2015
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    38

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    elle prétend maintenant s'appeler Tina et se trouve au 103 rue linné je pense (la grande vitre )

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  1. #


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    avril 2014
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    103

    Par défaut JENNIFER (black - Rue Linné n° 103)

    Je ne suis pas sûr du numéro : il était manquant sur la porte, et je l'ai déduit de l'observation des numéros alentour, quoique certains fussent eux-mêmes manquants.

    On dit que ce quartier, triste et glauque, ne permet pas de belles rencontres. C'est ordinairement le cas. Néanmoins, il arrive que le sort nous sourie. En l'espèce, un vendredi soir, alors que j'avais délaissé le 5th, étonnamment vide, pour prendre des nouvelles d'au-delà des voies ferrées.

    Elle est jolie (cette appréciation est purement subjective, surtout s'agissant d'étrangères auxquels nos esprits sont différemment habitués, par construction), la poitrine volumineuse, et n'a pas l'air sinistre. Il n'en faut guère davantage à l'homme du commun. Première surprise en entrant : l'intérieur est propre et bien aménagé, une véritable rareté, presque une anomalie. Grand lit, bien tendu, mur et sol nets, chauffage qui n'est pas étouffant, de l'espace entre la chambre et la vitrine, une porte au lieu d'un rideau, du parfum et des linges : c'est agréable, même les pièces d'eau derrière, bien qu'étroites et rencoignées (et plus fraîches), sont d'un aménagement assez discret.

    Jennifer (nom sûrement faux) parle bien anglais, et écoute votre anglais à vous. Elle est rieuse, mais sans rigoler à tort et à travers à la moindre remarque. Elle rit quand elle a compris que vous aviez dit quelque chose d'original (même si pas nécessairement drôle). Ceci conduit à exprimer clairement ses souhaits, et à recevoir une réponse proportionnée. Je ne sais pas ce qui survient quand un client ne demande que la satisfaction unilatérale d'un besoin, mais Jennifer sait répondre à des désirs plus élaborés.

    La discussion d'entrée est telle que je souscris pour une heure, à 100€. Je puis dire que ce n'est pas volé, bien qu'on puisse estimer que la suite des événements corresponde à la nécessité de meubler tout ce temps. Mais comment l'aurait-on meublé d'autre manière ?

    Car Jennifer est douce et patiente. Elle prend son temps en caresses et en baisers (pas profonds cependant). Elle paraît apprécier les étreintes. Sa plantureuse poitrine est cependant sensible, elle en réserve donc un peu le contact, mais c'est tout de même très suffisant. Première fellation, lente et appliquée, sans approximation ni quête du résultat, jusqu'à l'avènement de celui-ci.

    Peu importe : on a le temps, qu'on résout en embrassades, plus poussées, puis en une nouvelle fellation pour faire revenir l'artillerie d'entre les (petits) morts. Sous les caresses, elle se cambre, et finit par offrir son vagin.

    Je finis par décider de m'en tenir strictement à la languette (qu'elle a proéminente, une première), sans contact avec d'autres muqueuses, ce qui peut assez aisément se faire.

    En l'espèce, ça ne se fait sans résultat. Des générations d'hommes ont douté de la fiabilité des assurances de leur partenaire quant à leur aptitude au cunnilingus, et je ne fais pas exception, surtout dans ce métier. Cependant, les contractions ressenties (je ne pratique pas la pénétration digitale, par maladresse et relatif dégoût, sauf pour juger des réactions dans le cadre de la minette, et pour assister un peu la machinerie interne) ainsi que l'humectation constatée (et aussi la turgescence de ses seins*, qui n'étaient pas oubliés) tendent à confirmer un certain succès.

    Succès réciproque de son côté, et nous entrons en coït pendant un bon quart d'heure, entrecoupé de baisers et d'interruptions très brèves pour exciter les organes à la main, accompagné par ses encouragements physiques et non-verbaux (quoique sonores) actifs, jusqu'à la seconde abolition des sens.

    On est un chouïa en-dessus de l'heure, mais nous ne sommes pas pressés. C'est l'occasion d'un petit ST bien compris, qui est l'occasion du "réflexe Youppie" et de quelques questionnements plus personnels. Ainsi elle a 24 ans, vient d'Afrique francophone mais a tout oublié de la langue, est présente tous les jours de sept heures à minuit (!!) depuis six mois (!!!) dans sa vitrine, et y demeurera encore un temps indéfini, bien que pas éternel.

    C'était la part qui vous concerne, les questions que j'ai posées, et qui avaient trait à une curiosité que j'ai de la vie et des hommes dans les situations où ils se révèlent dans leur nature la plus crue, ne regardant que moi.

    J'engage ceux d'entre vous qui ne sont pas des salauds à faire le détour, pour éviter à ce quartier de ne rester qu'un nid de crasse et de malheur. Personnellement, bien que consommateur non compulsif, je conserve l'adresse et son bon souvenir.



    * Qu'on appelle de son petit nom thélotisme, j'ai appris ça récemment.

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