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Discussion : Belleville : HU-É

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    juillet 2007
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    J'ai fait un bref tour des coins à petites chinoises en ce lundi 11 mai 2009 en soirée.

    Après un passage au spot désormais bien connu de la porte dorée où les 6 ou 7 filles présentes ne travaillent qu'en voiture au parking au tarif déraisonnable de 50 euro , je passe par la place de la Nation.

    Mais à 2100 hrs, il fait encore trop jour, heure d'été oblige, pour nos petites roumaines (ou supposées telles) qui semblent, comme le Compte Dracula leur compatriote vampire, préférer la nuit sombre. Effectivement l'arrêt de bus près du RER n'abrite que de braves gens attendant le moyen transport qui les ramènera chez eux ... si la RATP n'est pas encore une fois en grève.

    Arrivé à Belleville je tourne près de 10 mn pour me ranger finalement assez loin du coeur des débats. A pied je redescends l'esplanade entièrement déserte. Près du distributeur de billets je croise 4 ou 5 marcheuses connues de tous les punter fréquentant ces lieux : style paysannes quarantenaires évadées des rizières mandchoues, visages ridés, trapues, sans fesses et sans poitrine. Bref pas ma tasse de thé, même vert.

    Un peu dépité je passe pisser au Jean Bart dont l'urinoir est de plus en plus difficile d'accès à ces heures à moins d'y venir en bottes, de préférence jetables.

    Bref tout cela ne fait pas mes affaires car j'étais venu dans l'espoir de conclure. Je déambule en tout sens jusqu'à repérer enfin un «indice» mais cet indice est déjà en conversation. Je prends mon tél mobile et le colle à mon oreille, dis n'importe quoi et m'approche innocemment du couple, faisant mine de ne pas m'intéresser à eux. En passant j'ai le temps de recueillir des info «maison par là» et d'un geste elle montre la rue Sambre et Meuse. La petite doit avoir moins de 30 ans et arbore sous un gilet rose et blouson noir une poitrine bien sympathique ma foi. Pensant que l'affaire va se faire je m'éloigne d'eux puis me retourne discrètement. Non ça a foiré me dis je car la fille est seule et le gars s'éloigne. C'est mon tour.
    Bah non, c'est pas mon tour car le type se ravise, revient et fait signe à la fille que c'est bon. Je les suis du regard puis je les suis carrément pour voir où ils vont. Filature trop discrète de ma part car je les perds de vue !
    Un petit bistrot tout près de là pourrait me servir de poste d'observation car la demoiselle ne manquera pas de revenir. «Un déca et un verre d'eau s'il vous plait»
    Moins de 20 mn plus tard une silhouette remonte la rue. Je me lève et pars à sa rencontre. «Merde» me dis je «ce n'est pas elle». Et pourtant je la reconnais : c'est HU-É.
    Ni une ni deux j'attaque.
    «Bonsoir, toi travaille?» Elle est un peu surprise car elle est tout de même assez éloignée de son lieu de tapinage. Elle voit donc en moi un punter rusé et avisé.
    «oui travail» «toi maison?»
    «moi maison» «combien?»
    «60» «Oh non c'est trop cher» et je montre une grosse mine déçue.
    «50 ?» «moi j'ai seulement 40, tant pis, au revoir»
    Là elle dit précipitamment «40, oui OK»
    Et une fois de plus la négo s'est passée sans difficulté. Il est vrai que nous ne sommes qu'à 50 m de chez elle et elle a sans doute estimé que le temps gagné compensait le rabais accordé.

    Je retrouve le petit studio décrit dans mon EV précédente mais plus en foutoir cette fois avec des assiettes sales traînant sur la table. Je lui demande son âge et constate qu'elle a toujours 35 ans mais qu'elle travaille toujours depuis 3 mois ! En fait elle ne se souvient pas de moi. Ces blancs, ils se ressemblent tous !

    Une fois nus nous nous allongeons sur le même lit que l'autre fois pour une fell couverte agréable car elle a l'air d'avoir tout son temps. Cette fois encore c'est moi qui mets fin à ce premier acte et elle saisit son gel pour m'en enduire. J'arrête son geste et prend le flacon de gel, en mets sur mes doigts et elle a la surprise de me voir enduire sa chaire rose. Elle se marre car cette scène devait être nouvelle pour elle. Cette fille est sympa, elle n'a pas changé depuis la dernière fois.
    S'en suivront un missionnaire les yeux dans les yeux puis une levrette durant laquelle elle ne s'est nullement offusquée de sentir subitement mon pouce s'égarer dans un passage aussi secret qu'étroit.
    Je n'ai pas pensé à lui demander si elle accepterait ce genre d'intromission. Ce sera pour la prochaine fois. Le mieux sera d'ailleurs de tenter le coup et de voir si ça marche !!!

    Une fois dehors je remonte vers l'esplanade et c'est alors que sur l'autre trottoir je vois ... la petite chinoise que j'ai guetté en vain tout à l'heure depuis mon poste d'observation. Je traverse la rue pour la voir de plus près. Finalement elle n'est pas mal mais pas aussi bien que je ne l'avais cru. J'ai bien fait de «bloquer» Hué dès que je l'ai vu passer devant moi.
    Elle me dit qu'elle veut 60 mais de toute façon je n'ai pas envie de négocier car j'ai quitté Hué depuis trop peu de temps et ma forme ne serait pas au rendez vous.

    Je rentre chez moi. Il y aura d'autres occasions.

  2. #


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    Belleville : HU-É

    Bonsoir ami des marcheuses aux yeux en amande

    l'autre jour alors que j'envisageais un tour à Belleville, la proximité de la porte dorée m'a fait faire un petit détour.
    J'ai raconté ce que j'avais vu cet après midi là dans une brève EV du lieu.

    J'y suis repassé mercredi 25 entre 2000 hrs et 2100 hrs et j'ai fait le même constat.
    Du coup un peu déçu je file sur Belleville.
    Pas de pb pour se garer le soir et je pars à pied sur l'esplanade. Surprise : il n'y avait absolument personne là où se tient le marché.
    Je descends donc jusqu'au Quick et j'en vois 6 à 8 près du distributeur de billet, dans les postures et les habits emmitouflant habituels, il faut dire qu'il ne faisait pas chaud ce soir là.

    Après les quelques aller et retour classiques, un café au Jean Bart toujours aussi tartignolle, je reprends mes déambulations mais le coeur n'y est déjà plus car la moyenne d'âge n'est vraiment pas au rendez vous, quant aux physiques n'en parlons pas.

    Je repars en direction du Colonel Fabien pour reprendre ma voiture et retourner malgré tout à la porte dorée.
    Sur l'esplanade pourtant une marcheuse isolée marche droit vers moi. Nous nous croisons du corps et de l'oeil, et pour moi d'un sourire associé d'un "il ne fait pas chaud hein ?" parfaitement stupide et convenu, j'en conviens.
    Mais que voulez vous dans ces moments là mes talents d'orateurs pourtant bien connus ne s'expriment pas toujours aux mieux.
    Elle s'arrête et se retourne "ca va", moi "oui et toi ?" "oui ça va".
    On dirait un sketch du regretté Coluche.

    Elle n'est pas mal du tout et malgré son anorak je juge qu'elle est plutôt mince, élancée et dans sa trentaine. Autant dire qu'elle est beaucoup plus attirante que ses congénères croisées plus tôt.
    Je décide d'insister un peu :
    "toi travail ?"
    "oui moi travail"
    "combien"
    "50 ?" dit elle avec une intonation interrogative que j'interprète aussitôt comme une invitation à la négociation. Il faut dire que le lieu n'est pas encombré de clients potentiels, l'esplanade est absolument déserte bien qu'il ne soit que 2200 hrs.
    "Non pas 50, c'est trop"
    "combien toi ?"
    "40"
    Elle n'a pas l'air emballée : "50"
    "Non 40, Tant pis pas de problème, bonsoir" lui dis je en tournant les talons d'un air décidé. C'est ça la négo.
    Là elle dit quelque chose d'incompréhensible et je me retourne : "40 d'accord" ajoute t elle.
    "bon alors c'est d'accord. Où on va ?"
    Elle me prend le bras.
    Moi : "toi maison ?"
    "oui moi maison 5 minutes pas loin".
    C'est parti bras dessus bras dessous en remontant l'esplanade puis nous arrivons dans la rue Sambre et Meuse, près d'un resto asiatique illuminé de rouge comme il se doit, devant son immeuble propret avec porte intermédiaire protégée par digicode.
    Nous longeons un couloir et son studio est au rez de chaussée. Elle ne me fait de grand "chut" comme le font parfois ces filles peu enclines à se faire repérer dans leurs activités torrides par leurs concupiscents voisins.

    Le studio est tout petit, plutôt propre et abrite 4 lits superposés 2 de chaque coté de la chambre. Un coin cuisine minimum, un coin toilette, lavabo, douche à peu près correct.

    Pendant notre trajet à pied elle m'a appris qu'elle s'appelle HUÉ et qu'elle "travaille" depuis 3 mois.
    Dans la lumière du studio la surprise est agréable. Joli visage fin de femme asiatique et l'anorak une fois parti dévoile un corps bien fait, rien à voir avec certaines de ces pauvres paysannes manchoues, ou limite mongoles, qui sévissent le plus souvent dans ce quartier.

    Je pose mes 2 billets bleus promis sur la table et nous enlevons nos habits tout en papotant. Elle a 35 ans, un fils de 15 ans vivant en Chine, a travaillé comme femme de ménage en arrivant à Paris.
    Une fois nue elle me prouve que j'ai eu raison de l'avoir choisie. Ses seins entre A et B sont ceux d'une femme de son age et comme elle souriante je sais que je passerai un moment agréable avec elle.

    Elle enfile rapidement la protection d'usage et n'embouche prestement. L'effet de surprise provoque chez moi une réaction fort positive et Hué s'active longuement s'arrêtant de temps en temps pour lever vers moi un regard interrogateur quand à la qualité de sa prestation. Je la rassure d'un sourire et lui recommande de poursuivre sa caresse fort habile ma foi. C'est agréable et elle ne semble pas pressée pour deux sous. C'est même moi qui l'écarte doucement ce qui lui fait dire "félamou maintenant?"
    Et d'attraper son flacon de gel pour pénétrations sans frottements.

    Avec un femme souriante je recommande un missionnaire. Néanmoins après quelques minutes passées à savourer sa chaleur intime j'éprouve un besoin plus dominateur (?) et me retire tout en l'invitant à se retourner ce quelle fait lestement dans l'exiguïté de la couche qui nous abrite.
    Mauvaise pioche car je suis obligé de me redresser pour pénétrer sa petite croupe levée et du coup je me cogne la tête sur le matelas situe au dessus de nous. Cette levrette est très inconfortable. J'abandonne assez vite cette idée mais à regret car la vue sur ses petites fesses rondes, son dos et ses bras au dessus de sa chevelure noire comme la nuit était fort belle. Je me replonge en elle en lui faisant face. Je m'allonge sur elle, elle m'entoure des ses bras et me caresse comme une girl friend alors que je m'agite de plus en plus vite vers une issue forcément fatale...mais combien délicieuse.
    Pas de précipitation. Hué me laisse tout mon temps, me demande si tout va bien, me propose la salle de bain.

    En me rhabillant j'avise un cahier d'écolier sur le lit d'à côté. Je le prends et lui demande ce que c'est. Elle m'apprend que le matin elle suit des cours de français à la République et travaille ses cours l'après midi, réservant ses soirées pour les galipettes tarifées avec des messieurs jeunes ou moins jeunes. Le français est dur à apprendre me dit elle.
    Je suis prêt à partir alors qu'elle n'est pas complètement rhabillée. Elle me dit qu'elle dort là avec "copine qui travaille restaurant, pas travail comme moi", elle me fait la bise, ouvre la porte doucement et me dit "c'est ok, à bientôt".

    Je me retrouve dans la rue après avoir partagé un moment très agréable avec une jeune femme bien sympathique. Sans doute mon meilleur souvenir de Belleville ... pour l'instant.

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