Chers youppinautes , je soumets à vos remarques et vos expériences personnelles ce texte trouvé je ne sais plus où sur le net. Qu'en pensez vous ?

"J'entends parfois des femmes se plaindre du fait que les femmes qui couchent a droite a gauche sont toujours considérées comme des putes aux yeux des hommes et de certaines femmes et pas les hommes, pourquoi?
A part votre éternel argument de la serrure et de la clé un peu simpliste, il y a aussi le coté biologique qu'il faut observer et comprendre.
Le cerveau humain, comme celui de tout animal, est programmé pour que son espèce survive et ce, de la façon la plus efficace possible.On sait que dans la nature la femelle(et donc la femme chez l'homme) est programmée pour choisir un mâle qu'elle aura considéré comme le plus apte a lui faire un enfant et le faire vivre dans les meilleures conditions (donc le mâle doit avoir de bons gènes + une bonne situation(cela est une exception pour l’être humain)). le mâle doit aussi prouver par tout les moyens qu'il est digne de pouvoir féconder la femelle. De ce fait une femme qui multiplie les relations sexuelles ira a l'encontre des règles imposées par des milliers d'années d’évolutions dont son cerveau est imprégné. Une femme ne peut être fécondé qu'une fois tout les 9 mois, tandis que l'homme peut féconder 10 femmes par jours si il veut, elle a donc tout intérêt à être sélective. C'est bien pour ça que l'homme a cette réputation de baiseur fou, car il est programmé pour ça. C'est donc pour cette raison qu'une femme qui couche avec beaucoup d'hommes est mal vue, car elle casse les règles imposées par l’évolution du vivant et de l'humain, ces règles qui permettent la survie de l’espèce et est donc vue comme une femme dangereuse, elle ne sélectionne plus et donc met en péril l’espèce humaine.
Après on peut évidement se dire tout cela n'entre plus en jeu avec les moyen de contraceptions modernes, qu'on peut baiser juste pour le plaisir et non plus pour se reproduire, oui, mais le cerveau lui n’évolue pas a la vitesse du "progrès" social et des lois, il suit son schéma de survie hérité des millions d’années qui nous on précédés. Ce code de survie est transmis depuis tout ce temps et nous ne pouvons pas le rejeter, car une alarme s’enclenchera sans qu'on puisse la contrôler si on devait ne pas le respecter (d'où le fait de prendre les femmes consommatrice de sexe pour des salope).
Et pour enfoncer le clou, je pense qu'on à tous observé dans notre vie que les femmes consommatrices de sexe avaient toute, ou presque, des problèmes psychologiques un mal être profond, et ou le sexe est un moyen illusoire et malsain de fuir tout ça tout comme d'autres pourrait boire ou fumer. Mais en plus d'être un symptôme de mal être, c'est aussi une cause, car comme je l'ai dit précédement le cerveau de la femme est programmé pour qu'elles choisissent un mâle et non pas qu'elle baisent comme un mâle, de ce fait son cerveau va lui rappeler, en auto pilote, que ce n'est pas bon. C'est comme ça que fonctionne la dépression, la dépression est une alarme de notre cerveau pour nous indiquer que quelque chose ne va pas dans notre vie et que l'on doit changer ça, pour notre survie et la survie de l’espèce.
Je peux aussi parler de la pression sur les femmes par la société marchande qui lui dicte de coucher pour être heureuse. Les magazines féminins par exemple matraquent en permanence qu’une femme libre doit coucher, qu’elle doit jouir, multiplier les expériences plus ou moins extrêmes et sans morales. Lorsque la femme lambda a la vie sexuelle normale avec son compagnon et qui n’a connue que deux mecs dans sa vie tout en étant heureuse avec cette vie, tombe sur ce genre d’article, elle peut se dire que finalement sa vie n’est pas si bien que ça,que c’est une grosse coincé, qu’elle passe à côté de certaine choses et voilà que le risque d’ouvrir la boite de pandore se profile…

Du coté des hommes la consommation de sexe n'implique pas les mêmes problèmes , ils sont vraiment animés par cette envie de baiser, et ce quasiment n'importe quelle femme, même si il existe aussi des hommes qui compensent leur mal être dans le sexe, c'est beaucoup moins fréquent que chez la femme ou c'est presque toujours le cas. Car l'homme est programmé pour ça.
Petit topo

Travaux lourds: Il est plus difficile d’être un homme car les tâches les plus dangereuses, physiquement éprouvantes et les moins rémunérées sont majoritairement assurées par des hommes:
• Éboueurs,
• BTP,
• Chauffeurs de poids lourds,
• Déménageurs,
• Pompiers,
• Ouvriers sur des sites exploitant des énergies fossiles,
• Bucherons,
•etc.
Rencontres: il est plus difficile d’être un homme car la pression sélective contraint les hommes, pour se reproduire, d’être plus grands, plus athlétiques & plus performants professionnellement que leurs compagnes.
Argent: il est plus difficile d’être un homme car nous sommes soumis à des mutations professionnelles, travaillent plus longtemps, payent les dîners, les sorties, les vacances, et surtout font les crédits sur plusieurs décennies pour offrir au foyer sa maison.
Travail: A productivité équivalente, les femmes gagnent plus que les hommes (elles sont 1,3 fois plus souvent malades que les hommes).
Pouvoir: Les femmes ont le pouvoir de détruire la vie, la réputation et la carrière d’un homme comme aucun homme ne le peut d’une femme, il lui suffit d’insinuer qu’il l’a abusée sexuellement, ou simplement qu’il aurait essayé. La simple suspicion suffit à disqualifier l’ex conjoint de nombre d’opportunités.
Cercle social: Les hommes montrent moins de compassion et d’empathie vis à vis des problèmes de leurs congénères que ne le font les femmes. Un homme souffre en silence, dans l’indifférence, et c’est ce qui participe de le qualifier en tant qu’homme au yeux de nombreuses femmes.
Cercle social: Un homme qui dévoilerait une part de féminité trop importante, trop souvent (expression des émotions, doute, besoin d’être encouragé, guidé, écouté, etc.) perdrait de facto tout intérêt auprès des femmes de son entourage.
Foyer: Si une femme a déjà des enfants, il est attendu de son nouveau compagnon qu’il les entretienne également.
Chef(taine) du foyer: Les hommes ne disposent à leur guise que de 20% du budget familial, alors qu’ils y contribuent à plus de 50%.
Foyer, suite: L’immense majorité des femmes trouve un compagnon pour se reproduire en claquant des doigts. Les hommes doivent se livrer à une compétition (sociale, symbolique, mais parfois concrète et physique).
Foyer, encore: Les hommes courent toujours le risque d’élever à leur insu un enfant qui ne serait pas le leur.
Séparation et partage des biens: les scenarii de divorces tournent presque toujours, devant le tribunal, en défaveur des hommes (attribution des fautes, répartition des ressources, garde des enfants). Le contrat implicite (ou explicite, cela dépend des coutumes) du mariage est que le mari apporte soutien financier à sa femme et elle s’occupe du soutien moral. Petit problème: quand le mariage est terminé, il doit, d’une façon ou d’une autre, continuer le soutien financier, mais le soutien moral de la femme va à un autre homme.
Justice à deux vitesses: à crime identique, les sentences reçues par les coupables de sexe masculin sont plus lourdes
Justice à deux vitesses, suite: quand un homme et une femme sont reconnus coupables tous les deux, l’homme est plus souvent jugé à l’initiative du crime / du délit, la sanction la plus lourde lui échéant donc le plus souvent
Justice à deux vitesses, encore: la violence masculine – dès lors qu’elle a fait l’objet de constat via dépôt de plainte, certificat médical – est condamnée par la justice dans l’immense majorité des cas, et le coupable mis hors d’état de nuire. La violence féminine (mensonges, manipulation, torture mentale) n’est reconnue qu’à de rares exceptions, et ne fait jamais l’objet de condamnations pénales. Ni même morales, le plus souvent. « Il l’avait bien cherché ».
Santé et recherche: les affections purement masculines (exemple: cancer de la prostate) ne mobilisent pas les masses ni les dons
Société, politique: les hommes ne représentent que 48% de la population des votants*, mais sont toujours soupçonnés d’être à l’origine des pulsions belliqueuses de leurs dirigeants. Quand un pays démocratique fait la guerre, les électrices sont tout aussi responsables que les électeurs (voir même un peu plus, donc, au prorata des votants), or elles se déclarent toutes pacifistes. Bonus: ce sont les hommes qui meurent à la guerre, ultra-majoritairement.
Société, médias: dans une société progressiste, où les valeurs féminines sont systématiquement accolées à l’idée de progrès, les valeurs masculines font l’objet d’un dénigrement systématique. Les millions de mères célibataires en occident attendent un idéal de mâle qu’elles détruisent systématiquement chez leurs propres fils.
Société, marginalité: les hommes courent plus de risques de devenir SDF car ils bénéficient de moins d’opportunités en cas de difficultés économiques
Société, divers: les hommes tentent 4 fois moins de se suicider que les femmes, mais réussissent 2 fois plus. Il sont aussi 4 fois plus victimes de crimes violents.

"Oui mais on a nos règles et on tombe enceinte"

Hormis le préservatif non-remboursé, pas 100% fiable car pouvant craquer, le seul moyen actuellement à disposition pour l’homme est la vasectomie, qui est littéralement une stérilisation quasi-irréversible. Les femmes ont accès à un large panel de choix (allant de la pilule à l’IVG en dernier recours, en passant par le stérilet), grandement remboursés ou même gratuits dans les planning familiaux, pour les mineures.

"Mais ce sont les femmes qui sont oppressées"

Le taux de suicide est de 27,1 pour 100.000 hommes et de 9,2 pour 100.000 femmes. Mais les chiffres réels doivent être revus à la hausse, car ces statistiques ne tiennent pas compte de ceux qui meurent dans des circonstances qui, à première vue, semblent être des accidents, mais qui n'en sont pas. C'est ainsi qu'une sous-estimation de l'ordre de 20 à 25% est reconnue. Le mode de suicide masculin est différent : les suicides surviennent beaucoup plus souvent de manière violente et le passage à l'acte masculin est plus souvent suivi d'effet.Mais aussi, le mode d'expression des hommes est différent, ils admettent moins qu'ils sont dépressifs et s'engagent moins facilement que les femmes dans une démarche de soins. Ainsi, la détection du risque suicidaire et la prise en charge préventive sont plus difficiles à mettre en oeuvre. Globalement, deux facteurs peuvent être à l'origine de cette surmortalité masculine :

• la socialisation masculine qui facilite, d'une part, l'émergence de certains facteurs de risque et, d'autre part, inhibe certains facteurs de protection ;
• un réseau social beaucoup moins développé que chez la femme, ce qui rend plus difficile la détection et la prévention.

http://www.e-sante.fr/sui[...]ctualite/1466#paragraphe1

"Les femmes sont plus victimes d'agressions"

Les femmes sont quasiment intouchables
Une fille gifle un gars en pleine rue? Tout le monde rigole. Quel loser! Dans le cas inverse, le type finit au mieux en garde à vue, au pire à l’hôpital, lynché par la foule:
À délit ou crime équivalent, une femme écopera d’une sanction moins lourde. Si elle accuse un homme de quoi que ce soit (viol etc.), la présomption d’innocence n’existe pas : il est coupable par défaut aux yeux de tous. Une femme serait bien évidemment incapable de mentir.
http://www.la-croix.com/A[...]es-_NG_-2012-08-22-845017

Les bleus vous choppent en flagrant délit à 56km/h, retenu 51, dans un bled de merde, en semaine à 23H? Test d’alcoolémie, 90€ d’amende, 1 point en moins et tour de la bagnole assuré pour sanctionner la moindre rayure suspecte. Une femme crame un stop en ville un samedi après-midi? Il lui suffit de déboutonner son chemisier pour être gracié d’un « dernière fois m’dame, faites attention ». Si le flic est sexiste, il reste toujours l’arme de destruction massive en réserve : les larmes de crocodile.

Une fille peut naturellement demander un renseignement dans la rue sans être fusillée de regards méfiants et sans que son interlocuteur tente de couper court à l’interaction. Un mec, à moins d’être en costard (et encore, tout dépend de sa gueule), est suspect par défaut. Harceleur? Vendeur à la sauvette? Agresseur? Non, en fait, je suis juste un pauvre con de rat de bureau qui cherche la poste pendant ma pause déjeuner.
Vous crevez sur la route et ne savez pas utiliser un cric? Priez pour que votre bien-aimée soit avec vous, non pas pour une quelconque utilité mécanique, mais pour la mettre sur le trottoir (au sens propre, dans ce cas de figure) en vous planquant sur la banquette arrière pour augmenter vos chances qu’un autre automobiliste s’arrête. Si vous galérez toujours et que votre épouvantail est un ancien modèle, n’hésitez pas à abattre votre dernière carte en faisant sortir ses airbags pour faire grimper sa cote argus.

"Oui mais on est plus soumises à la pression de notre physique et doivent respecter un idéal"

Le physique est le critère éliminatoire tant chez les hommes que chez les femmes. Le mythe des femmes moins visuelles que les hommes est perpétué par la société, laissant croire que la personnalité est le critère prédominant puisque les autres sont moralement inacceptables (car attirée par le physique=superficielle, et attirée par l’argent=profiteuse).

Les goûts des femmes sont globalement moins éclectiques que ceux des hommes (qui peuvent aimer les grandes, les petites, les minces, les filles avec "des formes généreuses", les blondes, les brunes, etc.). L’archétype du mec favoris est le classique grand beau brun ténébreux. Liste non exhaustive : 1m80+, regard perçant, bronzé, ligne de cheveux impeccable, légère barbe, mince avec un peu de muscle, épaules larges, mâchoire saillante, pommettes un peu apparentes, large sourire.

De plus, les femmes ont des styles vestimentaires (et pas que) bien plus vastes que les hommes: une femme peut imiter un homme sans subir de représailles. Une femme peut porter des vêtements masculins (boots, chemises, etc.) et continuer d’être respectée et désirable. Un homme en robe se fait tabasser. Une femme qui travaille dans un secteur masculin est indépendante et a du caractère. Un homme qui veut garder des enfants est dans le meilleur des cas une tapette, au pire pédophile. Une boxeuse est une femme forte. Un mec qui fait de la danse classique est gay.

De plus, il est plus facile pour elles de tricher sur leur physique, et d'être considérées comme belles.
Corps de rêve à portée de main
N’importe qui ayant déjà fait de la musculation sérieusement sait à quel point il est difficile et long de se bâtir un corps de rêve. À moins d’avoir recours au dopage, il faut des années de travail et de diète stricte pour arriver à un corps considéré comme agréable : musclé et sec. Faire de l’exercice est optionnel pour une femme, il lui suffit en réalité de ne pas bouffer comme une vache pour décrocher le prestigieux titre de bonasse. Si elle daigne transpirer quelques gouttes, elle pourra même faire un p’tit billet en ouvrant un compte instagram intégralement dédié à son boule.
Peuvent tricher et améliorer leur physique
Fond de teint pour masquer une peau dégueulasse, talons pour compenser une petite taille et bomber un cul inexistant, rembourrage et soutiens-gorge push-up… Un laideron peut littéralement se transformer en bombe avec les qualités artistiques nécessaires. Personne n’y trouve rien à redire puisque c’est la norme. Imaginez maintenant qu’une fille se rende compte que son mec porte des chaussures compensées de 8cm et soit en réalité plus petit qu’elle? Retour à la case célibat et humiliation publique garantie.

(C'est d'ailleurs pour ça, qu'à titre personnel, je ne m'intéresse qu'aux femmes qui se maquillent peu, qui sont sportives, qui font de la randonnée: car elles ont moins tendance à tricher, pas de mauvaises surprises le matin.)

"Oui mais elles tombent enceintes"
En tout cas elle pourra souvent se débrouiller pour le faire vivre dans de bonnes conditions:
Si une meuf perce les capotes ou « oublie » de prendre sa pilule, son coup d’un soir ne pourra échapper à la paternité et sera soumis à un test ADN obligatoire si il refuse de reconnaître l’enfant. Voyez Cristiano Ronaldo et son one-night stand avec une serveuse lors d’un séjour aux États-Unis. Erreur fatale qui lui a coûté 10 millions pour racheter l’enfant non-voulu. Y’a pas à dire, les ricains sont vraiment les rois du business.

Égalité des sexes oblige, si une femme trompe son mari et tombe enceinte de son amant, le test de paternité est illégal et refusé devant les tribunaux. Le cocu est donc juridiquement forcé d’être père. Mieux encore, vous risquez 1 an de prison et 15000€ d’amende en cas de possession d’un kit de paternité, histoire de dissuader ceux qui se poseraient un peu trop de questions.

Une femme c’est en fait comme un homme politique. Même avec des casseroles au cul, elle y a toujours moyen de se refaire. Un mec qui débute mal sa vie (pas de diplômes, par exemple) est plombé jusqu’au bout. Il sera éternellement confronté à l’insolvable équation « pas de taff + pas de thunes + pas de statut social + ne fait pas rêver = célibataire », surtout dans les grandes villes. Une femme qui n’a jamais rien branlé (au sens figuré) peut subitement rencontrer un mec intéressant d’un statut supérieur à elle et se refaire une santé d’un coup de b…aguette magique. "