Je me suis toujours dit qu'en entendant chanter Brel, quand il parlait des flamands et des... bataves, il y avait en lui de la frustration quand aux affaires du sexe.
Si un jour, je dois "monter" au nord, je me suis toujours dit que je n'irai ni en Wallonie ni en Goetheland, mais bien dans des terres où l'on pourrait entendre Sharon den Adel jacter dans sa langue native. Je trouve le flamand/neerlandais terriblement érogène... surtout prononcé par des femmes physiquement "riches" en féminité.