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Discussion : Blouses blanches

  1. #


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    août 2010
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    Paris
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    Intéressant, je fantasme également beaucoup sur les infirmières (voir à ce sujet les videos japonaises très spécialisées sur ce genre, comme Zenra)
    Il m'est arrivé, ou plutôt il m'est non-arrivé la chose suivante : hospitalisé pour un AIT (une sorte de baby-AVC) sans trop de conséquences pour moi, ouf ! Le matin du 2è jour on s'affaire autour du lit, — que je ne pourrai quitter pour quelques pas que le surlendemain—, pour procéder à ma toilette tout allongé.
    Voici donc 2 aides-soignantes, une jeune et une plus âgée, ai-je réussi à distinguer dans le semi-brouillard, qui me dénouent la chasuble hospitalière jetable, arrivent à glisser je ne sais comment une bâche plastique sous mon corps, puis l'une reste pour me savonner, me rincer et me sécher.
    Le nettoyage arrive maintenant au bas-ventre, puis au sexe lui-même. À un moment, elle annonce "attention, je vais décalotter !"… "faites, faites" pensé-je, trop groggy encore pour parler avec netteté. Un peu inquiet quand même, j'entr'ouvre les yeux, pour constater que celle qui s'affairait sur moi était la plus âgée des deux aides-soignantes qui avaient commencé, un quasi-sosie d'Angela Merkel.
    Adieu veau, vache, cochon, couvée…

  2. #


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    août 2010
    Messages
    127

    Par défaut Blouses blanches

    Voici deux histoires coquines vécues récemment dans des hôpitaux parisiens.

    - Lors d'un examen du dos

    J'attendais mon tour dans la salle commune quand une jeune fille, 18 ans environ, arriva avec sa mère. Elle était mignonne avec sa jupe courte et son tee-shirt moulant. Une infirmière l'appela "Mademoiselle X, vous êtes en retard, venez avec moi". Elle se leva, sa mère aussi. "Non madame, vous restez ici". Elle ouvrit la porte d'une cabine et dit d'une voix suffisamment forte pour que tous les patients l'entendent. "Tu enlèves tout, enfin... tu peux garder ta culotte si tu préfères. Mais pas de soutien-gorge, le médecin n'en veut pas !". Elle referma la porte derrière la fille. Quand elle ressortit dix minutes plus tard, je remarquai ses joues toutes rouges.

    - Lors d'une intervention chirurgicale...

    Nous étions quatre à avoir rendez-vous à 8h00, j'étais le seul homme. L'infirmière nous conduisit dans une grande chambre avec des fauteuils séparés par des rideaux mobiles. Elle nous distribua un sachet contenant une blouse en papier, une charlotte, des chaussons et un string rose. "Vous vous déshabillez entièrement, vous mettez la charlotte, la blouse nouée dans le dos, les chaussons... et le string. Désolé monsieur, je n'ai pas de modèle pour homme, j'espère qu'il sera assez grand devant ! Dans votre box, il y a une cabine si vous préférez ".

    Je me déshabillai, conservant mon slip. Je jettai un coup d'oeil dans le couloir, il n'y avait personne et je me dirigeai vers la cabine qui était entrouverte. J'ouvris la porte en grand. Une femme d'une quarantaine d'années était de dos, penchée en avant. Je ne voyais que ses fesses, ėnormes. Je bredouillai : "Excusez-moi, je pensais que...". Elle se retourna, me montrant ainsi une petite poitrine toute ronde et un pubis qui était une vraie forêt vierge.

    Je reculai et rejoignit mon box. L'infirmière m'y attendait. "Monsieur, il est temps de se préparer. Je vais vous aider ". D'un geste, elle baissa mon slip jusqu'au sol. J'avais un début d'érection. Elle m'enfila le string qui était vraiment petit et recouvrait difficilement mon sexe.

    Après l'opération, on me ramena dans la chambre. Une jeune aide-soignante m'apporta une collation. Elle était mignonne et sa voix était très douce. Après les contrôles des infirmières et la visite d'un interne, on m'autorisa à sortir. Avec les pansements, il était difficile de se pencher. J'essayai de me rhabiller mais cela était difficile. C'est l'aide soignante qui s'en chargea. Elle commença par enlever mon string qui etait déchiré. Elle était à genoux devant moi. Elle ne bougeait plus. Je pensais à ce qui pourrait se passer. Finalement, elle m'enfila mon slip puis termina de me rhabiller. Puis elle m'aida à marcher jusqu'à la sortie où un taxi m'attendait.

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