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Discussion : Passer le temps en train

  1. #


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    avril 2019
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    Paris
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    Mi-année 70, parisien je suis au service militaire dans l'est de la France, les trains du dimanche soir sont bondés de bidasses qui rentrent de permission, si vous n’êtes pas en avance inutile de chercher une place assise. Je vais donc m'allonger par terre dans un couloir (le trajet dure toute la nuit avec 2 changements) mais en 1 ere classe où le sol est recouvert de moquette et l'insonorisation meilleure. En effet rien n’interdit à un voyageur de 2e en règle de stationner dans un couloir de 1ere même si le contrôleur tente un coup de bluff. Détail : le manteau d'hiver de la troupe est immense et très long (genre Pervers-pépère), hiver de l'est oblige, et forme une belle couverture le cas échéant.

    Un aspirant (sous-lieutenant non professionnel) se met à regarder le paysage à la fenêtre du couloir ... Genre classique chez les aspirants : bon chic, bon genre limite catho-tradi, études forcément sup (donc + âgé qu'un appelé) et tête de premier de la classe et forcément sportif: Il y a un "genre". Une passagère du compartiment le rejoint et la conversation s'engage ... rien d'intéressant au début, je somnole roulé dans mon immense manteau, le visage caché sans aucun doute pour me protéger de la lumière. La femme est banale, peut-être un peu ronde à une époque ou les gens étaient en moyenne plus mince, elle approche la trentaine.

    J'ai une nette tendance a une certaine curiosité de concierge voir un peu de voyeurisme, j'assume...

    A un moment la femme qui raconte qu'elle rentre de vacances en club dans un pays forcément du sud (nous sommes en plein hiver) dit quelque chose qui fait TILT dans mon esprit. Elle n'est pas contente de son séjour sans vraiment nommer ce qui n'allait pas : ni la bouffe, ni l'hygiène, ni le service, mais un "truc" qu'elle ne nomme pas précisément. Je pige immédiatement: Célibataire en goguette elle ne s'est pas fait sauter ou pas assez ou alors seulement par un désespéré de 5 heures du matin à la boite de nuit du club car trop difficile. Je n'entends pas tout dès que ça roule vite mais ils vont et viennent entre compartiment et couloir ayant visiblement un échange qu'ils veulent hors des autres passagers du compartiment. Puis comme je m'y attendais s'enferment dans les toilettes en passant à coté de moi faussement endormi. Sortie discrète au bout de 5 minutes...l'un après l'autre. A la première grosse gare (Chalon?) la femme descend, comme je suis sensé être réveillé par le bruit je la regarde l'air de rien : elle a un visage extatique et elle dit adieu au beau militaire toute papillonnante : il lui a sauvé ses vacances!

  2. #


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    juin 2010
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    252

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    J'ai eu aussi ce genre d'aventures... Une nuit dans un train de nuit entre le "sud " et Paris. Voitures couchettes 1er classe. Couchette bas, de l'autre côté en bas une femme n peu forte mais pas trop.. dans la nuit des regards, des mouvements... ma main pend de la couchette et touche la sienne des regards sourires.... Je la rejoins dans sa couchette, au milieu de la nuit.... a deux on est collée serré!!!!!!! On discute doucement pour ne reveiller personne.. en haut!!!
    on s'embrasse on se caresse elle a une paire belle de loches, j'ai une trique énnnooorrrmmmmeeee......
    je lui sa main dessus elle caresse...j'essaie de la caresser mais elle veut pas...elle me dit on se reverra à Paris on aura le temps...et moi j'ai la trique douloureuse!!!!!! ca dure j'aime ses seins enfin vers Sens, au bout de la nuit elle m'achève par caresse manuelle
    ouffff
    finalement; elle me donne ses coordonnées, mais pas d suite, le charme est rompu, j'ai pas appelé..
    Une autre fois dans un train de jour, une beur m'a dragué entre Lyon et Dijon dans un train de jour.... La "salope".........!!! Quelle gaule....Arrivée à Dijon je la suit, mais la ^perd... La Salope!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    Les trains c'est un bon plan...
    Et je ne vous dis les plans cul des contrôleurs sur les trains de nuit.......

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  1. #


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    août 2019
    Messages
    4

    Par défaut Passer le temps en train

    Une histoire qui s'est passée il y a une vingtaine d'année.

    Se rendre à Paris en train du sud seine et marne ou j'habite prend environ une heure. En début d'après-midi les wagons n'étaient pas si bondés, mais je me plaisait à me mettre en bout de wagon assis par terre, ou fumé ma clope ( une époque ou il était autorisé de fumer dans le train) n'incommodait pas les autres voyageurs.
    Je vis passé cette fille qui me paraissait être une femme mûre pour le jeunot que j'étais. Pas super belle, mais assez bien foutue, latine, mais surtout une bonne paire de sein. Je l'avais remarqué sur le quai.
    Un petit regard en passant devant moi et un "excusez moi" avec ce petit accent espagnol. Elle disparait dans l'autre wagon.
    Quelques minutes plus tard, elle réapparait et se pose à l'autre bout du couloir (c'était le wagon ou il y a 5 ou 6 cabines de 6 places avec portes coulissantes et le couloir sur le côté)
    Elle semblait me regarder en m'envoyant de petits sourires auxquels je répondait. Mais elle semblait surtout, tout en ayant les bras croisés, se caresser un sein par dessus son haut quelque peu moulant. Ni une ni deux je sens l'excitation montée même si je crois que je me fait des idées sur ce que je croyais voir. Dans le doute, me tenant maintenant debout, histoire de mieux surveiller la miss, j'opte pour la position cowboy, un pouce dans la poche du jean, et le reste de la main se baladant comme pour confirmer qu'une légère érection pointait son nez!
    Il ne faisait plus de doute maintenant que ma latina cherchait à m'allumer en touchant sa poitrine bien plus clairement qu'au début. De temps en temps des voyageurs passaient pour rejoindre l'avant du train, ce qui ajoutait à mon excitation grandissante.
    Puis la belle vient vers moi, les yeux droits dans les miens...j'avoue que j'en mène pas large....que me veut t-elle? Elle passe devant moi et entre dans les toilettes, ferme la porte puis l'entrouvre en me jetant un dernier regard. Je me décide et m'approche, poussant doucement la porte. Elle m'accueille avec un "Salut....rentre" . Je m'exécute, et elle ferme à clé derrière moi. Sans hésiter, elle s'agenouille, déboutonne mon jean, sort mon sexe raide et me caresse tout en fouillant dans son sac à main pour en sortir une capote qu'elle s'empresse de m'enfiler. Elle me pompe comme une déesse assise sur les chiottes, moi debout lui caressant sa magnifique poitrine bien ferme. Je tente quand même de caresser son entre cuisse, mais elle me repousse. Elle ne veut que sucer...ça me va !
    Après quelques minutes d'une bonne pipe, je jouis. Elle retire la capote, tire du papier pour consciencieusement m'essuyer la bite, et jette le tout dans la cuvette. Je me reboutonne, elle rentre ses seins dans le soutif, et avec un sourire me dit "Moi c'est Esperanza...je t'ai déjà vu dans ce train...on se reverra peut-être". Puis on sort tous les deux et chacun regagne sa place à chaque bout du couloir en se jetant des petits regard de temps en temps.

    J'avais environ 20ans, elle entre 35 et 40. On s'est croisé plusieurs fois par la suite, et on a souvent fait le trajet dans les toilettes. Ses fellations étaient vraiment très bonnes, mais elle n'a jamais voulue aller plus loin...elle disait qu'elle voulait pas tromper son mec :-)

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