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Discussion : Soumise offerte en spectacle

  1. #


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    août 2007
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    seine saint denis
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    sympa la décription et l'ambiance de cette soirée spéciale. Cela s'est passé dans quel département ?

  2. #


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    novembre 2013
    Messages
    44

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  1. #


    Inscription
    août 2010
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    127

    Par défaut Soumise offerte en spectacle

    Le rendez-vous était dans un ancien hangar réaménagé en espace de baise. Un rideau à soulever et une jeune demoiselle en jupe assise sur un tabouret haut m'accueille avec le sourire. Je laisse ma veste au vestiaire.

    J'entre dans la salle où il y a déjà une douzaine d'hommes. Petit bar avec des sodas. Il fait chaud et cela sent le renfermé. L'organisateur explique le déroulement de la soirée et distribue des masques. Un photographe va suivre la soirée. Sur des tables, on trouve des rouleaux de papier absorbant, des boites de lingettes et des préservatifs.

    Le maître arrive et nous parle de son esclave, Julie. Elle aime être traitée crûment, humiliėe, fessée, giflée, arrosée de pisse et de sperme. Mais pas d'éjaculation en bouche. Deux hommes enlèvent le haut, un autre son pantalon.

    Le rideau s'ouvre. Le maître pousse une cage sur roues dans laquelle se trouve son esclave. Elle est à quatre pattes, portant un bustier en cuir noir et un collier avec une laisse métallique. Pas de culotte. Les hommes se rapprochent. A travers les barreaux, ils lui caressent la poitrine et les cuisses. Et la tripotent entre les fesses. Je lui donne la première claque sur son gros cul. Puis je me met à poil comme la plupart des hommes. Aucune gêne entre nous, nous savons pourquoi nous sommes ici.

    Son maître la fait sortir de la cage et se lever en tirant sur la laisse. Aussitôt, les hommes l'enserrent. Une première bite se retrouve dans sa bouche. Elle commence à sucer avec fougue. Puis se met à quatre pattes. Un autre homme enfile un préservatif et la pénètre en levrette. La fellation est brutale. Elle s'étouffe. La grosse queue ressort et lui éjacule sur le visage. Elle crie de plaisir. Les hommes l'insultent : "cochonne", "pute", "chienne". Un autre sexe, noir et énorme, lui force les lèvres. Gorge profonde. Elle recule et vomit.

    Puis elle est allongée de force sur une table d'examen gynécologique. Ses pieds toujours chaussés de bottines en cuir sont placés sur les étriers. Ses cuisses sont écartées en toute impudeur. Son pubis est épilé et tatoué d'un large "Slave" . Un homme s'introduit sauvagement dans sa vulve brune. Un autre se fait branler. Le troisième la force à le sucer. Le spectacle est magnifique. Les coups de butoir au fond de son vagin la font hurler. Ses gros seins sont sortis du bustier, ils se balancent en cadence. Ils sont exhibés, empoignés, maltraités.

    Je regarde les hommes autour de moi. Leurs sexes sont très divers, en taille comme en couleur. J'aperçois un couple qui vient d'arriver. Ils restent habillés, un peu en retrait mais ne manquent rien du spectacle. Ce soir, dans le lit conjugal, ils feront l'amour avec fougue en repensant à tout ce qu'ils ont vu.

    L'assistante, toujours en jupe, vient laver le vomi... Elle passe tout près de mon sexe. Je sens un début d'érection. Puis elle dispose un matelas. Le maître amène son esclave et la couche sur le dos, jambes relevées sur sa grosse poitrine. Elle n'est plus qu'un objet sexuel. Une femelle en chaleur offerte aux instincts de mâles affamés de chair fraîche.

    Les six participants la besognent à la chaîne. L'un se fait branler, le deuxième se fait sucer, le troisième la baise en missionnaire et les autres se caressent ou se reposent. Les rôles changent toutes les cinq minutes. Elle commence à fatiguer, les mâles aussi...

    L'organisateur apporte un tapis de sol noir entouré d'un boudin. Elle se met à genoux au milieu. Tous les hommes se disposent autour et commencent à s'exciter. Soudain, un jet puissant l'arrose. Le tapis se remplit d'urine. Un autre jet. Encore un autre. Elle est trempée. Elle se rapproche d'un homme et lui lèche les couilles. Elle reçoit sa récompense : une giclée de sperme sur le visage. Et une autre sur les cheveux. Humiliation totale.

    Le tapis est vite retiré et la femme à nouveau conduite sur le matelas. Elle s'allonge sur le dos, écarte les cuisses et commence à se caresser. Je la regarde. Brune, cheveux mi-longs. 35-40 ans. Une taille épaissie. Un très beau sourire. Elle aime se montrer à tous ces hommes. Ceux qui n'ont pas encore joui se rapprochent de sa tête, se masturbent frénétiquement et ėjaculent à tour de rôle sur ses cheveux ou son visage. Le photographe mitraille. Elle crie "je suis une salope, j'aime la queue, je suis une pute, une putain, une putain...". Elle a raison.

    L'abattage est terminé. Le maître, toujours habillé, la promène debout, au bout de sa laisse. Puis il l'accroche à une chaîne et manipule le palan. Dans un grand bruit métallique, elle est soulevée d'une trentaine de centimètres. Son maître lui ouvre la bouche et lui crache dedans. Puis il tire sur ses gros tétons. Sa vulve trempée est offerte aux regards. Peut-être vont-ils baiser ensemble en public ?

    Le photographe indique qu'il est temps* pour lui d'arrêter, il dit au revoir et sort. Je me rhabille rapidement et le suit. La jolie assistante me sourit et ouvre la porte de sortie. A-t-elle déjà participé à une telle soirée ? J'aimerais bien jouer au docteur avec elle.
    *

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