La Bonne à Baiser du BAB’ du mois,
Joana, la petite pupute à turlute




Voilà une sacrée jouisseuse. Joana est toute nouvelle - été 2018 - mais qu’est-ce qu’elle baise déjà bien. Douce et câline, la jeune dépravée ne s’ignore plus et se donne au plus offrant. Revenue - et consommée - cet hiver. Absente depuis plusieurs mois mais on peut toujours rêver, hein ?


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Regardez ce cul. C’est celui de Joanna, jolie roumaine de 23 printemps. Un corps potelé à souhait. Des petits seins d’ado tout mignons, un ventre épanoui par un sexe impeccablement moulé, un derrière rondouillard tout blanc fendu comme celui d’un bébé avec des petits boutons sur le bas des fesses qui font comme une constellation d’Eros. La position assise sûrement, la chaleur aussi. Quand elle marche avec ses hauts talons, ses deux fesses ondulent telle une houle de chairs et sa longue fente s’entr’ouvre lentement. J’imagine déjà goûter la rondelle magnifique. Ca y est, la dose d’endorphine me vrille la cervelle et l’hormone du plaisir active ma libido. On est comme on est, ma petite dame.


Une sacrément jolie petite gueule. Timide et discrète. On imagine pas Joana faire des cochonneries toute la journée. Elle était esthéticienne ou quelque chose comme çà. Elle fait plus de pognon en suçant des bites en Allemagne. Au début c’était dur. Pas évident de se donner à des hommes souvent laids, toujours vicieux, parfois dégoûtants. Surtout les baisers avec la langue. Elle croyait que c’était réservé à l’amour vrai comme quand on aime vraiment. Comme dans les chansons à l’école. Pas pour la baise sexuelle, la débauche, la dépravation. C’est son côté petite fille idéaliste. Et puis ces hommes qui pourraient être son père…Ou son papy…
Des types de 70 ans ou 75 ans, bourrés de stimulants, tout fiers de lui montrer leurs vieux zizis gonflés à la chimie, avec les testicules qui pendouillent et la gougoutte qui dégouline. Les yeux brillants de luxure, la bave au bord des lèvres qui coule sur leur peau déjà parcheminée. Dans deux ou trois ans, la Grande Faucheuse découpera le vieux bandeur et Joana subira les caprices de ses potes encore vaillants. Pas évident, vraiment. Mais Joana prend sur elle. Le sperme aussi…25 euros en plus pour se faire asperger son joli minois. Elle s’est fait une raison. Et son compte en banque grossit comme un pénis de client en rut.



Douée pour la baise


Et vous savez quoi ? Finalement c’est pas aussi difficile que çà de faire la pute. Se promener toute nue devant les mecs jeunes et vieux et les exciter. Ils se font leur cinéma et après ils viennent la queue dressée vous demander si vous voulez baiser avec eux et vous enfoncer leur sexe dans le ventre. Ou la bouche. Elle s’est habituée la Joana. Elle a perdu son pucelage à 18 ans. Avec un homme de 30, justement. Et c’était bien. Cinq petits amis au compteur. Pas si mal.
Finalement, c’est dans la nature des choses d’écarter les cuisses pour une jolie jeune femme ambitieuse. Alors elle écarte les siennes et elle fait du fric en plus. Les nouvelles sont toujours demandées. On les essaie, on les teste, on imagine les déflorer, et après on raconte sur les forums et on les note. Joanna regarde ce que l’on dit sur elle, elle traduit le néerlandais, l’allemand, le français…Ca lui sert à ajuster ses prestations, à faire ce que le client aime. Elle, son truc, c’est commencer à baiser en public. Elle avait un peu honte au début. Mais finalement les timides sont souvent exhibitionnistes et le plaisir est venu petit à petit. Ca les excite de faire la salope devant les autres. Joanna ne fait pas exception. Comme dans un film de cul.



Une banane dans la chatte


Car Joanna aime le porno ! Je lui pose des questions. Son éducation sexuelle quand elle était ado c’était regarder et se masturber devant des films de cul sur internet. Elle en a regardé des vidéos avec des mecs à grosse bite. Elle devenait amoureuse des acteurs qui lui plaisaient. Elle se branlait avec un miroir grossissant entre les cuisses pour voir sa chatte juter en direct quand le mec sur l’écran lâchait son coup. Elle repassait le film au ralenti pour ne pas en perte une goutte elle faisait stop elle se branlait et se re-branlait.


Je la questionne sur sa libido et sa vie sexuelle. Elle m’avoue qu’elle s’enfonçait des bananes et des concombres dans le vagin ! Une vraie cérébrale cette fille. Tout pour faire une nymphomane de compétition. Je lui conseille de s’acheter des boules de geisha pour se faire du bien en marchant, incognito, dans le pussy et dans le derrière. Elle comprend tout de suite… » But I no need actually…I have sex all the day… » sourit la jeune dévergondée… » You are a bitch… » Elle sourit un peu tristement tout en caressant doucement le chibre de son amant du moment.
Alors la tiote roumaine baise au Kino si le client le demande. Pas de problème pour faire l’amour en public.


Nous commençons à baiser sur un canapé devant la piscine. Sa langue est active, presque nerveuse. Elle en veut, la petite cochonne. L’alchimie de nos âmes opère. Elle est conquise et a confiance. Important la confiance. C’est vrai qu’il n’est pas si naturel de se livrer à un inconnu. Mais le sexe est naturel, plus fort que tout surtout à son âge, alors…
Entre nos longs baisers humides, elle me sourit tendrement. Joana se soumet. J’ai tout de suite senti qu’avec cette belle pouliche, la psychologie était décisive.


Nous nous léchons le visage comme des jeunes de chat. J’écarte les fesses de ma Dulcinée qui s’est couchée sur moi, le cul en l’air. Je titille sa toute petite rondelle qui se contracte. Les types en face se rincent l’oeil. L’un d’entre eux me lance un clin d’oeil. C’est pour çà que l’on vient au Bab’. Joanna caresse ma queue. Mmmm…que sa main est douce à la jeune salope. Elle empoigne mes couilles et les secouent doucement. « You like, hein ? « … »Yes », répond simplement la jolie coquine d’une voix timide avec un petit sourire discret. Je me rends compte que son visage est encore plus adorable. Décidément, le sexe embellit. « You are a good man », me chuchote-elle avec quelques accents de sincérité. Elle me caresse les cuisses et les tétons. Ses doigts finement manucurés effleurent ma fente de derrière. Je frémis. Il n’y a rien de plus formidable qu’une timide qui prend des initiatives, rien de plus bandant que de voir une sainte-nitouche y toucher. Le péché de chair les taraude constamment ces filles-là. En travaillant dans un bordel elle surmontent leurs préventions et subliment leur libido.


Biche lubrique


Nous sommes dans la chambre. Joana se lâche et devient une vraie furie du sexe. Elle m’intime l’ordre de la masturber. Bien sûr je ne me fais pas prier. J’introduis délicatement un puis deux doigts dans la fente vaginale de la jeune putain. Aucun problème de lubrification, elle était déjà toute moite depuis longtemps. Une libido bien trempée cette nana-là. Son visage se transcende. Joanna est une montagne de plaisirs. Le troisième doigt achève la biche lubrique qu’elle est désormais. Je fouille l’intimité sans ménagement, jusqu’au fond de l’utérus qui commence à fondre. Presque brutalement. Joanna pousse des petits cris d’animal apeuré. Une sorte de glapissement. Elle tient mon poignet et se branle avec.

« Tu es belle Joanna ! Branle-toi ma petite pute adorée, allez branle-toi, jouis ma cochonne sexuelle, ma pute à moi ! « Je donne des petites claques sur son derrière et lui demande d’en faire autant. Elle obtempère aussitôt avec enthousiasme. J’adore la fessée réciproque. Et Joana a deviné que je pouvais lui apprendre plein de choses cette jolie salope. Je fourre ma langue dans sa bouche. Nous nous crachons au visage et j’avale la salive de ma fiancée. « Encore Johanna…Crache, crache je t’aime quand tu me craches dessus…Domine-moi, souille-moi ! Petite conne, petite cochonne ! »Les longs filets dégoulinent doucement au fond de ma gorge. Je me gargarise avec son nectar de déesse. Sa pipe est un pur délice, Depuis l’aspersion saliveuse du gland jusqu’à la gorge profonde. Et quand Joana gobe mes testicules, j’en ris de plaisir. « Tu te régales, ma jolie, dis ? Tu aimes sucer mon beau zizi Joanna, plus c’est cochon plus çà t’excite ? …tu es une bonne suçeuse toi…Allez, allez… lèche et profite, salope de Joanna ! » Elle sait ce que j’aime : une bonne fellation avec doigt cochon et que je lui branle son trou de balle à la belle !



Côté Anal : Pro du Pot


Passons aux choses sérieuses. Au début Joanna n’était pas chaude pour explorer le côté anal du sexe. J’ai à peine insisté et ma petite amie du Babylon s’est mise à caresser le trou du cul de son pote qui aime les puputes comme elle. Et il n’en a pas fallu plus pour obtenir un sourire polisson quand elle a vu mon visage rougir de félicité sous les assauts de ses doigts vicieux. « You like I do ? » . Oh oui, Joana, n’arrête pas surtout. Je me tourne et écarte les fesses pour lui montrer l’endroit de ses rêves. Nous comparons nos tous de balle en rigolant. Elle regarde avec curiosité, apprécie la chose et reprend de plus belle sa mignardise. Je saisis sa menotte et l’enfonce brusquement. Elle encule bien, la Joanna ! « Anus is for toilet » dit-elle. « And for sex » répliquai-je. Joana fait oui de la tête, convaincue. Elle pistonne le rectum lentement. Un doigt, deux doigts. Trois !
Et se saisit de ma queue en totale érection tant le plaisir est immense. Malgré mes supplications alors que j’étais à califourchon sur sa petite gueule et que j’écartais au maximum, elle n’a pas voulu me lécher la raie du cul mais je ne désespère pas la convaincre de devenir une pro du pot. Son anus à elle n’a pas démérité en tout cas. Je l’ai bien léchouillé et enculé avec la langue. Un bel anus, bien dessiné, tout foncé (Joanna est très brune), très musclé (elle doit souvent être constipée), dynamique et réactif (elle doit pousser pour faire caca, et me le confirmera). Bref, un atout.

Poupée à fessée
Et ces deux fesses rondes et fermes, si douces qu’on dirait recouvertes de soie fine et légère. Un beau cul bien joufflu, une petite vicelarde réservée mais branchée sexe qui se donne sans retenue, voilà qui réjouit le coeur et le zizi de l’homme. Ses petits boutons de chaleur qui parsèment ses fesses prouvent que la demoiselle est une vraie GND, Une fille de partout, sympa, bien en chair, qui ne demande qu’à être bien baisée par tous les trous et s’endormir du sommeil du juste plaisir en pensant déjà à la next time.
Vraiment de très jolies fesses, la Joanna. Quand je pilonne son rectum je les vois se serrer sous la chaleur de l’orgasme anal qui submerge ma Joanna. Je la gratifie d’un popo massage de ma spécialité. Les filles adorent. Ca fait circuler le sang, ça les détend.

Je n’ai pas négligé sa jolie chatte trempée par la cyprine - elle a déjà eu deux orgasmes - qu’elle m’écarte pour que j’y enfonce la langue. Je remue à l’intérieur du sexe gluant de désir. « Yes…yes… », fait la péronnelle au bord d’un nouveau sommet, agitée des spasmes diaboliques de l’amour, à califourchon sur ma bouche submergée par ses sécrétions de jouisseuse. Quelle saveur, ce jus de chatte en chaleurs. Il est temps de régaler la Babounette comme elle le mérite. Je l’ai bien démontée la poupée. Le boum-boum-radaboum de Membre Interactif !


Demoiselle Pipi


Cà c’est le dessert. Après avoir transpercé le bas-ventre de la belle pendant au moins une bonne vingtaine de minutes et dans toutes les positions (elle en redemandait, la garce ! ), je négocie un Natursekt. 25 euros. Je me suis toujours demandé pourquoi payer pour un acte aussi naturel qui ne dure finalement pas si longtemps. Mais le désir est trop puissant. Joana s’assied sur mon visage et me lâche une super giclée de pipi qui m’éclabousse et me remplit d’aise. Pluie dorée comme disent les spécialistes. Mais son pipi est étonnamment translucide, presque surnaturel, comme venant d’un autre monde. Cette fille est une fée. Sa blanche pisse tel un philtre sacré de Mélusine qui aurait copulé avec Messaline.


Ma Babounette sourit au beau spectacle dont elle est le premier rôle. Je lui avais demandé de retenir son jet et le ralentir pour faire durer le plaisir. Je n’ai pas été déçu. Quel beau pipi ! Quel beau jet ! Elle secoue son sexe pour bien arroser le visage extatique de son amant. Qu’elle est mignonne, ma Joanna, quand elle fait son pissou. Ses mignonnes lèvres elles aussi toutes fonçées tremblaient sous le liquide qui se déversait. Pour se moquer, elle imite le bruit du pipi qui coule.
Ah oui, je me suis régalé. Et glou et glou et glou…Une douce odeur un peu musquée, chaude et âcre, remplit la petite chambre. J’hume à pleines narines l’effluve sacrée. Je me gargarise de ta liquide intimité. Je te connais à fond Joanna, maintenant. Je t’aime encore plus. J’ai encore plus envie de te sauter. Elle tenait ma bite pendant l’opération, caressait mes couilles et mon fion surchauffé, c’était super. J’ai pu synchroniser - presque en fait - mon éjac’ avec le fil de pipi qui coulait sur moi. J’ai juste joui un peu après, et longtemps. Pas facile mais je ferai mieux. Joana regardait les giclées de semence mélangées avec son liquide qui illuminaient la scène et riait des convulsions de son client râlant au bord de l’apoplexie. Je me frotte les yeux, mouillés par le cadeau de ma jeune amie. Luisant d’amour chaud, je récupère sur le bord du lit sous le regard espiègle et affectueux de Joanna qui s’essuie le sexe et les mains. « You are a good man..», miaule-t-elle en déposant un petit bisou sur ma joue. Une minute d’arrosage intime, finalement ça vaut ses 25 euros. Vivement que Joanna devienne Joannale !




Bon la belle n'est pas encore revenue...