Discussion : Strasbourg - Saint-Denis : LILI (svelte - longs cheveux noirs)

[1954]

se trouve t elle au coin de la rue blondel coté bld de sébastopol vers midi,jeune jolie courte vetue avec un portable a la main et de lunettes de soleil.

merci

1954

[bonbons]

Bonsoir,

la semaine dernière je me trouvais a SSD, et j'ai effectivement trouvé une petite asiatique beaucoup plus jeune et mignonne que les autres, genre étudiante, avec son petit sac sephora.
80, non 60, et nous voilà partie dans le metro.
Lorsqu'elle m'a dit qu'elle s'appelllait "Lili", j'ai tout de suite pensé a ton message, après, j'ai cru revivre un film: le descriptif de l'appartement, la fille un peut gauche.
elle a c'est vrai un très jolie corps, elle aime qu'on lui carresse et lèche les seins, elle se laisse bien caresser, mais seulement avec les doigts.
elle est un peut "statique"[ et n'embrasse pas du tout.
elle se laisse bien prendre dans plusieurs position et ses petits seins et sa croupe son agréable, la glace a côté du lit est très bien placé pour se voir la pénétrer.
Bien , mais sans plus car elle n'est pas réactive.

[v79]

Bonjour à tous.

Profitant dernièrement d’un passage à Paris, j’ai fait un tour en après-midi à Strasbourg St Denis. Comme lors de mon dernier passage, les asiatiques étaient nombreuses à arpenter l’aire comprise entre la porte Saint Denis et le métro Château d’eau, sur le boulevard de Strasbourg. D’autres étaient attablées dans les cafés situés sur le boulevard Saint Denis, à proximité de la porte Saint Denis et de l’intersection de ce boulevard avec le boulevard de Strasbourg. Presque toutes ces asiatiques sont mal fagotées, entre deux âges et d’un physique allant d’ingrat à très moyen.

J’ai néanmoins repéré une « marcheuse » se distinguant du lot par son allure, habillée avec goût, à la silhouette svelte, aux longs cheveux noirs tombant dans le dos, aux traits du visage fins. Cette prostituée se surnomme Lily, et on en a déjà parlé à plusieurs reprises sur le forum www.escortfr.net.

Lily parle un peu anglais et très mal français. Elle m’a abordé et m’a proposé d’aller avec elle dans une chambre du quartier pour 80 €. Devant ma moue, elle a consenti presque immédiatement à ramener ses prétentions à la somme de 70 €. A ma demande de précisions sur la durée de la prestation, elle m’a indiqué « une demi-heure ». Le marché ayant été conclu, elle m’a mené d’un pas rapide, en m’invitant à rester derrière elle, à distance, jusqu’à la porte d’un immeuble situé rue Jarry, en fait une ruelle qui relie la rue du Faubourg St Denis et le boulevard de Strasbourg, à une hauteur comprise entre les métros Château d’eau et Gare de l’est. Des personnages à la mine plus ou moins patibulaires stationnent dans la ruelle, certains d’entre eux étant peut-être chargés de faire le guet.

Nous avons gravi plusieurs étages de cet immeuble modeste et défraîchi, pour pénétrer dans un studio assez minable, dont une autre prostituée chinoise a ouvert la porte. La fille m’a guidé dans une chambre minuscule et sordide, a encaissé son argent tout en insistant, en vain, pour obtenir davantage, en dépit de nos accords antérieurs. D’après ses dires, le propriétaire de la piaule encaisse 20 € à chaque passe. Lily s’est déshabillée entièrement, n’est pas passée à la salle de bains et ne m’a pas invité à le faire. Son corps, mince, presque maigre, sans être désagréable, est celui d’une femme d’environ trente-cinq ans. Son sexe n’est pas rasé.

Sa fellation, ultra rapide, a été réduite à la plus simple expression. Ensuite, elle m’a fait l’amour en amazone, puis, à ma demande, nous avons adopté la position du missionnaire. Sa passivité dans cette dernière position a fait diminuer mon désir. Elle a alors fait mine de vouloir clore immédiatement l’entrevue, mais je lui ai fait observer, dans un anglais dont la courtoisie ne pouvait masquer la sécheresse, que la prestation était loin d’avoir duré une demi-heure et que, par ailleurs, la fellation avait été proprement « expédié ». C’est donc finalement à la main qu’elle m’a terminé, en me massant simultanément la prostate. Ensuite, sur mon insistance, j’ai pu accéder à une minuscule salle de bains et vaguement me rincer, sans bénéficier d’une serviette. La fille, elle, ne s’est pas lavée. Je suis sorti le premier de l’immeuble, sans demander mon reste et, sitôt revenu dans des lieux plus hospitaliers, je me suis empressé de me doucher complètement et soigneusement. Prévu pour durer une demi-heure, ce rendez-vous n’a assurément pas dépassé vingt minutes.

En définitive, une prestation extrêmement médiocre, délivrée sans hygiène, avec désinvolture et précipitation, par une fille qui ne songe qu’à abréger les passes pour les multiplier, dans un endroit sinistre. Pour mesuré qu’il soit, le prix payé n’en apparaît pas moins injustifié en regard du bas niveau du service rendu. On est à des années lumières des prestations fournies en FKK ou même à la Porte bleue de Wevelgem ou encore au Studio le Coin dans le quartier de Bruxelles-midi. Je déconseille donc les services de Lilly et n’y recourrai personnellement plus, pas davantage, je pense, qu’à ceux des autres prostituées asiatiques du quartier.