Passé ce 18/06 vers 14h00, c'est vraiment la catastrophe, a peine une dizaine de filles dont 2 thaïs et 3 mexicaines...la plus part des vitrines sont dégueulasses...même pas eu le courage de tester une fille...
il serait grand temps de faire marche-arrière... 40€ et un service banal expéditif, le client pour ce prix ira en club où là il sera à peu près certain du service qu'il aura... Il devrait laisser jouer la concurrence pour justement remotiver les filles... Moi perso j'ai trop été déçu des dernières fois... Et dire que cela a été mon QG pendant de longues années, hélas ça c'était avant...
Antoniusstraße : informations générales, et bavardages
Antoniustrasse, la circulation, elle n’est plus autorisée qu’à des heures limitées, il faut donc stationner aux alentours. Dans un rayon de 300 m, plusieurs parking donc pas de problème. Les fonctionnaires de police du coin n’ayant pas la réputation de rigolos c’est la solution la plus économique et cela évite le pire, recevoir un PV chez-soi…
Il y a quelques années, des palisssades empêchaient de voir cette rue comme si elle était peuplée et fréquentée par des lèpreux !
J’en ai été client au début des années 1970, c’est loin, puis j’avais abandonné. A ce moment, Liège, Bruxelles et Anvers permettaient de trouver chaussure au pied de chacun. Pour les asiatiques, j’allais en Hollande dans les célèbres (à l’époque) saunas qui depuis sont écrasés par les FKK.
Je la fréquente uniquement pour les asiatiques. Mon peu de connaissance en langues et d’efforts en la matière (ils ont toujours été vains donc j’ai laissé tomber) n’ont jamais réellement constitué un obstacle pour la concrétisation de ce que je venais chercher. J’ai parfois eu l’impression qu’elles causaient si peu la langue locale qu’elles ne se rendaient pas compte de mon ignorance. Enfin bon, 3 mots de langue locale et 4 d’Anglais l’affaire est conclue.
Je suis souvent resté longtemps, très longtemps, avec les filles après le temps convenu. Elles semblent parfois étonnées de rencontrer un client qui les respecte, ne les brusque pas et en dépit de l’obstacle de la langue une communication s’établi. N’étant pas jeune, je peux imaginer qu’elle ressentent une sensation de sécurité auprès d’un homme calme qui pourrait être leur père. Dans ces moments, il semble qu’elles fassent totalement abstraction de la prestation pendant l’after.
Jamais eu de difficultés ni même de contacts avec les mamasans dont le rôle n’est pas comparable à celui des accortes personnes qui surveillent les filles rue d’A. à Bruxelles.
La seule chose à laquelle je veille, c’est d’éviter les quelques filles qui sentent l’alcool mais ce n'est pas propre à cet endroit.
Si elles sont peu nombreuses, il ne faut pas se décourager, il y a flux et reflux comme pour les marées, parfois elles mangent ensemble ou regardent un film... Ce sont des êtres humains comme nous !
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