Tant que j'y pense, j'en profite aussi pour ajouter le plan qui vient de hookers.nl, et qui est très pratique concernant le n° des vitrines (que je ne retiens jamais pour ma part).
Antoniusstraße est le quartier rouge (red light district) d'Aachen.
Le quartier n’est pas très difficile à trouver, même sans plan d’Aachen. Ne me souvenant plus, depuis le temps, de son emplacement exact, j’ai erré au hasard jusqu’à ce que je la trouve, à l’intuition.
La rue est quelque part en hauteur dans la zone piétonnière du centre, pas très loin du Mac Donald, mais dissimulée au regard des passants des grandes artères de la ville.
Un point négatif : les règles relatives à la circulation et au parking à Aachen sont drastiques et compliquent notablement la tâche du visiteur pour accéder à la rue.
Antoniusstraße peut éventuellement être empruntée en voiture, mais le mieux est tout de même, à mon avis, de garer son véhicule en contrebas et de parcourir la rue à pied, afin de jouir tout à loisir du spectacle des vitrines.
La rue fait environ 300 mètres et les vitrines, pas toutes occupées, sont au nombre d'approximativement 50 :
Les filles sont d’origine très diverses : asiatiques, filles de l’est (majoritairement roumaines et albanaises, m’a-t-il semblé), blacks et quelques allemandes, mais plus rares.
Toutes les filles ne sont pas des canons, loin de là, bien que la plupart soient jeunes, voire quelquefois très jeunes.
Pour négocier avec le chaland, les filles ouvrent les fenêtres de leurs vitrines : ce système pratique, , qui permet de s’entretenir directement avec la fille, sans qu’elle ait besoin d'ouvrir la porte et sans être séparé d'elle par une vitre qui ne facilite pas le contact, semble spécifique à ce red light district.
Les demoiselles font parfois montre d'une relative agressivité dans le racolage des clients : non seulement beaucoup d’entre elles frappent à leur vitre avec insistance en vous hélant à votre passage (« Hallo, Hallo... »), mais encore quelques unes, rares heureusement, qui tapinent carrément dans la rue et qui sont naturellement les plus moches, n’hésitent pas se mettre en travers de votre chemin et à vous saisir par la manche pour vous convaincre de leurs charmes tout relatifs... :
Quant aux prix, je n’ai pas fait de sondage approfondi, mais ils semblent très compétitifs, moins élevés en particulier qu’à Schipperstraat (Anvers) – ne parlons même pas de la rue d’Aerschot à Bruxelles : j’ai interrogé une asiatique très mignonne, qui m’a indiqué : 30 euros pour suck and fuck, 50 euros la demi-heure.
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