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Discussion : Bruxelles : cafés du quartier du Midi autres que Le Coin

  1. #


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    février 2011
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    Citation Posté par Gangerde Voir le message
    Au « Le Soleil » ont peut toujours s’amuser.
    Endroit rénover et probre avec un service sympa.
    Presence majoritaire de filles Brésiliennes (5 a 8) de tout type. J’y suis aller en fevrier.
    Il faut sonner pour entrée

    Ambiance sympa si ont veut passer une soiree différentes.

    Consomation des filles sont de 20€. Après 2-3 boissons il y’a touch pipi. Si il y’a feeling échange de whatsup.


    A 20€ le verre et 10€ en plus pour ton verre, 60€ minimum pour un touch pipi. Tu as intérêt à trouver le feeling dès le premier coup. Quand c'est à la 3, ça fait un budget en boissons. On parle pas de la surprise final

  2. #


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    mars 2015
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    rue de l'Argonne 1 / avenue de la Porte de Hal 59
    1060 Saint Gilles

    Citation Posté par turbo007 Voir le message
    Où se trouve cet endroit , quelle adresse ?
    Merci d'avance

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  1. #


    v79 Guest

    Bruxelles : cafés du quartier du Midi autres que Le Coin

    Copie d'un message de décembre 2003 :


    Ce mercredi 31 décembre en début d’après-midi, j’enfourchai mon fringant destrier et mis le cap, après avoir traversé le pays de Mormal, vers Bruxelles, avec pour dessein de mieux explorer les cafés et les rues autour de la Gare du Midi, à Bruxelles, la gare où arrive le Thalys.

    J’attachai, pardon garai, mon véhicule rue de Russie aux alentours de 15 h 30 et en avant pour un inventaire du quartier et une visite de ses établissements, aussi rustiques que sympathiques.

    Sur l’avenue de Fonsny et les rues avoisinantes (rue de Russie, rue d’Angleterre), rien de particulier à signaler, si ce n’est quelques pochtrons sans intérêt et quelques petits dealers disséminés ça et là.

    Du beau monde et beaucoup d’animation au Zottegem, l’un des distingués cafés de l’avenue Fonsny : des filles de l’est et des africaines, attablées autour de cafés, guettent le chaland. Deux jeunes filles de l’est, bulgares ou roumaines je l’ignore, me racolent à l’entrée du bar et m’incitent à rentrer : c’est génial ; on a l’impression de se faire draguer. Mais, plein à craquer, le café ne me semble pas, ce jour-là, propice à des discussions intimistes : j’aime bien discuter avant de monter avec ces filles autour d’un café, c’est plus sympa, elles vous disent deux ou trois mots sur leur vie, pour en venir seulement après aux négociations concrètes lorsqu'elles ont un minimum de psychologie. En outre, je me souviens de certaines mises en garde quant à la saleté des chambres du Zottegem.

    Je décide donc de poursuivre mon exploration de ce riant quartier.

    Des prostituées au Charlemagne, café situé également sur l’avenue Fonsny, à proximité du Zottegem qui me font un clin d’œil en passant, dont une pas trop mal. Rue d’Angleterre, transversale par rapport à l’avenue de Fonsny et donnant donc sur cette dernière, le Valentino, en revanche, est en train de baisser son rideau : jour de fête oblige. De toute façon, on n’y trouve que des filles assez âgées et grosses, des rombières en clair. Hélas, le Valentino a depuis fermé. Quant au Zottegem, ses jours sont comptés : voir les messages plus bas dans ce fil.

    Une jolie polonaise descend la rue de Russie, malheureusement je me rends compte, après lui avoir emboîté le pas, qu’elle ne se prostitue pas et se contente de traverser le quartier.

    Toujours sur l’avenue Fonsny, Le St Raphael, de même que la Jonction sont fermés.

    Je décide alors de me rendre à la Mecque du quartier de la gare du Midi, je veux dire cet établissement incontournable de Bruxelles-midi qu'est le studio le Coin . Ce petit café-hôtel très discret se trouve rue Terre-Neuve, petite rue de l’autre côté du boulevard du Midi, à peu près en face de l’avenue Fonsny.

    La rue Terre-Neuve est celle où Tintin a longtemps habité, avant d'emménager au château de Moulinsart avec le capitaine Haddock. Dans ses albums, Hergé évoque, en effet, comme premier domicile de Tintin « rue du Labrador 26 ». Or il semble acquis qu'aucune rue de Bruxelles ne portant ce nom, la rue du Labrador correspond, en réalité, à la rue Terre-neuve. En revanche, l'histoire ne dit pas si Tintin se rendait au Coin pour avoir des relations tarifées avec des jeunes femmes. Mais il est notoire qu'à s'en tenir aux albums de Hergé, Tintin n'avait ni vie amoureuse, ni vie sexuelle.

    Quoi qu'il en soit, ce Studio le Coin se trouve à l’angle gauche du premier croisement dans la rue Terre-Neuve, en partant du boulevard du Midi.

    Les volets sont levés. J’entre dans le café et me retrouve dans une salle très petite, mais intimiste, où de vieux marocains buvent leur café. Au fond, un comptoir avec les boissons.
    Je m’asseois à une table et commande un café, tout en me demandant si je ne me suis pas trompé d’endroit ou bien s’il n’existe pas une seconde salle dissimulée derrière la première, un peu à la manière d’un tripot clandestin. En effet, aucune fille n’est présente à ce moment. La taulière, probablement espagnole d’origine (si j’en juge à l’accent), encore pas mal et qui a dû être très jolie fille il y a quinze ans, me réserve un accueil agréable et m’apporte un café crème, ma foi plus que correct.

    A ce moment-là, une porte au fond du café s’ouvre et une très jolie fille, marocaine comme elle me le précisera par la suite, grande et élancée (ce qui est rare chez les marocaines me semble-t-il), dans les vingt-cinq ans, cheveux longs et soyeux, joli visage, beau corps, cul à se damner, pénètre dans la pièce. J'aperçois, à cette occasion, derrière la porte, un escalier conduisant aux chambres de l’établissement. Dans les minutes qui suivent, plusieurs clients, européens et marocains cinquantenaires, sortent par la même porte : je ne me suis pas trompé, c’est bien un « claque » !

    Après avoir discuté une minute au bar avec la patronne, la jeune marocaine me sourit et vient s’asseoir à ma table. Son prénom est Soraya. Nous devisons quelques minutes, elle a effectivement un accent prononcée. Elle me précise qu’elle attendait un client vers trois heures qui n’est pas venu et qu’elle est libre. Elle « fait tout » m’indique-t-elle, et notamment la sodomie (avis aux intéressés, dont je ne fais pas partie ). J’essaie de gagner un peu de temps, car, d’une part, j’aurais bien voulu voir les autres filles présentes ce jour-là ; d’autre part, par atavisme, j’ai un meilleur contact avec les filles de l’est, en général.

    Finalement, de crainte de ne rien trouver d’autre de sexy à me mettre sous la dent, j’accepte néanmoins de monter avec Soraya. Le coût de la prestation, en fait une passe, mais bien faite et pas "speedée" a été 50 euros chambre comprise.

    Après avoir payé, derrière la porte permettant d'accéder aux chambres, et non pas au comptoir, nous gravissons les marches particulièrement raides de l’escalier et nous nous retrouvons dans une chambre, ma foi plutôt propre. Un doute cependant sur la propreté des serviettes mises à disposition : sont-elles changées à chaque client ? Je suis loin d’en être certain. La chambre comprend un lit, des glaces, un lavabo et une douche.

    La fille se déshabille entièrement et sort ses préservatifs : je ne suis pas déçu, elle est vraiment mignonne, avec des seins bien proportionnés quoique pas très volumineux (85b, je pense) et qui auraient gagné à un peu plus de fermeté.

    Après m’avoir caressé environ dix minutes, elle entame une fellation avec préservatif de grande qualité. Puis elle vient sur moi, avant que je ne termine sur elle en missionnaire. A aucun moment, elle ne manifeste de signe d’impatience, elle est active dans l’amour, autant qu’il faut et pas trop.

    C’est une fille sympa, cool et pas encore gâchée par le métier. Elle est d’ailleurs occasionnelle, elle travaille surtout avec des clients de l’extérieur à qui elle donne rendez-vous dans le café.

    Nous discutons ensuite encore plusieurs minutes du Maroc, etc... Cela ne va pas très loin, car je n’y suis jamais allé. Puis je redescends. La patronne a gentiment mis de côté mon café, elle me le pose sur une autre table, la mienne étant désormais occupée. Je le sirote en toute quiétude, face à une autre fille, probablement marocaine aussi, bien en chair mais ayant l’air réellement sympa, cheveux teintés en blond, qui me prodigue de larges sourires aguicheurs et pas désagréables. L’ambiance est détendue et bon enfant chez les filles et la patronne. Quant aux clients marocains, ils se contentent de boire leur café d’un air taciturne et impavide.

    Je paie mon café deux euros, puis je décide de quitter les lieux.

    Le studio le Coin est ouvert tous les jours de 10 h à 19 h, sauf le dimanche, où il n’est ouvert que de 10 h à 14 h. Il est ouvert aussi le samedi, mais je ne me souviens plus si ce n’est jusqu’à 19 h comme les autres jours ouvrés.

    le Coin : un établissement à découvrir, visiter et revisiter, qui mériterait de figurer, dans un guide Michelin de la relation tarifée, dans la rubrique « Prestations soignée à prix modérés ».

    Un grand merci à Frenchhéros et à Max, deux piliers de www.dialogueslib.be, pour m’avoir avoir fait découvrir ce quartier et, tout spécialement, cet établissement.


    Mise à jour du 3.1.2007 : je précise que Soraya ne travaille plus au Coin depuis un bon moment déjà. En revanche, l'établissement fonctionne toujours et les tarifs y demeurent fort sages.

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