Dana -acte 1-
J'avais pas mal lu sur Dana et après mon moment tendresse avec Patty je voguais à travers le LR, alternant jacuzzî, sauna, clopes, café, foot, matage de jeunes filles, vérification de GSM, nourriture, jacuzzî, etc..
Je me pose dans la zone que je ne connais pas trop bien : l'entrée du bar, juste après la réception, la table à droite, en face du premier tabouret des demoiselles... en face de Dana, quoi...
Dana ? Hum, si ma vieille mémoire ne me trompe, n'est-ce pas une demoiselle dont j'ai lu quelques évaluations ? Élogieuses évaluations, soit dit en passant.
Ni une ni deux, je saute du banc et hop je vais vers Dana.
Je me présente et lui demande innocemment son nom. Dana? Polonaise? Échangeons quelques mots dans ta langue. Parle davantage l'allemand (damned! Je ne parle pas cette langue) que le polonais, car du haut de ses 33 ans, elle n'a vécu en Pologne que jusqu'à l'âge de 5 ans.
Tout ce temps, j'ai l'impression de parler à quelqu'un de timide, évitant les longs regards et fuyant ceux-ci avec un sourire (gêné). Bizarre.
Son anglais est très bon, surtout son accent. Mais j'ai l'impression qu'il y a un décalage entre ce que je lui dit et sa réponse. "Huston, We have a problem" fut mon sentiment. Décalage horaire à quelques centimètres d'intervalle ? Problème de compréhension ? Problème de traitement des données ? Je ne crois pas, car Dana semble être une fille intelligente.
Ce qu'elle n'a pas manqué de comprendre, c'est que toute cette petite discussion devait se prolonger dans un endroit plus serein. Clé en main, elle m'amène dans la gigantesque chambre 16.
Pour ceux qui n'ont jamais connu la chambre 16 : c'est comme aller baiser au milieu du Stade de France, avec à tout moment la crainte de voir débouler une horde de supporters.
Et alors là, alors là mes amis, j'ai vécu la plus fabuleuse fellation de ma vie.
Nondidjou que c'était bon ! Moi qui n'aime pas les bruits de pipes baveuses etc, j'ai totalement fait abstraction. Dana a une technique de salivage (désolé de tomber dans ce genre de détails crus) qui fait que votre attribut est pris dans un tourbillon d'essorage rotatif-longitudinal-centrifugeux-jouissif comme nul autre pareil.
Alors certes, d'aucuns pourront arguer que c'est le fruit de 10 ans d'expérience, mais Dieu que c'est impressionnant. Et puis, qui y'a t'il de mal à être face à 10 ans d'expérience ?
Ne voulant pas la laisser en reste, je me devais de lui rendre la pareille.
Pour le rotatif-longitudinal, j'étais bon.
Pour le centrifugeux, pas essayé.
Alors, pour le jouissif, après pas mal de temps, elle m'a arrêté. "You're good. It's very good, but you know... I can't. You know what I mean?".
Non, je ne know pas what you mean...Ah si, en fait, je crois que je know. Et c'est là que je me suis rappelé les états de service de mademoiselle.
"Too many years getting that kind of stuff?"
"Yes. It was very good, but I can't come like that".
Et toujours ce petit regard fuyant et son sourire.
Alors oui
Oui, fabuleuse pipe
Oui, très beau visage
Oui, très chouette fille
Oui, très beaux yeux bleus,
beau sourire,
beau corps,
mais je ne conçois pas que les choses n'aillent que dans un seul sens.
Recidive ? Oui! pour son talent.
Recidive à long terme ? À voir...
F.
