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Discussion : Charleroi : prostitution de rue

  1. #


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    juin 2025
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    Jenny, de la province de Liège, avec ses longs cheveux châtains, est souvent là, ces derniers temps.
    Elle traîne, un peu perdue, un peu ailleurs.


    Et franchement… ça me fait quelque chose. Parce que je l’ai connue quand c’était une reine, une vraie.


    À l’époque, c’était un volcan sous la peau. Une bête de scène au lit.
    Pas juste du cul — de l’art.
    Elle savait comment te regarder, comment te frôler, comment te dominer sans t’écraser.
    Elle m’emmenait au 7ᵉ ciel sans escale. Elle transpirait le sexe, la confiance, l’abandon total.


    Je me souviens encore de son souffle, de son énergie, de ses hanches qui savaient exactement ce qu’elles faisaient.
    C’était brut, torride, mais toujours juste. Pas une fausse note.
    Une des rares qui pouvaient te faire jouir… et te faire réfléchir après.


    Mais là…


    Jenny n’est plus la même. Son corps fatigue, son regard s’est éteint.
    Elle a fondu — facile 15 kilos en moins. Et pas dans le bon sens.
    Elle est devenue maigre, le genre de maigreur qui dit que quelque chose va mal.


    Et surtout… ses dents.
    Elles ont pris cher. Un sourire qui faisait fondre, maintenant abîmé, brisé.
    Ça semble un détail pour certains… mais moi, ça me frappe.
    Ça trahit une histoire. Un passé. Une chute lente.


    C’est dur à voir. Vraiment.
    Parce que dans ma tête, elle est restée cette bombe, cette étoile filante du pieu, cette furie douce qui m’a retourné plus d’une nuit.
    Et aujourd’hui… je la vois s’éteindre, doucement.
    Et j’ai même plus envie de la toucher.
    Pas par dégoût, non. Par respect. Pour ce qu’elle a été. Pour ce qu’elle représentait.


    Elle est encore là, physiquement…

  2. #


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    septembre 2014
    Messages
    112

    Par défaut

    passage hier à 11h avant la chaleur
    pas une fille dans la zone
    par contre surement 4/5 filles dans la pelouse chez Robert.

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  1. #


    v79 Guest

    Charleroi : prostitution de rue

    On trouve deux quartiers rouges, l'un principal et l'autre très réduit, pas très éloignés l'un de l'autre. Aucun d'entre eux n'est très stimulant : l'âge d'or de Charleroi est bien révolu...


    A) Le célèbre "triangle de Charleroi", quartier chaud de la ville basse de Charleroi, se trouve dans un quartier bordé au Nord par le boulevard Tirou et au sud par le quai de Brabant, lequel fait face à la gare Sud, située de l'autre côté du canal. Comme son nom l'indique, il se concentre dans un triangle dont les rues Desandrouin et du Moulin forment deux des côtés.
    On y trouve des vitrines et des filles tapinant dans la rue.

    1) Dans la rue : tarifs corrects (50 euros la passe), mais surtout des blacks arnaqueuses, et souvent moches, qui prennent le client par la manche de la veste et dont il est difficile de se dépêtrer. Quelques filles blanches continuent néanmoins de travailler sur les trottoirs des rues Desandrouin et du Moulin. Quant à la clientèle de ces rues, celle des rues du Champion et de l’Agneau à Liège, à côté, c’est aristocratique : ce quartier de Charleroi est vraiment craignos, comme toute la ville d’ailleurs, en tout cas en soirée... méfiez-vous.

    2) Les vitrines de la ville basse : beaucoup ont fermé, à la suite de démêlés de leurs exploitants avec le fisc ou pour cause de proxénétisme. Dans quelques vitrines subsistantes, pas mal de blacks, quelques jolies filles européennes plus rarement. Les tarifs sont élevés (dans les 120 euros la demi-heure). Ce sont des bars à vitrines comme rue Varin à Liège, et non des vitrines louées comme dans le red light district d’Anvers ou les rues du Champion et de l’Agneau à Liège, d’où les tarifs beaucoup plus élevés de ces vitrines de Charleroi (à Liège, la demi-heure en vitrine est à 80 euros).

    3) Enfin, sur le boulevard Tirou lui-même, à proximité immédiate du quartier chaud, on trouve quelques occasionnelles, parfois mignonnes, mais souvent manifestement camées : vous voilà prévenus. Les tarifs qu’elles pratiquent sont les suivants : 25 euros la pipe, 50 euros ou plus le « complet », en voiture ou à l’hôtel (compter alors 20 euros supplémentaires environ).


    B) Boulevard Jacques Bertrand, dans la ville haute, il subsiste aussi quelques vitrines. Les tarifs sont de 80 euros pour soi-disant une demi-heure, 150 euros pour une heure. Mais, en fait, les 80 euros ne donnent droit qu'à une simple passe, appelons les choses par leur nom. Ces vitrines comprennent une salle au sous-sol, où l'on trouve un canapé lit et une salle d’eau. Service médiocre à craindre, donc, imputable à la politique tarifaire et aux prestations offertes par la maison, qu’aux filles elles-mêmes.


    En résumé, Charleroi ne vaut guère le déplacement, tout juste peut-on aller faire du "lèche-vitrines" si on s’y trouve pour d’autres raisons.


    Attention : ces informations peuvent évoluer avec le temps, merci de nous faire connaître les modifications dont vous avez pu avoir connaissance, notamment tarifaires.

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