Il y a deux semaine environs, je suis monté avec une filles au 15 rue Rossi.
Depuis un moment mon fantasme le plus récurent est de coucher avec une mature, attention pas une MILF !
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Bref une vraie mature, mais j'ai des critères.
C'est là que ça se complique grandement.
Elle doit être mature, pas petite, ventre plat (ou relativement), grosse poitrine naturelle (mais pas tombante), et les tétons qui pointent en l'air !
Alors oui, oui c'est complexe, c'est dur à trouver, surtout dans une rue de Genève en fin d'après midi, aux Pâquis.
Je croise une certaine Lisa, à l'angle de la rue Rossi, au numéro 15.
C'est une mature, naturelle, brune, espagnole, souriante...
Un peu trop beau pour être vrai...
Et c'est à cet instant précis que l'embrouille commence.
A la base je cherchait une fellation, avec capote, et ensuite une cravate de notaire, le tout pour finir sur les seins.
Peu être un peu trop compliqué pour les Pâquis...
Toujours est-t-il qu'elle me sourit toujours en disant oui, et pour 50 CHF.
Sa chambre, est dans les étages, dans un immeuble glauque au possible.
Elle se dénude, magnifique, poitrine naturelle, elle se pose sur le lit.
Moi, je suis debout, et elle entame une pipe couverte classique. Ni bien ni mal, c'est du classique.
Je lui touche les seins, mais elle ne semble pas d'accord, et je retire ma main.
elle me demande alors, un supplément.
Bingo, je me suis fait avoir à l'ancienne.
Le moindre truc est payant, et en supplément.
La pipe devient mécanique, et elle m'encourage à venir vite.
"Va y bébé", et putain je déteste ça comme surnom.
Impossible de toucher ses seins, et impossible de toucher son sexe !
Pire, pas de cravate de notaire, et pas de jouissance sur ses seins.
L'arnaque totale, et en beauté.
Je suis trop con en fait.
Elle daigne tout de même m’effleurer les testicules, et miracle je termine dans la capote, dans sa bouche.
On est au top, de l'arnaque;
Ensuite, aucun Social Time.
Il faut que je la laisse, car elle semble avoir mal au pieds ,et souhaite aller se doucher.
Aucune récidive avec elle, même en cas de pénurie totale.
A la sortie, bien remonté, je me dirige vers mon lupanar favoris, pour y boire une bière, et oublier cette mauvaise expérience.