Ce jour-là, mes favorites étant aux abonnées absentes, je lance quelques amorces à des inconnues. J’ai une réponse rapide de Mya de Namur, et c’est parti.

https://www.quartier-rouge.be/prive/...n-belgica.html

La demoiselle n'a pas un type philippin (ou peut-être pas le stéréotype que j'en ai ?), elle peut aussi bien être européenne. Elle est conforme aux photos, mince (bien qu’en les regardant maintenant, elle me semble un peu plus en chair sur la plupart), longs cheveux châtain, belles petites fesses rondes, beaux seins à vue de mains B.
Chambre spartiate mais propre. On échange quelques mots sur le temps, elle a l’air de suivre le français. Je paie mes 130 pour une heure.
Direction salle de bain, la sortie de bain est mouillée. Pendant que je prends une douche rapide - il faisait chaud -, elle s’est étendue sur le lit le nez dans son gsm.
Je monte sur le lit, elle me fait signe de me coucher, et commencer à me caresser l’engin, et moi à lui caresser les seins, puis à lui sucer un téton. Deux ou trois minutes, puis elle s’écarte et prend un préservatif, je dis « déjà ? », pas de commentaire, elle l’enfile et commence à sucer.
Je demande 69, elle dit OK et se met en position. Quelques gémissements et arrêts de la fellation suggèrent peut-être un petit effet. Quand j’essaie d’approcher un doigt de l’entrée du vagin – délicatement, je ne suis pas une brute –, c’est « doucement ». Très bien, je retire. Quand j’essaie de glisser la langue vers le même endroit, c’est encore « doucement »… D’accord, je me concentre sur le clitoris. Mais voilà que, sans vraiment se refuser, elle se positionne de manière à esquiver autant que possible. Mon humeur s’assombrit. Puis sur un « OK », elle termine le 69, se lève pour prendre une lingette et s’essuyer.
Ensuite, elle attrape le lub et m’en enduit le… préso, bien sûr. Elle s’installe en cow-girl, je la sens assez étroite, et à peine au tiers, elle grimace – je me dis aïe, mais non, elle va tout de même au bout, avec de nouveau quelques gémissements à demi convaincants. Je pose une main sur un sein mais… « I don’t like ainsi » (sic). Je suis de moins en moins bien disposé. Nous continuons donc la cow-girl, et j’allais demander un changement de position pour faire durer un peu l’action quand j’ai tout lâché d’un coup…
Elle ne se retire pas tout de suite en saut carpé comme je le craignais vu ce qui précède, mais une fois retirée, elle attrape une lingette, s’essuie, et me laisse en plan pour s’éclipser à la salle de bain prendre une douche. Elle revient ensuite sur le lit.
« Ça va ? »
« Oui. Tu me fais le massage, maintenant ? »
« OK »
Et elle me tend un rouleau d’essuie-tout.
« Ah, tu ne le fais pas toi-même ? »
« … … … »
« Tu as peur ? »
« … … … Je sais pas. »
Okkkkééééé… Très bien, je nettoie moi-même mon engin, nouvelle lingette pour essuyer encore une fois.
À plat ventre pour le massage. Bon, c’est un tripotage avec pressions des doigts plus ou moins au petit bonheur, à force elle a fini par passer sur quelques points sensibles, ça m’a fait du bien tellement j’ai le dos tendu, mais elle est loin d’être pro ni même naturellement douée. Comme je sentais qu’il restait pas mal de temps, je me suis dit que j’allais la laisser faire jusqu’à ce qu’elle sonne la fin de la récré, mais au bout du compte, c’est moi qui me suis lassé.
Pendant que je m’étire, je l’entends qui fait de même derrière moi avec des gémissements (sincères car ankylosée à rester à genoux pour le massage). Je souris un « C’est toi qui aurais besoin d’un massage maintenant. » « Comment ? » Je répète. « Comprends pas. » Je fais signe « Laisse tomber », autant pour le social time, son français doit être moins bon que je pensais, à moins qu’elle ne soit pas non plus bien disposée.
Je repasse à la douche, entre-temps elle s’est rallongée sur le lit, nez dans son gsm. Pendant que je me rhabille, elle me lance encore un « ça va ? » sans me regarder. Je me dirige vers la porte, elle m’effleure d’un petit bisou sur la joue, « Content ? » Là je fais comme au resto quand on me demande si ça m’a plu et que ça ne m’a pas plu : j’élude d'un neutre « Merci, au revoir ». Je regarde ma montre : sorti après 3/4h – je sentais bien qu’il restait pas mal de temps…
Il va de soi qu’il n’y aura pas de revoir. Peu de motivation pour moi à tenter d’engager un minimum de relation sociale (il m’est pourtant arrivé de sortir après 3/4h une première fois et d’y retourner car j’avais dû percevoir un potentiel, et elle est à présent dans mes favorites du moment), mais surtout trop de chichis qui m’ont agacé.
(Hum, je vois que pour un premier récit, j'ai fait un peu long...)