Mariella est une grande jeune femme blonde, très joliment faite, et au fessier épanoui, dont la silhouette m'émeut encore, à chaque fois que je la croise. Elle est aussi, visiblement, l'une des filles les plus présentes au Globe. Ce qui ne veut pas dire l'une des plus demandées. La disparition prématurée de Torotoro, fauché dans le fleur de l'âge par un bloc de bêton alors qu'il traversait le lit du Rhin à des fins scientifiques - voir ms_ch - et que nous regrettons tous, nous prive de la confirmation statistique de mes assertions, mais le fait est patent.

Elle a son siège sur le rebord situé entre l'espace repas, le "Café de Paris" et la piste de danse. Elle y a d'ailleurs posé son séant tant de fois qu'il serait malséant de le lui emprunter, tout comme la bienséance commande que l'usage du transat, marqué à mon nom, situé entre piscine et bar, me soit strictement réservé. Notez bien!...

Pour autant, elle est ma plus mauvaise expérience au Globe, la seule d'ailleurs. J'en fais la relation çi-après. J'ajoute que je n'ai pas souvenir de l'avoir vue sourire encore, mais je ne désespère pas...

"L'ombrageuse Maîtresse Mariella, sanglée d'une robe de cuir noir qu'on aurait dit cousue sur elle (je vous rassure, elle a su l'enlever...), élégamment complétée d'un porte-jarretelles et de bas résilles. Bottes faites pour marcher, casque de cheveux blonds, yeux bleus mais regard noir, fouet en main./...

.../ La blonde Mariella, fouet à la main, s’ennuie sur son sofa. J’aime son regard dur, ses bottes de cuir, son porte-jarretelle et ses bas résilles. Un petit sourire ne ferait pas de mal, mais vous me connaissez, je ne rechigne jamais à une bonne action. Je m’approche, veux tu boire quelque chose? Non merci. Veux prendre une chambre? Oui, merci.

Je la suis à distance, apprécie le spectacle de ses hanches rebondies qui ondulent sous ses ses pas. La Maîtresse prend son rôle au sérieux, prend des initiatives, déshabille toi, allonge toi là... Je flaire le mauvais coup. Hé, minute, y’a maldonne, tu seras ma maîtresse, moi jamais ton esclave...

Je m’impose en douceur, reprends l’initiative, mais décidément la donzelle est grincheuse: “tu touches ici, pas là!, tu embrasses là, pas ici! Plus fort!, moins fort! Je ne compte que jusqu’à 68!... Humm!, le désaccord est parfait.

J’expédie l’affaire en 20 minutes et quatre coups de reins, Basta!.. Suis-je tombé dans un mauvais jour, ou ma tête ne lui revient-elle pas?. En tous cas, pour vous sentir pleinement micheton, c’est là la bonne adresse.

Elle ne m’y prendra plus. Dommage pour une conclusion. C’est Raph qui me l’avait conseillée en me vantant ses talents de pipeuse. Où est-il, d’ailleurs, que je lui casse la gueule! Il pérore devant un troupeau de gonzesses, comme d’hab. S’exprimant par les mains, par mimiques, par onomatopées, sans se départir un instant de son aplomb d'acier ni de sa jovialité. Il a le talent d’être compris et apprécié de tous, sans parler un traître mot étranger! Le talent, en un mot..."
- Le récit complet de la soirée, c'est ici:

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