Contre la censure de la nudité sur les réseaux, certains musées s'amusent.

Vénus paléolithique, nus d'Egon Schiele ou toiles de Modigliani...

Censurées sur les réseaux sociaux, ces œuvres estampillées 18+ des musées viennois trouvent désormais une seconde vie sur la plateforme OnlyFans, connue pour ses contenus sexuellement explicites.
Un coup d'éclat imaginé par l'Office de tourisme de la capitale autrichienne, qui a coordonné l'opération, pour "ouvrir le débat sur le rôle des algorithmes et des géants de la tech dans l'art", souligne son directeur Norbert Kettner.
Lancé en septembre, le compte a attiré plusieurs centaines d'inscrits grâce au récent battage médiatique mais "l'audacieuse" initiative vise surtout à défendre la "liberté artistique".
L'idée, explique à l'AFP M. Kettner, est née des "difficultés" rencontrées par les musées "dans leur travail de promotion sur les réseaux sociaux", à la politique très stricte en matière de nudité et de lutte contre la pornographie.

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https://5minutes.rtl.lu/culture/news/a/1806166.html