Je l'ai rencontré accompagné d'une de ses compatriotes (blonde sans plus) qui essaya sans succès de les prendre toutes les deux pour un trio.
N'étant pas convaincu par ses promesses, je déclinai sagement l'invitation.
Après de nombreux tours de pèlerin sexuel, je tombe sur Angel(a) seule à l'entrée du Kino. La négociation fût laborieuse vu la faiblesse de son anglais, mais je ne sais comment, je lui fait comprendre que le départ en chambre sera obligatoirement précédé par une petite pipe au Kino. Elle finit par accepter. Assis sur le canapé, elle entrouvre le peignoir et me lèche de façon convaincante. Suffisamment excité, nous allons en chambre (enfin, une vraie, pas un cabanon de jardin).
Et là, c'est le drame.
Pour je ne sais quelle raison (peut-être l'abondance lumineuse), elle commence à rouspéter sur la taille de mon engin (enfin, c'est pas comme si elle ne l'avait pas eu en bouche avant). De plus, elle refuse de me lécher les boules arguant que cela ne fait pas parti de ses pratiques.
Elle continue sa fellation mais de manière catastrophique (j'ai plus l'impression d'une branlette où elle pose ses lèvres sur son pouce et index).
J'enfile un préservatif, et là elle se badigeonne de lubrifiant/gel et écarte les cuisses au maximum. Après un missionnaire poussif, elle se retrouve sur moi. Pour une raison que j'ignore, je la vois s'agiter sur ma bite, mais l'abus de gel et la position de ses cuisses empêche toute sensation (et donc plaisir) chez moi. Je la laisse faire son show toute seule tout en restant impassible.
Je lui propose de la prendre en levrette, mais elle refuse arguant que ça lui fera trop mal.
Plusieurs positions (sans saveur) plus tard, elle accepte à contre cœur de se mettre à quatre pattes, puis sur le ventre. La perversité qui m'anime dès lors me pousse à lui donner un maximum de sensations
En résumé, beaucoup de non, manque de plaisir de son côté, n'embrasse pas vraiment (enfin ça se trouve ma tête ne lui revenait pas), professionnalisme inexistant à mes yeux,………50€ donné par honnêteté.