Discussion : MARIA (italienne, métisse brune - n° 50, The Winston's)

[Monsieur D.]

@ Pompomgirl,

Je suis repasser rue d'aerschot depuis mon dernier message sur ce fil , pas de Maria et la dame de compagnie dans la vitrine se rappelle d'elle mais pas de nouvelle:"elle est repartie en Italie on n'a pas de nouvelle" c'est tout.
Moi en 2009 j'avais son telephone, je n'ai jamais tel c'etait pour si elle revenait en Belgique(car elle disait qu'au cas ou elle reprendrait ce numero).
Elle à arreter un peu avant noel 2009.

Le numero était toujours actif mais sur messagerie sans message d'accueil de Maria, après plusieurs essais en 2010, je l'ai jeter vers l'automne 2010, car pas de réponse.
Dommage la faire venir à l'hotel pour 1h30 ou 2h00 aurrais été très bien, et avec satisfaction garantie, le top cette fille.
Et plus naturelle dans la prestation que des filles valables comme Radost par exemple.
Je lui souhaite bonne chance pour ce quelle fait maintenant.

[Pompomgirl]

Maria, c'était la perle rare.
J'ai fréquenté des dizaines de filles de la rue d'aerschot : avec Maria, c'était exceptionnel quand partout ailleurs (dans cette rue) c'était vulgaire, mécanique et minuté.
Maria avait vraiment une présence exceptionnelle et le contact passait très bien entre nous si bien qu'elle était très GFE. On s'embrassait, on se chatouillait, on blaguait. Il y avait du social time, ce qui est tout à fait exceptionnel pour la rue.
Ses prestations étaient toujours très câlines. Pour moi, Maria était la reine de la fellation qu'elle faisait en douceur, en alternant petits baisers et profondeur, et toujours sans s'aider des mains (bref de quoi prendre le temps, pas comme les autres filles de la rue qui ajoutent la mécanique manuelle pour que ça gicle au plus vite).
Je dois dire aussi que j'étais en bandaison directe devant sa poitrine toute menue: oui c'est comme ça, les gros seins ne m'attirent pas du tout: il me faut des seins tout petits et tout mignons et avec Maria j'étais délicieusement servi
En plus, je l'aimais bien parce qu'elle avait de la conversation. Elle était plutôt intelligente et avait d'ailleurs fait des études en Italie. J'appréciais cela, comme j'appréciais le fait qu'elle était indépendante. Elle était arrivée rue d'Aerschot par sa propre décision suite à un grave revers financier dans sa famille et, dans son esprit c'était clair qu'elle faisait ça deux à trois ans, juste le temps d'aider son père endetté... Puis basta. Vraiment une fille à part dans le milieu bulgaro-roumain de la rue d'Aerschot...
Et c'est d'ailleurs ce qu'elle a fait: elle a mis les voiles au début janvier 2010 et n'est plus jamais revenue !
Et moi, comme un con, je n'ai jamais eu la présence d'esprit de lui demander un n° de téléphone ou un moyen de la contacter ! En fait, je savais qu'elle allait arrêter sous peu, je pensais avoir le temps de passer la voir une dernière fois, puis j'ai eu un empêchement, n'ai pas su me rendre à Bruxelles, et quand j'y suis retourné début janvier 2010 : plus de Maria!
Cela me ferait évidemment plaisir de pouvoir retrouver sa trace, ne fut-ce que pour prendre de ses nouvelles, savoir si elle va bien dans sa nouvelle vie, et si elle a pu relancer une carrière professionnelle hors de la prostitution comme elle le désirait.

[Monsieur D.]

MARIA : vitrine n°50 the winston's le soir, métisse italienne éthiopienne, 23 ans, cheveux courts bruns, très joli visage, mince mais pas maigre, joli corps très ferme partout, petite poitrine, superbe postérieur, très gentille, participe bien à la rencontre, très bonne prestation très bien faite.

Elle dit travailler là depuis un certain temps et dire que je l'avais jamais remarquer, j'ai du passer ses jours de repos ou quand elle était occupée.
Je suis surpris de pas avoir vu d'évaluation la concernant, car c'est vrai une perle rare.

A voir absolument.