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Discussion : TAÏTAÏ (chinoise, brune - rue de Malines)

  1. #


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    avril 2014
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    Citation Posté par chinalover Voir le message
    Combien avez- vous payé?
    Le tarif normal, 100€ pour une heure.

  2. #


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    novembre 2008
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    255

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    oui difficile de les reconnaitre d'autant plus que certaines ont également une annonce sur QR avec des surnoms différents
    il y a quelques fois des perles où on est traité comme des princes pendant toute la session
    le seul hic avec elles, c'est qu'elles mentent toujours sur leur age :-)
    l'astuce est que le tarif de rue est moins cher qu'en privé alors que ce sont les mêmes filles dès fois

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  1. #


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    avril 2014
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    Par défaut TAÏTAÏ (chinoise, brune - rue de Malines)

    Je rentre à l'instant de visiter une Chinoise parmi les Chinoises qui se succèdent du côté du boulevard Jacqmain, nommée « Taïtaï », approximativement. Ordinairement, je n'en fais pas état, tant il est difficile de distinguer ces femmes aux physiques très similaires, aux prestations identiques, aux noms répétitifs et changeants, et qui n'ont guère de pérennité ; et celle de ce soir (1m70, cheveux noirs, la cinquantaine même si elle dit trente-cinq ans, yeux un peu globuleux, petits seins, fesses plates, un peu de ventre) ne ferait pas exception n'était son service. Non dans la quantité (elle ne fait que du classique), mais dans la qualité. Elle embrasse longuement, bien, s'égare sur le visage, les oreilles, le cou, caresse le torse en même temps d'un frémissement du bout des doigts, puis revient à la bouche. Même chose en fellation : elle chatouille les bourses de sa langue, maintient l'équilibre entre le gland et le corps du pénis ; ce ne sont pas des innovations décisives, mais ce sont les marques d'une pipe sage et faite avec cœur. Le coït itou : mouvements ondulants du bassin, soupirs légers et crédibles, présentation alternative de la bouche et des seins, caresses sur le ventre ou dans le dos (suivant la position) et petites contractions du vagin. Le massage derechef : réel, doux, à l'huile, efficace. Bref, un GFE admirable, dans un très bon anglais qui plus est, qui tranche avec l'expérience mécanique en espagnol charcuté qu'on trouve trop souvent dans l'usine à passes de la rue Saint-Pierre ; une rencontre dans un quasi-silence bienfaisant et d'où l'on ressort apaisé du corps, mais aussi, chose plus rare, de l'esprit, qui, à ces exercices, n'est habituellement que rassasié.

    Elle ne restera que deux mois à Bruxelles, hâtez-vous et traitez-la bien.

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