Je me propose de retracer quelques expériences parisiennes et proche-banlieusardes des années de la mitterrandie, mais, on s'en doute, pas sous l'angle des idées et des courants, mais dans le souvenir, toujours agréable, d'instants dérobés à l'emploi du temps d'un quarantenaire qui pouvait consacrer une (petite) partie de ses revenus à se procurer du bon temps, et de bien doux souvenirs.
Les journaux gratuits de cette décennies comportaient des annonces de "services" d'un genre nouveau, qui piquaient ma curiosité. L'obstacle était bien souvent la distance à parcourir pour rejoindre "l'appartement discret". Il fallait donc choisir et jouer de la proximité d'un RdV professionnel pour un débriefing d'un genre nouveau.
À bientôt donc pour de "nouvelles" aventures