24 juin 2024
Il fait désespérément chaud et le rare - trop rare - vent qui fait office de délimitation officieuse entre la France et l'Allemagne n'est pas le plus à même de rafraîchir les températures. Il doit être quelque chose comme 21h lorsque je gare ma voiture sur le parking de la "Maison de l'Amour". Une fois n'est pas coutume, il reste encore quelques places. À mon arrivée, Amely est occupée. Ni d'une ni deux, je fais appel à Olivia en souvenir des envolées lyriques de ce démiurge nommé Hpat. Après quelques secondes d'hésitation durant lesquelles j'aurai - tour à tour - pensé à l'Agence nationale de la cohésion des territoires et au stade du Bayern de Munich (n'y voyez absolument aucun rapport), je me suis précipité - une fois la porte ouverte - vers le dernier étage du lupanar.
De prime abord, j'ai vraiment eu du mal à reconnaître Olivia. Même si ses formes ressemblent à celles des photos, j'avoue avoir été quelque peu surpris par son visage quelque peu marqué par les affres du temps. Toutefois, son sourire et la volupté de ses courbes (sa poitrine en particulier) m'ont poussé à la rejoindre dans une chambre climatisée. Après deux-trois mots d'allemand et ma main dans la sienne, j'ai filé à la douche en prenant bien garde de placer une serviette blanche à proximité immédiate de la cabine. J'ai retrouvé Olivia dans la chambre avant que celle-ci ne daigne, également, se rincer. De cette façon, je ne peux que confirmer les propos de Hpat sur les incessants allers-retours d'Olivia entre la chambre et l'extérieur, ce qui - d'une certaine manière - peut corroborer un réel sérieux quant à l'hygiène que peut être la sienne.
Une fois bien assis sur le lit, je ne peux m'empêcher de me perdre dans ses yeux et - a fortiori - dans sa formidable paire de seins ; une paire de seins lourde, appétissante, provocante au possible. Je l'embrasse un peu partout en maudissant suffisamment fort la politique de la maison qui consiste à ne pas permettre les "Zungenküsse" (French kiss, baisers langoureux). Mes lèvres se perdent - avec plaisir - sur son ventre, son cou et - au risque certain de me répéter - ses seins. Après quelques minutes d'une tendresse bienvenue, Olivia commence à m'enfiler un capuchon rouge. Dès lors, ses lèvres se perdent - avec plaisir, du moins c'est ce que j'espère - sur ma verge, suffisamment dure pour que sa bouche l'engloutisse quasiment entièrement. Sa fellation baveuse est digne de la professionnelle qu'elle est. Même si le surplus de tendresse que j'attends perpétuellement lorsque je viens à Offenburg ne se matérialise pas, Olivia est suffisamment douce, agréable, respectueuse pour que le moment en fusse agréable.
L'excitation qu'est la mienne commence à devenir de plus en plus insurmontable. Ma respiration se fait de plus en plus hachée, et Olivia le ressent. Consciente de l'effet que ses voluptueuses courbes font sur moi, celle-ci me propose un missionnaire que je m'empresse d'accepter. Alternant le rythme, je ne peux m'empêcher de serrer sa main contre la mienne. Rapidement, et après quelques instants d'une pénétration tantôt langoureuse, tantôt de plus en plus énergique, je lui demande une levrette à laquelle elle dit "Ja". Las, sa cambrure presque inexistante (en raison de son imposante poitrine ?) m'interpelle et je décide de me finir à la main en opérant une gymnastique consistant à lui caresser la poitrine de la main gauche et à me caresser tout court de la main droite.
L'excitation passée, nous discutons longuement de tout, de rien, un peu de la Pologne et beaucoup de son activité. Nous nous quittons au bout d'une demie-heure après un dernier jeu théâtral avec des portes qui s'ouvrent et se claquent. Les vaudevilles sont ce qu'ils sont.
À retenir :
- la différence d'âge fut sans doute trop importante pour me permettre de me perdre dans ses bras
- nécessité de maîtriser quelques bases d'allemand pour le Social Time
- école polonaise : GFE plus que PSE, pas chrono