Les amateurs de jeune femme douce et gentille seront comblés avec Denisa. Douce et gentille mais aussi très créative sexuellement. Autant la roumaine Denisa disparue était PSE, autant celle-ci est GFE. Sur la recommandation de plusieurs habitués je me décide à tester la belle Bulgare. Il est vrai que son corps quasi parfait m’avait émoustillé. Chez moi, je pensais souvent à cette belle plante de 23 ans, au regard langoureux et au sourire taquin. La pensée de ses fesses arrondies et leur balancement dans le club quand elle signait la feuille d’enregistrement près de la réception m’avait donné des idées cochonnes…Sa poitrine est joliment galbée et ses tétons pointent comme une invitation maternelle à déguster le lait. De plus, le sourire béat et la face rougie par le plaisir de ses amants pendant qu’ils se dirigeaient vers la station paiement attestaient de la félicité promise.


La dernière fois j’avais calculé la moyenne des sessions avec elle. A chaque fois Denisa retenait son amoureux au moins une heure sinon deux. Discrètement je me renseignais auprès des intéressés vidés par la belle qui me confirmaient tous, des étoiles plein les yeux, la qualité érotique de la demoiselle et la loyauté de ses prestations. Denisa n’est pas une expansive à la Karla qu’il faut combler comme on finit un marathon, ou une beauté froide si facile à réchauffer à la Evelyn. Ou une jolie petite diablesse à la Elissa, malheureusement un peu allumeuse/arnaqueuse (toutes deux évaporées).

Assis dans le jardin d’hiver, elle m’accoste calmement. « You want my company ?». Sa voix de petite fille me séduit d’emblée. Je l’enlace et elle se colle à moi. On devine la poulette GFE toute de douceur et de docilité. Restait à évaluer son engagement sexuel. Notre conversation est fluide et son anglais, certes passable, reste convenable. Sa collègue Paris nous gratifie d’un sourire moqueur. Je l’ai consommée il y a longtemps, une des premières bulgares du club, et elle affiche quelques années de pratique, la trentaine maintenant. Son gros derrière, ses seins adolescents, et sa bonne humeur font toujours envie.
Mais c’est la fort charmante Denisa qui a mes faveurs. Après avoir refusé un trio avec sa copine Katrin dont la cote semble régresser selon quelques avis (la lassitude probablement, le coté enjôleur aussi et puis ce rouge à lèvres qui la fait ressembler à…une pute), nous filons en chambre. Nus comme des vers et enlacés, Denisa la main sur le zizi épanoui de son prétendant, moi caressant avidement la croupe de ma proie, nous montons dans la grande chambre 1 avec le gros coeur rouge. Je suis resté deux heures avec Denisa. Pas une PSE mais une partenaire dévouée et à l’écoute tout aussi éprise de plaisirs. Comme une fille de bonne bourgeoisie, bien élevée et portée sur la chose…


La cochonne est infatigable. Je crois que j’ai rarement autant transpiré dans ce genre d’exercice. Denisa a multiplié les orgasmes. Son toucher de zizi est absolument merveilleux. Cette fille a une façon de stimuler qui n’appartient qu’à elle, je n’ai jamais eu autant de sensations. Caresses appuyées sur le gland gonflé comme un fruit défendu de fin d’été, pressions sur la hampe, malaxage des boules, masturbation du périnée, à deux mains, à une main, Denisa haletante et appliquée est une pro de la branlette, tout en m’embrassant avec la langue comme si j’étais son fiancé, et ses yeux qui vous narguent droit dans les vôtres l’air de dire « tu vas voir mon cochon comme tu vas jouir, j’aime çà te branler ta grosse quéquète et la sucer,...j’aime l’odeur et le goût ». Minutes exquises. La pipe est du même tonneau (de pré-sperme) avec léchage intensif des boules, et quand sa langue dépose des doses énormes de salive sur mon prépuce rougi par ses ablutions et mon gland qu'elle décalotte tendrement avec des mines de grande ado s'empiffrant de chocolat avant de reprendre son massage, je crois défaillir. Je suis devenu un jouet sexuel entre ses menottes et ses lèvres de jolie salope.

Ces préliminaires ont duré au moins une demi-heure. Oui l’alchimie entre nos deux corps est complète, le mariage entre nos deux coeurs est scellé, l’alliage de nos sentiments est parfait. Je l’aime cette nana. Alors je l’ai baisée et rebaisée la jeune pute bulgare, je l’ai honorée comme elle le méritait. J’ai adoré ses petits gémissements qui scandaient mes coups de reins quand j’explorais - avec les doigts ou avec le zob - le fond de sa chatte écartelée et les filets de cyprine qui ejaculaient trahissaient l’extase de Denisa. Dès que la baisse de régime se fait sentir, la jeune vicieuse se retire et, grâce à une agréable branlette ou une sucette passionnée redonne la vigueur ad hoc et y retourne aussi sec (façon de parler). Elle en veut la salopiote !


Les miroirs témoins de notre bonheur. Elle apprécie de voir mon sexe entrer et sortir de son ventre au rythme de ses vagissements. Sa chair percée ondule au gré de mes caprices et je la cloue sur le lit. Les tendres contractions de son vagin resteront dans mes annales. Nous conjuguons nos soupirs extatiques. Nous manquons d’oxygène tant la course effrénée vers le nirvana nous épuise. Nous devisons tendrement entre deux séquences sexe. Levrette-fessée, cow girl recto-verso, pénétration sur le côté, nous récitons notre panoplie des délices comme deux bons élèves du Kama-Sutra.

Sa masturbation de la prostate est un sommet. Spécialité de la belle qui ne boude pas son plaisir à empaler gaiement (pas mal celle-là hein ? ) son gladiateur esclave de ses caprices à elle. Dans le miroir je reluque les quatre doigts fouaillant ma chair tuméfiée et j’hurle comme un goret un climax interminable, mon zizi surbandé pris en tenaille par ma si audacieuse tortionnaire toujours curieuse de mon visage dévasté par ses assauts voluptueux. Le cul explosé, envahi par les borborygmes, telle une douce musique de transgression, je me soumets à ma fée sodomite. Nous avons dépassé le stade anal en voulant l'explorer ainsi. « Popo kaputt ?» sourit l’irresistible dominatrice.
J’ai savouré le ballottement de ses seins rondelets dans toutes les positions pour la baiser, j’ai dégusté son abricot brûlant de fièvre sensuelle (le goût et l’odeur) presque pissant son jus d’extase, j’ai redoublé d’ardeurs quand j’entendais ses petits cris de jouissance et sa voix est si douce, je me suis délecté de ses délicieuses caresses sur mon corps enfiévré que je lui abandonnais sans barguigner, je me suis régalé avec le si mignon anus tout rose que j’ai à mon tour troué de ma langue assoiffée et reniflé goulûment les effluves profondes, j’ai profité à fond du corps et du caractère de cette belle personne au sexe décomplexé. La jolie prostituée était ravie elle aussi. Son serviteur a probablement battu son record de centimètres cube de cette chaude semence avidement convoitée par nos Messalines...


Merci à toi Denisa, tu es une amie d’exception et je reviendrai te visiter (cette petite folle m’a coûté 270 euros). Quand deux obsessions sexuelles se rencontrent que croyez vous qu’elles fassent ?