Passant quelques semaines ici à Santiago, j’ai testé pour vous les fameux cafés con piernas.
Alors on passe tout de suite sur les cafés «*ouverts*» qui sont sympa mais qui ne nourriront en rien notre hobby.
Premier café «*fermé*» au sous-sol de la galerie santiago central où il y en a plein l’un à côté de l’autre : je tombe sur une charmante et splendide vénézuelienne. En bikini. On boit un café ensemble et je lui demande comment ça fonctionne. Elle m’explique que chaque café a ses propres règles. Dans son café (désolé j’ai oublié le nom) on peut papoter et regarder mais on ne touche pas. Voilà, c’est clair. Je garde donc mes mains dans mes poches et je demande où je peux trouver un peu plus d’action. «* Oh, va en face, tu devrais trouver ton bonheur*».
En face, je me fais direct alpaguer par une fille assez forte et assez moche (je sais, je suis un gros pigeon) avec qui je REprends un café. Et lui pose la même question : c’est quoi les règles dans ton café ?
«*Alors c’est simple, me dit-elle : tu me donnes 20.000 CLP (23 €) et je te masturbe. Ici-même dans le café. Debout.*»
Allez ok, allons-y. Et donc je me suis fait branler devant tout le monde (bon, les quelques autres clients étaient plus intéressés par le décolleté des autres serveuses que par ma virilité, hein). Et donc, dix minutes après elle m’avait achevé comme il le fallait et je suis reparti.
Ça n’a pas grand intérêt mais ça soulage, disons. Bon, le problème c’est qu’on ne voit rien de l’extérieur et donc il faut rentrer pour voir la qualité du line-up.
À noter qu’il existe des cafes con piernas franchement glauques (galeria cervantes) où là elles sont extrêmement moches et attendent DEVANT le café. Mais là il faut vraiment avoir faim, hein…
J’en profite pour signaler que je reste ici quelques semaines et que je serais ravi si l’un d’entre vous passait par ici, on ira faire un tour ensemble. MP au cas où…